La consécration !

Que mes lecteurs me pardonnent ici cet accès d’auto-satisfaction, voire d’immodestie caractérisée, mais ce n’est pas tous les jours qu’on est associé à des personnes pour lesquelles on éprouve une grande admiration. Or c’est ce qui vient de m’arriver, certes indirectement, n’ayant pas réalisé le centième de l’œuvre accomplie par mes modèles et ne méritant donc pas de leur être comparé directement.

Mais tout de même : ne boudons pas notre joie. Dans le cadre d’une procédure interne à mon université, j’apprends par les documents que me transmet la présidence que mon blog a été “signalé” par la DILCRA (ou DILCRAH peut-être ?) pour “propos à connotation antisémite et négationniste”. Autant vous le dire tout de suite : être épinglé par la police politique du lobby sioniste, la Propagandastaffel de l’occupant illégitime de la Palestine, quand on est antisioniste comme moi, vaut une médaille !

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Pourquoi je ne suis plus de gauche sans avoir jamais
rien fait pour ça ! (le saker francophone)

[Note de l’administrateur de ce blog : j’aurais sans doute été incapable de rédiger en si peu de mots une analyse aussi lucide et claire de l’inversion de paradigme que j’ai personnellement vécue ces dernières années, et plus particulièrement depuis l’affaire Dieudonné, cette nouvelle affaire Dreyfus mais puissance 10. L’auteur est plus âgé que moi (il avait 19 ans en 1967, il en a ou en aura donc 69 en 2017), et a vécu encore davantage que moi une époque où la gauche était vraiment de gauche et anti-impérialiste, tout le contraire du club de traîtres qu’elle est devenue aujourd’hui. Il a nourri comme moi sa réflexion auprès d’auteurs indispensables comme Jean-Claude Michéa ou William Engdahl, de vrais intellectuels qui par contraste donnent envie d’entarter tous les imposteurs médiatiques qui polluent les media de masse.

Je me permets de souligner une phrase de  son article qui me paraît particulièrement importante : “Cette dictature est radicalement nouvelle et pour cette raison vous ne la verrez pas venir.” C’est exactement ce qu’explique de façon simple et pédagogique Jonathan Sturel dans cette vidéo.]


Par Aladin − Décembre 2016

Voilà une bonne question qui est restée sans réponse pour moi pendant de nombreuses années avant d’être élucidée. Les paresseux d’esprit diront qu’après tout c’est bien normal : les jeunes gens sont toujours de gauche par esprit de contradiction et virent naturellement à droite avec l’âge. Mais ce n’est pas la bonne réponse si j’affirme que les convictions que je défendais il y a quarante ans comme étant « de gauche » sont grosso modo les mêmes que celles que je défends aujourd’hui en n’étant plus reconnu comme tel. Ma démonstration sera donc utile à tous ceux qui se pensent encore douloureusement « de gauche » en s’appuyant sur des artifices du genre «  oui mais moi je suis pour la « vraie » gauche, pas celle du PS, pas celle qui s’affiche un peu partout à notre époque ». La gauche qui n’existe pas, quoi.

Revenons en arrière, un peu avant 68 pour brosser le paysage politique. Plus précisément avant la guerre des six jours de 1967. Nous sommes en pleine guerre froide. L’URSS vit à l’ère Brejnev. En France, il existe deux gros partis : le parti gaulliste (l’UNR-UDT de 1962 devenue UDR en 1966) et le parti communiste. Les partis de cette époque peuvent être pertinemment classés les uns par rapport aux autres sur un axe unique gauche-droite ; ce n’est plus le cas maintenant. Ainsi de gauche à droite : les groupuscules trotskistes (sans doute plus ou moins financés par la CIA 1), le PCF (financé par l’URSS), le PSU de Rocard, le PS rachitique qui s’appelle encore SFIO (jusqu’en 1969), La Convention des Institutions Républicaines et les autres clubs d’où venait Mitterrand, les Rad-Socs (comme les radis, rouge dehors, blanc dedans), les centristes de tout poil (qui se disent ni de droite ni de gauche mais qui sont… à l’ouest), l’UDR, divers partis de droite (CNI, etc.) et enfin les groupuscules d’extrême droite (Occident, Parti des Forces Nouvelles, Jeune Nation…) issus des guerres coloniales, de la collaboration, de l’OAS et de l’Action Française, tous unis dans un anticommunisme viscéral.

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2017 ! Enfin ! (Antipresse)

“Année 2017 : les arbitres municipaux anti-pensée entrent en fonction.”

[Note de l’administrateur de ce blog : je ne pouvais pas manquer, en ce premier janvier, de laisser la parole à Antipresse et Slobodan Despot pour un éditorial de Nouvel An qui montre à quel point tous les éditorialistes grassement payés de notre presse subventionnée sont au mieux des crétins, et au pire des collabos d’une machine à mentir à bout de souffle.

