Comme pour conjurer les mauvaises langues et les cerveaux malades qui ne croient plus vraiment en la “version officielle” du “11 septembre français”, un an jour pour jour après l’attaque de la rédaction de Charlie Hebdo, un homme opportunément d’origine arabe, potentiellement coupeur de têtes (puisqu’armé d’une “feuille de boucher”) , kamikaze pour rire (puisqu’équipé d’une ceinture d’explosifs factice) et forcément musulman (puisqu’on vous dit qu’il a crié “à la ouaque barre”) aurait attaqué des policiers en faction devant un bâtiment du dix-huitième arrondissement de Paris.
Il ne pourra pas contredire cette version des faits : il est mort. Mais des témoins de la scène le peuvent encore, comme le montre ce reportage de BFMTV épinglé par Panamza.
Paul Craig Roberts, économiste et journaliste américain, ancien sous-secrétaire au Trésor dans l’administration Reagan et auteur de nombreux ouvrages dénonçant la dérive néo-conservatrice américaine, ne ménage pas ses efforts pour dénoncer ce qu’il considère comme des meurtres d’innocents, sacrifiés sur l’autel d’une raison d’État inavouable. Parmi ces faux attentats et vrais complots étatiques, selon lui : celui du marathon de Boston et celui de Charlie Hebdo.
Voici un de ses articles, traduit en français par l’équipe du saker francophone :
La vérité ? Oui, mais pas nauséabonde.
Hier les juifs, aujourd’hui les musulmans, demain qui ?