Loi Avia et auto-amnistie : c’est la panique !
(ONLI Hebdo #34 – ERFM)

[Note de l’administrateur de ce blog : le jour où la “loi Avia” prétendant lutter contre la “haine en ligne” est en lecture définitive à l’Assemblée nationale, cette émission d’ERFM est particulièrement recommandée. Où l’on se rendra vite compte de quel côté est la haine, la vraie...

Et puisque cette vidéo n’en est pas vraiment une, pour ceux qui préfèrent ne pas aller sur YouTube ou télécharger directement la piste sonore, c’est par là.]


Nous avons (encore) le choix : néo-féodalisme
ou démocratie constitutionnelle ?

Déconfinons !

Mais sans oublier les esprits, salement esquintés par une terreur médiatique entretenue ; avec de plus en plus de peine, quand même : on peut mentir à une personne tout le temps, à tout le monde de temps, mais pas à tout le monde tout le temps. Je signalais récemment l’appel pour l’Église et pour le monde lancé à l’initiative de Mgr Carlo Maria Viganò, preuve que des esprits lucides existent encore, et même au plus haut des institutions religieuses. Un appel qualifié de “complotiste” par La Croix… mais ce journal est-il encore vraiment catholique ou surtout occupé, comme toute la “grande” presse, à ne pas froisser ses annonceurs (État compris, pour les subventions) afin de survivre financièrement ? Vous savez ce que je pense de certains mots-clés !

Rappelons donc ici, grâce à un article de Ken FM du 9 mai 2020 que j’ai traduit de l’allemand, un certain nombre de faits concernant l’oligarchie mondiale — pour ne pas dire mondialiste — et ses exactions passées en matière d’eugénisme et de contrôle des populations. Complotiste ? Non, bien réel, et documenté. Mais à une époque où certains n’hésitent pas à nier le rôle majeur de l’Union Soviétique dans la défaite du nazisme, attendez-vous à recevoir ce qualificatif si par malheur vous rappelez ce qui suit dans vos conversations !

———————————— Début de la traduction ————————————

Un commentaire de Hermann Ploppa.

“Le seul rempart sûr pour une liberté durable est un gouvernement suffisamment fort pour protéger les intérêts de la population et une population suffisamment forte et suffisamment informée pour exercer son contrôle souverain sur le gouvernement.”

( Franklin Delano Roosevelt, 32ème président des États-Unis )

Nous avons l’habitude de vivre dans un État constitutionnel. Mais si un État constitutionnel est aussi affaibli et vidé de sa substance que le nôtre, alors l’état mental d’une personne hyper riche, prenons monsieur Bill Gates au hasard, peut influencer et compromettre la vie de millions, voire de milliards de personnes. Et ainsi contemplons-nous avec une rage impuissante les régents de l’Union européenne, et d’innombrables régents d’États-nations appauvris, récolter en ce moment huit milliards de dollars afin que le rêve d’enfant du roi des logiciels, Bill Gates, d’euthanasier [NdT : le texte allemand utilise “Abspritzung”, un terme utilisé par les SS pour désigner une injection létale.] — pardon : de soumettre à une injection forcée tous ceux qui vivent ou végètent sur Terre, devienne une réalité.

Si la Constitution, notre loi fondamentale, est jetée à la poubelle de l’histoire, des individus fous peuvent façonner le monde à leur image. Pour être honnête, cela a longtemps été une triste réalité aux USA. Aux États-Unis, ce que certains grands prêtres du Marché veulent nous servir avec des trémolos dans la voix, à savoir le « partenariat » public-privé, se réalise depuis longtemps. C’est-à-dire que des hommes sages hyper riches s’asseyent ensemble dans des cercles informels et proposent des projets et des paradigmes pour le reste de leur propre population1.

Et ces fondations exonérées d’impôt transmettent ensuite des lignes directrices aux partis, aux syndicats et aux comités de pseudo-citoyens.

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Appel pour l’Église et pour le monde,
aux fidèles Catholiques et aux hommes de bonne volonté

Lion de Saint Marc

“Veritas liberabit vos” — La vérité vous libèrera (Jean 8:32)

[Note de l’administrateur de ce blog : il est intéressant de voir qu’en partant d’une “Église” quelque peu différente (l’organisation socialiste révolutionnaire européenne), on parvient peu ou prou aux mêmes conclusions, même si elles sont exprimées d’une tout autre manière. Preuve que l’époque est vraiment particulière et que l’humanité devra traiter les problèmes de fond pour parvenir à un niveau de conscience supérieure, où bien des querelles actuelles paraîtront alors rétrospectivement futiles.

