En pleine pandémie, quelle priorité pour le “philanthrope” Soros ? “abolir la famille” !

Vous l’avez compris dès la lecture du titre, les guillemets sont nécessaires : les premiers pour étendre les bases de la philanthropie à tous ceux qui veulent d’abord créer le chaos pour pouvoir reconstruire le monde à leur idée, et les seconds pour bien insister sur la véracité de la citation. Dans un article du 24 mars 2020 publié sur le site de openDemocracy, une des nombreuses ramifications des Open Society Foundations du milliardaire George Soros, une certaine Sophie Lewis ne trouve rien de mieux que de titrer : “La crise du coronavirus montre qu’il est temps d’abolir la famille“. Au cas où le cheminement logique qui mène à cette déduction vous échapperait encore, je vous propose ci-dessous la traduction de cet article, afin que chacun puisse s’imprégner de la sagesse de l’auteur. D’ailleurs, comment pourrait-il en être autrement avec un prénom pareil ?

———————————— Début de la traduction ————————————

Que nous apprend la pandémie sur la famille nucléaire
et le domicile privé ?

Sophie Lewis, 24 mars 2020

Au moment d’écrire ces lignes, l’humanité est bel et bien entrée dans l’ère du coronavirus.

Dans l’espoir « d’aplanir la courbe » de la pandémie, de vastes pans de la société ont adopté des pratiques de ralentissement de la contagion (qu’elles soient obligatoires, volontaires ou semi-volontaires, selon la législature locale) appelées « distanciation sociale » et « confinement ».

Les media sont inondés de chroniques sur ces pratiques, dont beaucoup sont naturellement anxiogènes, provoquant un état de choc et de désespoir, en raison de la perte de revenus ou de la peur d’une mauvaise santé pour ses proches. Pourtant, beaucoup d’individus, au contraire, prennent cela avec humour, sont enthousiasmés et heureux de ne pas travailler, et font preuve d’une créativité comique due au confinement surprise (par exemple : jouer au morpion avec son poisson rouge ; faire le DJ avec les plaques de cuisson de la cuisinière ou simuler un trajet dans le métro en agrippant la barre du rideau de la douche).

Certes, il y a eu des tentations totalitaires et des appels à une prise en main autoritaire de la situation par l’État, mais l’entraide s’est également développée : organisation de courses et fourniture de désinfectants pour les personnes immunodéprimées ; garde d’enfants et kits d’injection pour les professionnels du sexe et les toxicomanes ; facilités de paiement ; moratoires d’expulsion ; grèves des loyers et efforts pour assurer un refuge aux sans-abri. Cette dernière mesure, en particulier, met en lumière un point crucial, inavoué et pratiquement jamais discuté de la réponse à la pandémie : les domiciles privés.

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Destruction : la rentrée scolaire dans les territoires palestiniens occupés (Middle East Eye)

Des écoliers palestiniens sont assis patiemment pendant que des activistes installent une tente qui leur servira de classe (MEE/Chloé Benoist)

Des écoliers palestiniens sont assis patiemment pendant que des activistes installent une tente qui leur servira de classe (MEE/Chloé Benoist)

[Note de l’administrateur de ce blog : contrairement à une légende tenace, la rentrée universitaire ne se fait pas mi-octobre ou pire. Pour ce qui me concerne, elle aura lieu le 11 septembre prochain.]


Pour certains enfants palestiniens, retourner à l’école signifie retourner à la violence de l’occupation.

Les dizaines d’enfants de Jubbet al-Dhib et des villages avoisinants dans la région de Bethléem, dans le sud de la Cisjordanie occupée, s’attendaient à débuter la nouvelle année scolaire dans une toute nouvelle école primaire dont la construction avait été financée par l’Union européenne (UE).

Mais c’était compter sans les forces israéliennes qui, la veille au soir, avaient détruit les six salles de classe préfabriquées et confisqué tout le matériel de construction, ne laissant que des tas de chaises renversées sur le béton nu.

Les habitants de Jubbet al-Dhib sont encore sous le choc. « Ce ne sont pas des personnes du tout ceux qui démolissent des écoles, ils ne sont pas du tout humains », a déclaré aux journalistes Manal Zawahra, une résidente de Jubbet al-Dhib.

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Sur le sionisme réel, ce proche cousin du nazisme qui lui a (pour l’instant) survécu, voir également sur ce blog :

Et pour prendre conscience du gouffre entre le projet originel et la catastrophe finale :