J’ai pris la liberté d’en souligner un passage qui résonne particulièrement pour l’universitaire que je suis ; en effet, ayant eu l’occasion à plusieurs reprises de solliciter mes collègues sur le forum de mon université pour des problèmes d’une grande importance, aussi bien scientifique, pédagogique que politique ou éthique – notamment à l’occasion de la publication par la Société Européenne de Physique d’un article sur les démolitions volontaires du 11-Septembre – je n’ai eu en retour que des réponses nulles sur le fond, se moquant de toute règle scientifique de base, celles-là même que mes collègues et moi sommes censés enseigner aux étudiants. Et le pire, c’est qu’on les enseigne tous, y compris ceux qui ne les appliquent pas pour eux-mêmes.

Concernant la Syrie, je renvoie mes lecteurs à ce que j’écrivais début 2015, entre autres ; ou à cette question posée à mes étudiants en novembre dernier. Où l’on voit que la démolition des impostures médiatiques est à la portée d’un étudiant de licence, même lorsque ses professeurs refusent obstinément de s’y atteler et vont jusqu’à le traiter de “complotiste”.  Enfin, on pourra peut-être reprocher à Slobodan de ne pas parler d’Israël, pourtant bien présent parmi les fournisseurs de mensonge et de terreur aux côtés des USA et de l’Arabie Saoudite. Toutefois, il faut bien reconnaître que cet État-Frankenstein qui n’en est pas un (puisque tout État doit en premier lieu définir ses frontières) n’aurait pas vu le jour sans la complicité active de l’empire anglo-américain, ce qu’avait fort bien résumé Albert Eintein dans une lettre de 1948 que je ne me lasse pas de citer ici.]


2017! ENFIN!

par Slobodan Despot

2+0+1+7 = 10; 1+0 = 1.

Selon les numérologues, 2017 est une année qui vaut «1». Elle est l’opposé de l’an 2016 qui, lui, valait 9. 2016 était la fin d’un cycle, 2017 le début d’un autre.

C’est peut-être pour cela que — même quand on ne croit pas au langage des chiffres — personne n’aura l’idée de vous souhaiter, cette année, que les choses continuent «comme avant». La continuité est barrée de notre vocabulaire et de nos esprits. Elle est impensable, tant sur le plan des faits extérieurs que de la vie intérieure.

Sortie de glaciation

2016 fut, sous bien des aspects, une année prodigieuse et prophétique — toujours du point de vue des faits extérieurs. Elle a vu les Britanniques voter leur départ de l’UE, les Italiens renvoyer dans les filets un Premier ministre parachuté par la suprasociété et, surtout, les Américains voter pour un desperado jaune feu, le magnat des casinos Donald Trump.

Les deux derniers mois auront été particulièrement rocambolesques. Entre le coup de théâtre de l’élection U. S. et l’effondrement subséquent de l’illusion médiatique, l’expulsion des islamistes d’Alep et la signature d’un accord de cessez-le-feu en Syrie sans les USA, ce sont des pans essentiels de la carte géopolitique qui basculent de manière rapide et spectaculaire.

Après une période glaciaire d’un quart de siècle marquée par un seul avenir et une seule culture possibles pour la planète Terre, le monde est littéralement en train de reprendre des couleurs! Dans l’UE comme aux Etats-Unis ou en Suisse, au sein des organisations internationales, dans les groupes médiatiques et les facultés, des milliers de globocrates, de laborantins du nivellement mondial, ont, eux, viré au vert pâle. Ils sont les seuls à exiger du «comme avant». Toujours plus de «comme avant»! L’Europe de Bruxelles est en panne? C’est qu’il nous faut davantage de Bruxelles! La criminalité se répand dans des zones sans frontières en même temps que l’espionnage de la population s’aggrave? C’est qu’il y a encore trop de frontières, trop de barrières, trop de cloisons. Abaissez tout! Remplacez, dès que possible, les murs de vos demeures par des parois de verre, comme dans Zamiatine. Supprimez le cash et payez votre café avec une carte à puce traçable. Ainsi nous pourrons enfin tout voir et tout contrôler. En quoi cela vous dérange-t-il si vous n’avez rien à vous reprocher?

On éprouve une satisfaction profonde à voir ces apparatchiks, qui se sont toujours vus comme les locomotives du «progrès», les défricheurs de demain, vaticiner sur un quai désert sans remarquer que le train du XXIe siècle est parti sans eux. Eux qui pourfendaient sans relâche le «conservatisme» et la «réaction», les voici qui ne savent plus rien faire d’autre que nier la réalité présente et vouloir réappliquer de force des schémas de lecture erronés et des solutions révolues.

