Covid : l’Allemagne a trouvé son Edward Snowden
(France Soir)

London School of Hygiene and Tropical Medicine

London School of Hygiene and Tropical Medicine

[Note de l’administrateur de ce blog : la Blitzkrieg covidienne a sidéré l’humanité, y compris la plupart des scientifiques, souvent naïfs et incapables d’envisager que leurs autorités aient des intentions criminelles, à plus forte raison préméditées de longue date.

Mais le traitement informatique des données, que certains tentent d’imposer pour tous les aspects de la vie sociale et pour le seul profit d’une caste dirigeante, permet aussi à ceux des analystes qui font passer la rigueur avant l’émotion de mettre en lumière l’organisation de cette plandémie, ou fausse pandémie délibérément organisée, et de prouver – à moins d’admettre que les voyages dans le futur sont possibles – que certains acteurs étaient parfaitement informés de cette “pandémie surprise” bien avant qu’elle n’advienne. Quelques figures de proue du covidisme s’étaient d’ailleurs imprudemment livrés à des prévisions publiques assez catégoriques, et ce dès janvier 2017. Le scenario était même devenu d’une précision chirurgicale juste avant la “pandémie”, lors d’une réunion publique le 29 octobre 2019.

“Il y a le temps médiatique, le temps de la science, et le temps de la justice.” Didier Raoult avait, sur ce plan comme sur beaucoup d’autres, encore raison.]


TRIBUNE – Le 22 septembre, Langemann Medien publiait sur sa chaîne YouTube un entretien – visionné à ce jour près de 500 000 fois – avec un jeune mathématicien et expert-informaticien dont on se souviendra peut-être comme l’Edward Snowden allemand. Nous l’appelerons “Eduard Schneeten” (pour des raisons évidentes, il souhaite rester anonyme).

Assisté de l’analyste politique Thomas Röper (Anti-Spiegel.de, Apolut.net), Eduard Schneeten a passé au crible depuis six mois plusieurs millions de documents grâce à des logiciels spécialisés. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite “anticovid”, de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique”.

Ces réseaux sont désormais parfaitement identifiés grâce aux deux analystes.

La vidéo de Langemann Medien présente en langue anglaise un premier document (169 pages) d’une série à paraître d’ici deux mois environ sous forme de livre, la présentation actuelle sous forme de tableaux Excel et graphiques étant de consultation peu aisée par des non-spécialistes.

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Comprendre l’Ennemi – Youssef Hindi (noach.es)

[Note de l’administrateur de ce blog : en politique comme dans la gestion de la “crise sanitaire”, il faut savoir regarder au-delà des apparences.

D’ailleurs, que ce soient les mêmes ultra-riches qui soutiennent Zemmour et qui profitent de la “crise” n’est pas un hasard. Tout se tient…]


Après s’être penché sur l’arrière-boutique ultra capitaliste de l’insoumise Assa Traoré, Youssef Hindi explore cette fois les coulisses de son alter-droitier : le rebelle Eric Zemmour. Et sans divulgâcher le propos, on peut dire que tous les chemins mènent à R. !

1. Bonjour Youssef, quelles sont les motivations qui t’ont poussé à présenter l’autre visage d’Eric Zemmour, le « patriote préféré des Français ». Quelles ont-été les réactions à gauche comme à droite, des pro et anti Zemmour ?

Cet ouvrage n’est pas une biographie d’Éric Zemmour, mais un essai socio-politique. Il traite, non pas de son autre visage, mais plutôt de l’arrière-fond du phénomène Zemmour. Tout ce que le public ne voit pas, et que le politologue, historien, peut dévoiler, analyser et expliquer ; à savoir, l’idéologie, les puissances d’argent, les ramifications internationales et l’influence de la géopolitique mondiale sur la politique française. Cet ouvrage permet également d’identifier les acteurs dont Zemmour défend les intérêts et ainsi comprendre son discours, qui est double et évolutif.

