Cette lettre ouverte a été publiée le 10 février par le Dr Robert Malone, dont j’ai déjà ici et là relayé les propos, en soutien au “convoi de la liberté” des camionneurs canadiens qui fait maintenant des émules dans de nombreux pays dont la France. Je vous en propose ci-dessous la traduction.
Son analyse n’est pas que médicale, ce qui est heureux car cette crise n’est que très accessoirement sanitaire et très profondément politique, comme le répète sa compatriote Catherine Austin Fitts. En s’en tenant à la définition la plus générale du fascisme qu’il rappelle, il nous enjoint de voir la véritable nature de ce qui se déroule sous nos yeux, afin de mieux le combattre.
——— Début de la traduction ———
Je m’appelle Robert Malone, et je suis un médecin et un scientifique basé aux États-Unis.
Nous somme tous juchés sur les épaules de géants. Les vérités simples sont celles qui comptent le plus. Des mots honnêtes, prononcés avec le cœur, peuvent changer le monde.
Nous n’aurions pas dû politiser la réponse de la santé publique au SRAS-CoV-2 et au COVID-19.
Et Justin Trudeau aurait dû se concentrer sur la gestion des réalités du terrain concernant le COVID-19 au lieu de suivre le script qui lui a été fourni par les dirigeants du Forum Économique Mondial.
Je suis un médecin et un scientifique, et je suis hautement qualifié et expérimenté dans le développement de vaccins et d’autres médicaments.
Mais j’ai aussi été charpentier et ouvrier agricole, et je travaille toujours dans ma ferme. Je conduis un GMC Dually diesel [NdT : véhicule utilitaire à plateau et à roues arrière jumelées, conçu pour porter et tracter de lourdes charges], un tracteur agricole Kubota, et je peux conduire un skid loader [NdT : petit engin de chantier polyvalent] ou un attelage de chevaux percherons. J’ai présenté mes poulains Percherons à la Royal Winter Fair. Je suis un conducteur d’attelage, au sens originel du terme [NdT : “teamster” an anglais américain désigne à la fois le chauffeur de poids-lourds et la personne dirigeant un attelage d’animaux de trait].
Je viens vers vous à cœur ouvert, motivé par l’envie de guérir, et avec trois mots simples.