Jacques Attali : prophète, initié ou dictateur ?

[Note de l’administrateur de ce blog : chacun pensera ce qu’il voudra des analyses présentées par “Les déQodeurs” (j’encourage chacun à faire preuve de sens critique) mais personne ne pourra nier que le travail d’archive fait ici à partir de 40 min, et tout particulièrement l’extrait d’interview de Jacques Attali de 2016 présenté à partir de 43 min, est extrêmement instructif et troublant. Et il en est de même pour l’interview d’Emmanuel Macron présentée à partir de 44 min 20 s.

La révolution violente serait-elle un but recherché par l’État profond ? Quoi qu’il en soit, tout être humain ayant acquis une certaine sagesse sait que seules les révolutions intérieures et pacifiques sont durables.]


(vidéo du 25 août 2021)

Des préadolescents britanniques pourront choisir de se faire vacciner sans l’accord de leurs parents (RT France)

[Note de l’administrateur de ce blog : quand une civilisation commence à sacrifier ses enfants, c’est mauvais signe. Voir sur ce sujet l’article toujours d’actualité de l’AIMSIB, ou celui donné en lien avec l’illustration.]


Même si les parents s’y opposent, les préadolescents (12-15 ans) pourront se faire vacciner s’ils sont «jugés capables de prendre une décision compétente», a fait savoir le 5 septembre le responsable gouvernemental du programme de vaccination.

Le Royaume-Uni a annoncé ce 5 septembre une décision qui risque de crisper encore un peu plus le débat concernant la controversée vaccination contre le Covid-19 des 12-15 ans. Interrogé par Times Radio, le sous-secrétaire d’Etat britannique pour le déploiement du vaccin, Nadhim Zahawi, a ainsi fait savoir qu’un adolescent favorable à la vaccination pourrait recevoir le sérum, et ce même si ses parents s’y opposent.

Affirmant que l’Agence de santé britannique (NHS) avait «une très bonne expérience en la matière», puisqu’elle mettait en œuvre des programmes de vaccination dans les écoles depuis très longtemps, Nadhim Zahawi a déclaré que les médecins discuteraient de la question avec les parents ainsi que les adolescents, et que si ceux-ci sont «jugés capables de prendre une décision compétente», alors le dernier mot leur reviendra. «Donc pour être clair, l’adolescent peut passer outre l’absence de consentement parental ?», insiste alors le journaliste, ce à quoi Nadhim Zahawi répond de nouveau par l’affirmative.

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