L’appel est disponible directement en anglais, italien, allemand, espagnol, portugais et polonais sur veritasliberavitvos.info [mise à jour du 26 août 2021 : le site n’étant plus disponible, je reproduis ci-dessous le texte intégral de l’appel, qui peut également être téléchargé au format PDF ici], prière de s’y reporter pour ces langues plutôt que d’utiliser la traduction automatique. Il a été lancé à l’initiative de Mgr Carlo Maria Viganò, archevêque titulaire de Ulpiana, ancien chef du personnel au Vatican et ancien secrétaire général du gouvernorat de la Cité du Vatican, où il lutta contre la corruption et le népotisme.]


En ce temps de très grave crise, nous, Pasteurs de l’Église Catholique, en vertu de notre mandat, considérons comme notre devoir sacré de lancer un Appel à nos Confrères dans l’Épiscopat, au Clergé, aux Religieux, au Peuple de Dieu et à tous les hommes de bonne volonté. Cet Appel est également signé par des intellectuels, des médecins, des avocats, des journalistes et des professionnels, qui en partagent le contenu. Il est ouvert à la signature de ceux qui voudront en partager le contenu.

Les faits ont montré que, sous prétexte de l’épidémie de Covid-19, en bien des cas les droits inaliénables des citoyens ont été violés, en limitant d’une manière disproportionnée et injustifiée leurs libertés fondamentales, y compris l’exercice de la liberté de culte, d’expression et de mouvement. La santé publique ne doit pas et ne peut pas devenir une excuse pour bafouer les droits de millions de personnes dans le monde, et encore moins pour exonérer l’autorité civile de son devoir d’agir avec sagesse pour le bien commun; cela est d’autant plus vrai que les doutes croissent quant à l’effective contagiosité, à la dangerosité et à la résistance du virus : de nombreuses voix faisant autorité dans le monde de la science et de la médecine confirment que l’alarmisme à propos du Covid-19 amplifié par les médias ne semble absolument pas justifié.

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En pleine pandémie, quelle priorité pour le “philanthrope” Soros ? “abolir la famille” !

Vous l’avez compris dès la lecture du titre, les guillemets sont nécessaires : les premiers pour étendre les bases de la philanthropie à tous ceux qui veulent d’abord créer le chaos pour pouvoir reconstruire le monde à leur idée, et les seconds pour bien insister sur la véracité de la citation. Dans un article du 24 mars 2020 publié sur le site de openDemocracy, une des nombreuses ramifications des Open Society Foundations du milliardaire George Soros, une certaine Sophie Lewis ne trouve rien de mieux que de titrer : “La crise du coronavirus montre qu’il est temps d’abolir la famille“. Au cas où le cheminement logique qui mène à cette déduction vous échapperait encore, je vous propose ci-dessous la traduction de cet article, afin que chacun puisse s’imprégner de la sagesse de l’auteur. D’ailleurs, comment pourrait-il en être autrement avec un prénom pareil ?

———————————— Début de la traduction ————————————

Que nous apprend la pandémie sur la famille nucléaire
et le domicile privé ?

Sophie Lewis, 24 mars 2020

Au moment d’écrire ces lignes, l’humanité est bel et bien entrée dans l’ère du coronavirus.

Dans l’espoir « d’aplanir la courbe » de la pandémie, de vastes pans de la société ont adopté des pratiques de ralentissement de la contagion (qu’elles soient obligatoires, volontaires ou semi-volontaires, selon la législature locale) appelées « distanciation sociale » et « confinement ».

Les media sont inondés de chroniques sur ces pratiques, dont beaucoup sont naturellement anxiogènes, provoquant un état de choc et de désespoir, en raison de la perte de revenus ou de la peur d’une mauvaise santé pour ses proches. Pourtant, beaucoup d’individus, au contraire, prennent cela avec humour, sont enthousiasmés et heureux de ne pas travailler, et font preuve d’une créativité comique due au confinement surprise (par exemple : jouer au morpion avec son poisson rouge ; faire le DJ avec les plaques de cuisson de la cuisinière ou simuler un trajet dans le métro en agrippant la barre du rideau de la douche).

