Gratte-ciel à structure interne et externe d’acier pénétré très proprement par un aéronef à structure aluminium
Nous avons déjà évoqué ici la notion d’attentat sous faux drapeau, véritable couteau suisse de la manipulation d’opinion par la terreur et prélude quasi obligatoire au déclenchement de guerres. Une longue liste d’actes de terrorisme reconnus (par les autorités elles-mêmes) comme appartenant à cette catégorie, permet de clouer le bec à tout interlocuteur vous traitant de paranoïaque dérangé lorsque vous remarquez, par exemple, que beaucoup de choses sont bizarres dans les attentats de Paris de janvier 2015. Et que Jeannette Bougrab n’a peut-être pas très bien joué le rôle de composition de compagne éplorée qui lui a été attribué. Nous avions aussi évoqué les étranges décapitations scénarisées de l’État prétendument “islamique”, et la non moins étrange franche bonne humeur de la soeur de James Foley, se marrant comme une baleine alors qu’une journaliste l’interrogeait, en prenant bien soin de prendre une tête d’enterrement, sur son frère tout juste refroidi.
Mais si les autorités finissent par admettre avoir manipulé l’opinion de façon criminelle lors d’événements anciens ou très anciens, elles sont évidemment bien moins enclines à reconnaître qu’elles continuent à le faire aujourd’hui, ce qui aurait pour effet d’ôter toute légitimité au pouvoir politico-médiatique consanguin qui sert de substitut à une véritable démocratie.
Il semble pourtant que grâce, notamment, à la véritable intelligence populaire collective qui est en train de se constituer via internet, et grâce aussi à l’ubiquité de l’électronique nomade qui permet d’enregistrer sons et images à peu près partout et à toute heure, les manipulations savamment orchestrées visant à terroriser l’opinion sont de moins en moins efficaces car dévoilées de plus en plus tôt par des citoyens perspicaces, soit directement témoins de la scène soit se basant sur des enregistrements audio et vidéo qui n’ont plus à passer le filtre du journalisme institutionnel. Les “ratés” finissent toujours par émerger, le truc de l’illusionniste apparaît au grand jour.
On peut s’en réjouir, mais aussi comprendre que cette inefficacité grandissante du poison entraîne logiquement, de la part des manipulateurs, la volonté de corriger le traitement en augmentant la dose, puisque le but est de maintenir l’opinion dans la peur et de lui faire accepter ce qu’on a décidé qu’elle devait accepter. La recrudescence des actes de terrorisme doit donc plus que jamais nous inciter à appliquer la raison dure, et à ne pas céder à l’émotion.
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