Dans le cadre de ce livre, L’Autre Zemmour, le polémiste télévisuel sert de porte d’entrée au lecteur vers une compréhension du système politico-médiatique et des réseaux de pouvoir qui placent leurs hommes monopolisant la parole publique. Le lecteur prend de la hauteur, et comprend le rôle d’Éric Zemmour et saisi du regard à quel ensemble il appartient ; à savoir ses patrons, leurs réseaux, l’idéologie qu’ils véhiculent via leurs média, leurs objectifs politiques…

Quant aux réactions, elles sont révélatrices. Commençons par la gauche, l’extrême gauche et autres indigénistes. Tous ses représentants sont restés silencieux avant et après la parution de ce livre. J’ai déjà eu l’occasion de le dire, ce boycott de toute la gauche anti-Zemmour valide une des thèses de mon livre : Zemmour est autant protégé par les milieux journalistiques et médiatiques de gauche que par ceux de la droite. Car, je le répète ici, la gauche qui « attaque » Éric Zemmour ne franchit jamais les limites convenues du débat médiatique au-delà desquelles, l’omniprésent polémiste serait disqualifié. Mon livre dépasse ces limites. C’est ce qui explique pourquoi toute la gauche est restée silencieuse après la parution de L’Autre Zemmour ; elle a également occulté son contenu qui est dangereux pour l’équilibre de leur petit monde politico-médiatique clos où ils s’étripent théâtralement.

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À la volée #3 – Ghislaine Maxwell, deuxième étage
de la fusée “Epstein” (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : pour tous ceux qui pensent encore que l’affaire Epstein n’est qu’une sordide affaire de mœurs, et qui ne comprennent pas qu’on touche là au cœur nucléaire de la politique mondiale. Attention, ça brûle !]


(source)

À la volée est un nouveau format court proposé par ERTV. L’objectif ? L’information reprise de volée et expurgée de sa propagande, en quelques minutes !

Au sommaire de ce troisième numéro :

- Ghislaine Maxwell, deuxième étage de la fusée “Epstein”

- Intervenant : Xavier Poussard, rédacteur en chef de Faits & Documents

Écouter À la volée #3 :

La diversité à l’Université, chiche ? (communiqué syndical)

[Note de l’administrateur de ce blog : une fois n’est pas coutume, moi qui ne suis même pas syndiqué, je reproduis ici un communiqué syndical de Sup’Autonome – FO (de son nom complet Fédération Nationale des Syndicats Autonomes de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche SUPAUTONOME-FO) avec lequel je me sens particulièrement en phase.

J’y rajouterai juste une suggestion de lecture pour comprendre les raisons (ou au moins une partie d’entre elles) de ce que dénonce ce communiqué : cet article de l’Express du 19 avril 2001. Qui ne parle pas de l’Université mais de l’importance de réseaux d’influence pour promouvoir certains selon des critères qui n’ont rien de méritocratique.]


LA DIVERSITÉ À L’UNIVERSITÉ, CHICHE ?

 

“L’indépendance des enseignants doit tenir en échec non seulement le pouvoir politique et administratif, mais tout pouvoir “temporel” quels qu’en soient la nature, l’origine ou le masque”
Georges Vedel

Les récentes mésaventures d’un collègue qui s’est vu écarter pour des raisons pour le moins douteuses du processus de sélection au poste de maître de conférences de l’IEP de Lyon et la décision en sa faveur du tribunal administratif doivent interpeler toute la communauté universitaire.

Ce qui est arrivé à notre collègue n’est pas un cas isolé. Car à la vérité il a payé cash son indépendance d’esprit et le fait que ses analyses sur un conflit sensible ne relèvent pas de la doxa dominante. Chercheur indépendant loin des réseaux qui font une carrière, il ne s’est pas contenté de faire un recours mais il dénonce à juste titre ces nouvelles commissions de recrutement dont l’objectif n’est plus de “recruter un spécialiste de la discipline mais d’écarter une personne précise”.1

Bien sûr ces pratiques existaient avant 2007 mais les nouvelles dispositions de la LRU ont permis leur généralisation transformant l’Université qui devrait être le temple de la méritocratie en une organisation où clientélisme et népotisme règnent sans partage. Les présidents d’université, pour nombre d’entre eux, aiment à se présenter en gestionnaires soucieux de la seule efficacité de leur université. Bien évidement cette vision qu’ils donnent d’eux-mêmes ne résiste pas à un examen sérieux des faits. Ils sont très souvent des politiques ayant avec ce milieu des attaches plus fortes qu’ils ne le prétendent et, eux mêmes, partagent souvent la nouvelle doxa intellectuelle qui caractérise le politiquement correct actuel.

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