Septembre 2001 aux États-Unis :
quelle fut l’origine des évènements ? (Christian Darlot)

Par Christian Darlot − Le 18 août 2021

L’attentat du 11 septembre 2001 aux États-Unis fut à l’origine de vingt années de guerres et de tensions internationales. La dynamique politique ainsi déclenchée s’est développée jusqu’à mettre la paix du monde en péril, tandis que la répression du terrorisme était prétexte à restreindre les libertés publiques. Les circonstances de cet attentat éclairent son origine.

Viendra un temps auquel la postérité s’étonnera que nous ayons méconnu de telles évidences. Sénèque

La crédulité des dupes est un fonds inépuisable pour l’ingéniosité des coquins. Edmund Burke

La réalité a cet avantage sur la fiction qu’elle n’a pas besoin d’être vraisemblable. Mark Twain

Seuls les plus petits secrets ont besoin d’être protégés. Les plus grands sont gardés par l’incrédulité publique. Marshall McLuhan.

Le bobard dément prépare le bombardement. Ephraïm Camember, 29 juillet 1881.

 

Un précédent article a montré que la version officielle de la destruction des tours de Manhattan, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique, mais qu’une analyse simple, fondée sur les principes de la Physique, permet d’identifier le procédé de destruction : des explosions nucléaires souterraines. Ce procédé est inaccessible à un groupe terroriste, et son emploi nécessita des complicités dans l’appareil d’État et les médias.

Comment ces évènements furent-ils possibles ?

1 Circonstances

Les faits physiques ont été analysés précédemment, mais bien d’autres faits sont étonnants :

1.1 Coïncidences à Manhattan

  • La famille Bush participait à la gestion du World Trade Center : un frère de G.W. Bush, Marvin Bush, et son cousin Wirt Walker III dirigeaient la société de maintenance. Un frère de Cheney dirigeait la société de sécurité. Or le dimanche précédent, l’activité fut arrêtée dans les tours et le système de sécurité fut débranché pour des travaux.
  • Au matin du 11 septembre, des dirigeants et des cadres de sociétés ayant leurs bureaux dans les tours participèrent à un « petit déjeuner de charité » sur une base militaire. Plusieurs sociétés envoyèrent à leur personnel des courriels enjoignant de ne pas venir ce jour-là, ou de quitter les tours au plus vite.
  • Le spéculateur immobilier Larry Silverstein fut extrêmement chanceux. Il ne vint pas à son bureau ce matin-là, tandis que ses enfants arrivèrent en retard. Déjà propriétaire du bâtiment n°7, il avait acquis six semaines auparavant, pour 14 millions de dollars, ces immeubles déficitaires, dont le coût de désamiantage était estimé à un milliard de dollar, et les avait assurés séparément contre des attentats, chacun pour une valeur de 3,2 milliards de dollars1. En compensation de deux attentats, les compagnies d’assurance des immeubles et de navigation aérienne lui payèrent 4,577 milliards de dollars pour les tours jumelles et 861 millions pour le bâtiment 7. Total : 5,4 milliards. Certaines gens sont des génies de la finance.

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Septembre 2001 aux États-Unis :
analyse physique des événements

Par François Roby et Christian Darlot

Le 12 août 2021

La version officielle de la destruction des tours de Manhattan, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique. Mais les principes fondamentaux de la Physique permettent, par une analyse simple, d’identifier le procédé de destruction.

Quoiqu’il puisse paraître déjà ancien tant les catastrophes se sont enchaînées depuis, l’attentat du 11 septembre 2001 à Manhattan et au Pentagone reste l’un des plus importants événements récents, puisqu’il est à l’origine de 20 années de guerre au Proche-Orient. Comprendre les causes de cet attentat est donc capital pour anticiper l’évolution des relations internationales. Or le rapport officiel, publié par les pouvoirs publics étasuniens, présente tant de lacunes et d’impossibilités qu’il ne peut être considéré comme véridique1. Mais le choc d’un avion contre une tour, et l’effondrement d’une tour, sont déterminés par les lois de la Physique. Ces faits peuvent donc être étudiés selon une méthode sûre : l’analyse physique des observations. L’objectivité de principe d’une telle analyse n’empêche pas la compassion envers les victimes, mais au contraire peut permettre d’élucider les causes de leur mort, innocenter des innocents, identifier les coupables et les empêcher de récidiver.

Note du Saker Francophone

On publie 2 articles ce jour pour témoigner du 20ème anniversaire de ce tragique événement. On laisse aux 2 auteurs leurs choix éditoriaux. En l’absence de collaboration réelle de l’État américain, la réalité complète restera probablement dans l’ombre comme l’affaire Kennedy. On a aussi publié un livre sur le volet Pentagone avec des arguments différents qui ne s’excluent pas forcément.

En ces jours de débâcle en Afghanistan et d’effondrement du Système occidentaliste, ces travaux restent pertinents pour continuer à mettre la pression sur ceux qui ont organisé ce coup car tous ne sont pas encore morts comme Rumsfeld mais ce sont les conséquences de ce point de départ jusqu’à l’opération Covid qui restent notre principale préoccupation.

 

Sources :

Outre le rapport officiel aussi lacunaire que volumineux, une recherche sur Internet permet de trouver foison de documents, de photos et de vidéos des événements à New York. Au contraire, très peu de documents sont accessibles sur l’incident du Pentagone à Washington, et presque pas sur l’écrasement d’un avion en Pennsylvanie. Des associations d’architectes et d’ingénieurs, comme Architects and Engineers for 9/11 Truth, ou de pilotes d’avion comme Pilots for 9/11 Truth, ont publié des discussions techniques de ces événements.

Selon un principe fondamental des débats intellectuels, la charge de la preuve incombe à qui affirme. La première étape de la recherche de la vérité est donc d’examiner la compatibilité de la version officielle avec les conditions physiques des événements.

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