Certes, il y a eu des tentations totalitaires et des appels à une prise en main autoritaire de la situation par l’État, mais l’entraide s’est également développée : organisation de courses et fourniture de désinfectants pour les personnes immunodéprimées ; garde d’enfants et kits d’injection pour les professionnels du sexe et les toxicomanes ; facilités de paiement ; moratoires d’expulsion ; grèves des loyers et efforts pour assurer un refuge aux sans-abri. Cette dernière mesure, en particulier, met en lumière un point crucial, inavoué et pratiquement jamais discuté de la réponse à la pandémie : les domiciles privés.

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Le coup d’État technologique (Journal de Coronafoirus, 6e semaine) — L’édifiante histoire du naufrage Theranos (Antipresse)

[Note de l’administrateur de ce blog : le “Journal de Coronafoirus” est un échappatoire hebdomadaire délicieux offert par l’Antipresse à l’obscurantisme scientiste ambiant, dont je reproduis ici un extrait. Il permet non seulement de se détendre mais aussi d’entrevoir les raisons de l’effondrement prochain de la psychose COVID-19 et avec lui, des projets délirants et totalitaires d’une hyperclasse hors-sol.

L’éternel retour du réel, en somme. Et n’oubliez pas de soutenir l’Antipresse en vous y abonnant !]


2 mai 2020. Samedi. Elizabeth Holmes passait pour l’un des rares génies féminins — sinon le seul — de la Silicon Valley. On l’appelait le Steve Jobs de la médecine. Elle favorisait la comparaison en portant hiver comme été un col roulé noir, comme son modèle. Comme son modèle, elle était habitée par une idée à la fois populaire et sophistiquée qui allait révolutionner la vie de tous : elle voulait rendre l’analyse du sang universellement accessible — et même l’intégrer à l’équipement domestique. Son invention consistait à comprimer l’équivalent d’un labo d’analyses sanguines dans un boîtier à peine plus grand qu’une machine à espresso. Il suffisait de prélever une goutte de sang au bout d’un doigt, de manière quasi indolore, et Edison faisait le reste : des centaines de tests en moins de temps qu’il ne faut pour se mettre un sparadrap.

Adieu terrifiantes aiguilles, adieu fioles, adieu attentes sans fin…

Sur cette promesse, Elisabeth avait recruté une équipe de biologistes et d’ingénieurs du plus haut niveau et implanté son label Theranos à deux pas des géants de la tech. Le board de sa compagnie se composait de noms retentissants tels George Schultz, ex-secrétaire d’État à l’économie, William Perry, ex-secrétaire à la Défense, le général James Mattis, David Boies, l’un des plus redoutables avocats des États-Unis, et même le légendaire gourou de la géopolitique Henry Kissinger ! Parmi les investisseurs, l’on retrouvait des figures non moindres, à commencer par des requins de haut vol comme Rupert Murdoch et Warren Buffett. Leur foi dans son projet égalait presque la confiance qu’elle-même s’accordait. Cette poupée Barbie aux grands yeux écarquillés avait fait la couverture de tous les magazines. Elle avait levé sur les promesses de son minilabo quelque 700 millions de dollars. En 2015, à 31 ans, elle était devenue selon Forbes la plus jeune milliardaire à ne pas avoir hérité de sa fortune. Détentrice d’une moitié des actions de Theranos, elle «pesait» alors 4,5 milliards. Personne n’avait jamais fait mieux.

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Covid : “Comment osez-vous dire ça ?!” me dit-on parfois… (Anthropo-logiques)

[Note de l’administrateur de ce blog : une mise au point de Jean-Dominique Michel après les insultes et autres réactions hystériques qu’il a reçues suite à son entretien avec athle.ch.

Analyser froidement et rationnellement la réalité d’une épidémie (et des réactions gouvernementales à cette épidémie), ou se vautrer dans l’émotionnel pur afin d’être bien sûr de ne rien apprendre de cette crise, telle est la question…

On pourra lire aussi avec grand intérêt, du même auteur, “Covid : le Blues des Toubibs”.]


par Jean-Dominique Michel, MSc anthropologie médicale, expert en santé publique, Genève.

