[Note de l’administrateur de ce blog : le cas de l’Inde est un cas d’école à plus d’un titre. Comme le remarque le Dr Gérard Maudrux, il y a un mois tous les media de grand chemin se ruaient sur l’Inde afin d’alimenter la psychose covidienne et de maintenir le troupeau dans la peur. Cette précipitation était bien imprudente pour eux :
– si les chiffres absolus de contaminations et de morts pouvaient être impressionnants, c’était sans les ramener à la population gigantesque de l’Inde – qui de plus souffre de bien d’autres problèmes sanitaires plus graves – et quiconque sait comparer ce qui est comparable pouvait voir que la situation de l’Inde restait globalement bien meilleure que celle de pays “riches et avancés” ;
– la concomitance de cette hausse rapide de contaminations début avril avec l’essor d’une campagne de vaccination (restant encore très partielle, puisque n’atteignant pas aujourd’hui 12% de la population) devrait conduire les esprits curieux à se poser des questions ;
– enfin et surtout, tout comme les États “rebelles” (et généralement républicains) des USA ont démontré la totale inefficacité des mesures liberticides de confinement, de fermeture des commerces et de port du masque généralisé en décidant de les supprimer et en s’en portant très bien, les États indiens décidant de traiter les patients par l’ivermectine ont vu leur épidémie s’éteindre brutalement, alors que les autres voyaient la courbe continuer à augmenter de plus belle…
Les media de grand chemin croyaient nous faire peur, ils démontrent en réalité avec éclat leur malhonnêteté – pour ne pas dire criminalité – ainsi que celle de nos gouvernants, et le caractère manifestement organisé de la terreur covidienne. Chacun peut le vérifier par soi-même en consultant chiffres et courbes à sa guise, sans se départir bien sûr de son esprit critique, en privilégiant par exemple les chiffres bruts de mortalité à ceux étiquetés “COVID”, susceptibles de manipulation.]
Il y a un mois la totalité de nos « spécialistes Covid » et de la presse se ruaient sur l’Inde, comme les mouches sur le vinaigre. J’avais de suite pris le contrepied le 27 avril dans un billet, pour expliquer que d’une part leur situation épidémiologique (je ne parle pas de leur situation sanitaire, mauvaise, c’est un autre problème) n’était pas pire que la nôtre, au contraire, et d’autre part je disais qu’il fallait attendre un peu pour voir le résultat de l’utilisation de l’Ivermectine à grande échelle, face à une vague puissante, dont on disait en France (comme ici) que le pic ne serait pas atteint avant plusieurs semaines alors qu’il était déjà passé !
Qui avait raison ? Les alarmistes ? Les défenseurs de l’Ivermectine ? Le résultat est là, éclatant, indiscutable. Pourtant pas un mot dans la presse, pas un mot de nos spécialistes. Personne ne se demande comment les indiens, avec moins de moyens, ont fait dix fois mieux que nous. Personne ne cherche à savoir pour les copier ou s’en inspirer.
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