L’origine artificielle (et américano-chinoise)
du SARS-CoV-2 se confirme

Inauguration du laboratoire P4 de Wuhan, Chine, 23 février 2017, en compagnie de Bernard Cazeneuve, Yves Lévy et Marisol Touraine

L’origine artificielle du SARS-CoV-2 est passée en peu de temps du statut de “théorie complotiste fumeuse”, parfois niée en dépit du bon sens par des directeurs de recherche affirmant – alors qu’ils sont payés entre autres pour des travaux de ce type – que personne ne sait faire ce genre de choses en laboratoire, au statut de piste éventuelle reconnue du bout des lèvres par des media de grand chemin, qui de toute façon ne pourront rien contre l’avalanche de preuves.

Celles-ci sont de deux natures : scientifique, comme l’avait dès le début exposé le Pr Montagnier et d’autres grands chercheurs, ce qui les rend difficiles à comprendre pour le commun des mortels, et administrative, via des documents attestant de programmes de recherche, financements et accords divers correspondant point par point aux caractéristiques infectieuses du SARS-CoV-2. Ces dernières sont naturellement plus accessibles, et c’est aujourd’hui le journal The Intercept qui publie le résultat d’une requête introduite dans le cadre du Freedom of Information Act – une loi sur la liberté de l’information également très utilisée par les chercheurs de vérité sur le 11-Septembre – qui montre à quel point les USA et la Chine sont co-responsables de recherches à haut risque à Wuhan, arrêtées par l’administration Trump mais qui furent toujours poussées par le Dr Fauci et le Dr Daszak de l’association EcoHealth Alliance.

Je vous propose ci-dessous la traduction de cet article.

——— Début de la traduction ———

Plus de 900 pages de documents relatifs à la recherche sur le coronavirus financée par les États-Unis en Chine ont été publiées à la suite d’une action en justice intentée par The Intercept en vertu de la loi sur la liberté d’information.

Des documents récemment publiés fournissent des détails sur les recherches financées par les États-Unis sur plusieurs types de coronavirus à l’Institut de virologie de Wuhan en Chine. The Intercept a obtenu plus de neuf cents pages de documents détaillant le travail de l’EcoHealth Alliance, une organisation de santé basée aux États-Unis qui a utilisé des fonds fédéraux pour financer la recherche sur les coronavirus des chauves-souris dans le laboratoire chinois. Ces documents comprennent deux propositions de subventions inédites financées par le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID), ainsi que des mises à jour de projets relatifs aux recherches de l’EcoHealth Alliance, qui ont fait l’objet d’un examen minutieux dans un contexte d’intérêt accru pour les origines de la pandémie.

Les documents ont été publiés dans le cadre d’une action en justice intentée en vertu de la loi sur la liberté d’information par The Intercept contre les National Institutes of Health. The Intercept met l’intégralité des documents à la disposition du public.

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