Epicu-mieux-que-rien (Karim Duval)

[Note de l’administrateur de ce blog : l’humour et la honte de se sentir ridicules réveilleront-ils les derniers à croire à la plandémie ? Ne pas manquer également, de Karim Duval : “Nouvelle religion, le covidisme”.]


Du masque au transhumanisme avec Pierre Etchart (Régénère)

[Note de l’administrateur de ce blog : entretien enregistré en juin 2020, mais de grande actualité.

L’organisation pyramidale de la société, seule à même de produire les situations absurdes que nous vivons, apparaît comme le véritable grand danger qui nous guette ; mais il ne dépend que de chacun de nous de retrouver notre autonomie de pensée et de refuser l’absurdité des injonctions contradictoires comme celle du masque “inutile donc obligatoire”.

À propos du transhumanisme, on pourra lire ce qu’en dit Hervé Juvin dans La grande séparation : ce délire scientiste est l’aboutissement de mouvements “philosophiques” beaucoup plus vastes.]


En France, une poignée d’individus face au totalitarisme pseudo sanitaire (Un peu d’air frais)

[Note de l’administrateur de ce blog : sombre, violent, à l’image des temps.]


“La bourgeoisie a dépouillé de leur auréole toutes les professions jusque-là réputées vénérables et vénérées. Du médecin, du juriste, du prêtre, du poète, du savant, elle a fait des travailleurs salariés.”

Manifeste du parti communiste, Karl Marx, Friedrich Engels

“Or aujourd’hui, les individus, c’est ce qui manque le plus. Le marxisme nous avait assez expliqué que l’homme n’est que le produit des conditions sociales dans lesquelles il vit, que sa conscience individuelle n’est qu’une illusion, sa liberté un leurre, etc. Eh bien, voilà, à force d’écrire des choses horribles, elles finissent par arriver !”

Dialogues sur l’achèvement des temps modernes, Jaime Semprun

 

La société du spectacle qui n’est que l’exercice du pouvoir par la pratique permanente du mensonge, aboutit inéluctablement à sa forme politique la plus adéquate : le totalitarisme.

La fausse pandémie du coronavirus est le moyen efficace et opportuniste de son instauration. Le virus existe et a tué mais ce fut le plus souvent dû à la volonté implacable de l’Etat moderne capitaliste mondialiste d’interdire les traitements existants. La mise en scène sordide des nécromanciens de l’Etat attisant la terreur avec le chiffrage quotidien des décès restera l’exemple le plus abominable de la pratique du mensonge politico-médiatique. Qu’il soit clair que nous ne nions pas l’existence du virus et son caractère agressif, que son origine soit naturelle ou due à une fabrication en laboratoire avec fuite accidentelle ou encore à des fins d’utilisation d’arme bactériologique. Mais l’escroquerie de la production falsifiée des chiffres des décès, le confinement autoritaire et le déni des traitements entre autres par la mise au ban de l’hydroxychloroquine, ont représenté les moyens sûrs de la production d’une terreur de masse justifiant la voie totalitaire.

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Bonus : témoignage d’une mère d’élève de 6ème, France, 3 septembre 2020.

À quoi servent les masques ?
(Pr Philippe Parola, IHU Méditerranée-Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : on le sait tous, mais l’ampleur de la manipulation est telle qu’il est trop douloureux pour certains d’accepter cette réalité… au point qu’ils préfèrent faire confiance à des assassins.

Le salut viendra par le rire, qui permet la distanciation (mentale) afin de briser la distanciation sociale imposée (voir illustration sous la vidéo).]


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L’OMS vous dit quand et comment porter un masque
(Clark Kent)

[Note de l’administrateur de ce blog : alors, “fake news” ?]


Bonus : expérience scientifique sur l’oxygénation avec masque.

Pour aller plus loin dans la confrontation au réel :

Le masque de la déraison (Jean Pélissier)

[Note de l’administrateur de ce blog : une autre façon de considérer l’aspect déraisonnable de cette histoire de masques est de se rappeler qu’avant d’être obligatoires — alors que l’épidémie est passée en France — ils furent, nous affirmait-on, inutiles, à un moment où l’épidémie était en pleine croissance.

(article publié le 6 juin)]


par Jean Pélissier, Praticien et formateur en Médecine Traditionnelle Chinoise

Un postier qui ne sonne pas à ma porte. Obligé d’aller chercher un colis à la poste. Sur les lieux, parcours du combattant fléché. Ligne peinturée sur le sol. Un parcours pour l’aller, l’autre pour le retour. Heureusement je suis seul. J’arrive devant une fenêtre ouverte. A l’intérieur, dans la salle, quatre postières assises attendent le chaland, deux les pieds sur une table.

Toutes portent le masque.

Je montre mon sésame pour récupérer le colis et ma pièce d’identité… à distance. Faut avoir de bons yeux, je suis à trois mètres ! J’ai la sensation d’être un pestiféré, dans un monde surréaliste. On me pose le colis sur le rebord de la fenêtre. Elle s’éloigne. Je peux le prendre, presque comme un voleur. J’ai l’impression d’être dans un autre monde.
En deux mois et demi, tout a basculé.
Les gens n’ont plus peur, ils incarnent la PEUR, ils sont devenus la Peur ! Je repars.

Oui, mais je suis un soignant.

Quand je vois quelqu’un qui va se faire du mal « à l’insu de son plein gré », je ne peux rester sans rien faire. Question d’éthique. L’art de soigner ne s’arrête pas dans un cabinet.

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