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La burqa de l’homme blanc (Antipresse)

[Note (un peu longue) de l’administrateur de ce blog : comme je l’ai fait à d’autres occasions, je relaie ici la prose brillante de Slobodan Despot que je reçois via la lettre dominicale d’Antipresse. Mais j’ai décidé de remplacer le titre original de l’article (“Le vrai rôle des médias de masse” , informatif mais plat) par une expression employée par Slobodan Despot dans son texte, que je trouve particulièrement lumineuse et ironique, traduisant en très peu de mots à la fois l’aveuglement (ou la cécité, ce qui revient au même…) et l’hypocrisie produits par les media de masse. Comme d’habitude, Slobodan Despot tape ici en plein dans le mille de la maladie de civilisation de l’ “Occident développé”.

J’ai choisi également de changer le portrait habituel de Slobodan Despot par une photographie annotée de la tour n°1 du World Trade Center peu avant sa chute, dont l’interprétation diffère du tout au tout suivant que l’on adhère à la religion des media de masse – et ne remet donc pas en cause leur Sainte Parole – ou que l’on exerce réellement son libre-arbitre en suivant la voie parfois difficile mais sûre de la raison. Dans le premier cas, on se lamentera et versera une larme sur l’extraordinaire “manque de chance” de l’entreprise de gestion des risques (!) Marsh & McLennan Companies, ayant perdu 295 de ses membres dans les attentats du 11 septembre 2001.

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Sujet d’examen (extrait)

Infrastructure pétrolière et gazière au Moyen-Orient.
(source : Wikipédia, couleurs modifiées)

Au moment où les coupeurs de tête modérés sont chassés d’Alep et où les “journalistes” et “experts” français continuent désespérément à répandre leur charlatanisme en faisant comme si on pouvait encore y croire, il est bon de rappeler que la mission d’un enseignant n’est pas seulement de gaver ses étudiants avec des connaissances, mais aussi de développer leur esprit critique.

Cet entraînement peut avoir lieu à tout moment, sur tous les sujets (en rapport avec le cours ! pour ce qui me concerne, ce peut être par exemple la mécanique des fluides…) car il n’y a en sciences ni dogmes ni tabous. Tous ceux qui écartent un thème de la discussion scientifique au motif qu’il serait trop “polémique” ne sont pas, en réalité, des scientifiques mais de médiocres intellectuels qui n’ont de la science que le vernis du jargon et des outils mathématiques.

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Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine
(Carroll Quigley – Pierre Hillard)

[Note de l’administrateur de ce blog : au moment où d’importants bouleversements sont en cours au sommet de la première puissance mondiale (sur le plan militaire au moins), il est intéressant d’écouter Pierre Hillard présenter le livre de l’historien américain Carroll Quigley, Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine, paru aux États-Unis dans sa version originale en 1981. Un livre, posthume à la demande de l’auteur, qui éclaire particulièrement les liens profonds et anciens de cette oligarchie avec le monde juif, donc avec le sionisme et aujourd’hui l’État d’Israël, ainsi que l’importance chez elle de l’idéologie mondialiste, qui vient semble-t-il de prendre du plomb dans l’aile avec l’élection de Donald Trump.

Cette vidéo a été enregistrée en juin 2015 ; elle ne manquera pas de faire réagir les habituels mougeons qui la trouveront sans doute complotiste®, antisémite®, réactionnaire® et nauséabonde®. Manque de bol, Pierre Hillard ne parle ici, via Carroll Quigley mais aussi via des historiens juifs faisant autorité en leur domaine comme Gershom Scholem ou Cecil Roth, que des connaissances les mieux établies en la matière.]

Travaux dirigés, version sérieuse (corrigé)

integrale-rougeComme promis il y a une semaine, voici (un peu plus bas…) la correction de la feuille de travaux dirigés que j’avais donnée le premier novembre sur la statique et la dynamique des gratte-ciel. Je réitère encore une fois mes avertissements : il ne s’agit pas de “vulgarisation”, mais bien de physique telle qu’elle est enseignée à l’université – même si c’est ici à un niveau élémentaire, en première année.