J’ai reçu de vigoureuses interpellations dans l’athlétique foulée  (1’000’000 de vues en quatre jours !) de l’entretien publié sur les sites PHUSIS et ATHLE.

Celle du Pr Philippe Morel, professeur de chirurgie retraité bien connu des Genevois, grand pionnier des transplantations d’organes.  Mais aussi d’autres venant de personnes m’accusant d’irresponsabilité quant aux propos que j’avais tenu et contestant avec conviction mais aussi colère les données que j’indiquais à l’appui de mes analyses. Le message suivant, je crois synthétise bien le fonds du reproche qui m’est fait :

“Tous les scientifiques naviguent a vue avec cette saloperie sauf vous “le messie”.

Je pense que si vous aviez eu la possibilité de passer 24 heures, il y a 10 jours, dans dans un grand service de réanimation Parisien, Madrilène, ou Milanais vous auriez une autre approche des choses.”

 

Je comprends ces réactions, et je respecte profondément l’émotion qui les fonde. Nous en sommes venus à être méfiants en Occident (et peut-être plus encore en Suisse) à l’encontre des émotions. Je les vois pour ma part comme l’expression toujours légitime de besoins en souffrance. Il convient dès lors de comprendre ce qui les déclenche et à quoi ou à qui elles s’adressent…

Et oui, sincèrement, je comprends ces réactions.Le b.a.-ba de l’épistémologie (comme de l’intelligence émotionnelle et relationnelle) est de savoir que tout point de vue dépend de la place qu’occupe celui qui l’énonce.

Et oui, je comprends tout à fait l’idée qu’un intellectuel bien au chaud dans son bureau, glosant sur la “banalité” d’une épidémie alors que les équipes d’urgences des hôpitaux sont confrontées jour après jour non seulement à la surcharge mais encore à l’horreur de situations cliniques épouvantables, puisse susciter une légitime colère.

Les lecteurs fidèles de mon blog seront témoins que je me suis déjà ouvert du confort possiblement choquant de cette position.

Comme du fait que j’ai dit et redit mon admiration mais aussi mon bouleversement de voir ces équipes de professionnels monter au front pour faire face à l’horreur. Souvent (un peu moins en Suisse il est vrai) avec peu de moyens, dans les conditions si difficiles d’un hôpital public en souffrance chronique et manquant à peu près de tout.

Allant jusqu’au pire de ces situations vécues dans certains Ehpad en France, comme celui à Paris dont un tiers des résidentes et résidents gisaient morts sur leurs lits tandis que les pompes funèbres ne venaient plus chercher les défunts, que le tiers des professionnels étaient eux-mêmes malades ou n’osaient plus venir travailler et que les résidents survivant(e)s vivaient terrés et isolés dans cet enfer sur terre.

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Trump, l’eau de Javel et les vaccins : chapeau !
(Boulevard Voltaire)

[Note de l’administrateur de ce blog : Trump est un sacré filou, tout le monde en conviendra. Devenir un magnat de l’immobilier ne se fait pas en jouant les mère Teresa.

Mais contrairement à ce que continuent à penser ceux qui ont encore une guerre de retard, il utilise sa rouerie pour tenter de “drainer le marécage” de la politique fédérale américaine, les États-unis d’Amérique n’étant plus dirigés que par une “oligarchie avec un pouvoir de corruption illimité”, comme a fini par le reconnaître un de leurs anciens présidents. Et la corruption exercée par le lobby pharmaceutique n’est pas une mince affaire.]


On tient probablement l’explication, et ce n’est pas ce que vous croyez. Une hypothèse qui en vaut une autre…

On dira ce qu’on voudra, mais le président américain a prouvé maintes fois son expérience dans la pratique du billard à trois bandes. Il vient de nous en faire une nouvelle démonstration.

Pour comprendre, il importe de saisir deux scènes.

Scène 1 – jeudi 9 avril. Le très respecté procureur général des États-Unis William Barr s’est fendu d’un discours public pour manifester son hostilité à la proposition de Bill Gates d’implanter, dans le corps humain, des « certificats numériques » prouvant qu’une personne a été vaccinée contre le coronavirus. Proposition jugée dangereuse et liberticide alors qu’elle a la faveur de toutes les élites mondialistes contre lesquelles le président et son équipe se battent depuis le début.

Bref, Trump ne veut pas entendre parler de vaccination généralisée et traçable.

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