Des non-scientifiques pourront être gênés par le formalisme mathématique, pourtant ici très simple pour des apprentis physiciens : je n’ai pas cherché à l’éviter, j’ai joué le jeu d’exercices “comme en vrai”. Mais ils ne devront pas croire que c’est ce formalisme qui garantit le sérieux de la démonstration : il s’agit simplement d’un langage “naturel” pour traiter des problèmes de physique, que tout étudiant en cette discipline doit donc maîtriser un minimum, de même qu’un musicien doit connaître les bases du solfège qui elles aussi rebutent les non-musiciens. Il y a d’ailleurs des liens évidents entre mathématiques et musique, mais c’est un autre sujet…

Non seulement le formalisme mathématique ne garantit pas la validité d’une démonstration, mais sa relative opacité permet à certains scientifiques peu honnêtes, ou encore honnêtes mais dominés par le formalisme alors qu’ils ont en principe pour mission de le dominer, de camoufler du non-sens scientifique derrière un luxe d’équations et de notations en alphabet grec. Dans le cas de l’effondrement des trois gratte-ciel du 11-Septembre, on peut dire que certains s’en sont donné à cœur joie, soit dans les mathématiques formelles, soit dans l’application informatique des lois de la physique par calcul numérique. Dans l’un ou l’autre cas, le danger est le même : tant qu’on ne refait pas chaque ligne de la démonstration, ou qu’on ne vérifie pas chaque ligne du code de calcul et les données numériques introduites, accepter un résultat au prétexte qu’il est publié dans une revue spécialisée relève de la croyance, pas de la connaissance rationnelle. D’où l’utilité de se limiter à des modèles très simples – mais justes malgré tout, dans les grandes lignes – pour débroussailler le maquis de mensonges, ce que je tente de faire ici.

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Les loups entre eux

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Statue de la Liberté en construction,
Paris, France, 1884

Beaucoup de personnes croient encore que les États-Unis d’Amérique, ou d’autres pays qui sont leurs alliés (pour ne pas dire leurs vassaux) tels que la France, sont réellement des démocraties. Certes imparfaites, puisqu’un régime démocratique est toujours le siège de luttes internes visant à réserver le pouvoir à quelques-uns ; mais foncièrement, des émanations de la volonté populaire par le truchement d’élections.

Il n’en est rien, et l’on se rend compte de mieux en mieux, dans les périodes de crise comme celle que nous vivons, que les élections n’ont en réalité dans les “démocraties occidentales”, lorsqu’elles portent sur les enjeux les plus importants comme l’élection d’un Président de la République, qu’une fonction purement décorative et de contrôle des populations, précisément en leur faisant croire que le régime qui les dirige est légitime. En effet, avec la règle de la majorité, chacun est censé se soumettre à l’avis d’une moitié de l’électorat, même s’il se trouve dans l’autre : 50,01 % des suffrages suffisent à rendre un régime légitime.

Or les moyens financiers et médiatiques colossaux engagés dans toute élection “moderne” excluent de fait tout risque de victoire d’une candidature non soutenue massivement par les pouvoirs financier et médiatique, c’est-à-dire par le pouvoir réel. Il est très facile, armé de ces pouvoirs, d’orienter suffisamment l’opinion dans la “bonne” direction pour être quasiment certain de faire élire le “bon” candidat, par des électeurs qui se croient libres. Certes, on ne fera pas changer d’avis ceux qui ont des opinions politiques très arrêtées, mais il suffit d’influencer suffisamment le ventre mou des démocraties, cette masse d’électeurs indécis et plus sensibles à la tenue vestimentaire des candidats ou à leur dernier buzz médiatique qu’à leurs idées, pour faire passer l’aiguille du compteur majoritaire d’un côté ou de l’autre. On peut bien mettre en scène des duels entre candidats prétendument opposés, mais il est d’emblée certain que tous les candidats susceptibles de gagner sont des candidats de l’oligarchie régnante – même Trump, n’en déplaise à quelques rêveurs.

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Travaux dirigés, version sérieuse

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Une intégrale, ça fait sérieux.
Mais on peut aussi raconter n’importe quoi
bien emballé dans des mathématiques luxueuses.

Le 11 septembre dernier, je proposais des travaux dirigés qui, bien que reposant uniquement sur des considérations de physique des plus sérieuses, étaient assez loin par leur fantaisie, mais également par la quantité de connaissances mises en œuvre pour les traiter, de ce qu’un enseignant d’université est en droit d’exiger de ses étudiants. Un “véritable” texte de travaux dirigés, en physique au moins, se doit de poser des questions relativement fermées portant sur quelques lois bien précises (celles vues en cours), et de faire appel à un minimum de compétences mathématiques en exigeant quelques calculs littéraux. Ce n’est certes pas au degré calculatoire que se mesure la bonne physique – il est possible d’en faire de très mauvaise en mobilisant des mathématiques luxueuses – mais il est certain que, depuis Newton, tout physicien doit maîtriser quelques notions de calcul infinitésimal.

Je vous propose donc aujourd’hui un “véritable” texte de travaux dirigés, tel qu’il peut être proposé à des étudiants de première année de physique dans le cadre d’un cours de mécanique du point. Cette discipline est la première à être enseignée dans le cursus de physique à l’université, en parallèle avec d’autres comme la thermodynamique ou l’optique géométrique. Elle constitue la base de nombreux autres champs de la mécanique, comme la mécanique des fluides ou la résistance des matériaux.

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