Selon Wikipédia (version anglo-américaine), “Catherine Austin Fitts (née le 24 décembre 1950) est une banquière d’affaires américaine et une ancienne fonctionnaire qui a été directrice générale de Dillon, Read & Co. et, pendant la présidence de George H. W. Bush, secrétaire adjointe au logement et au développement urbain des États-Unis.”
Elle y est aussi présentée comme défendant des “théories du complot”… vous n’espériez quand même pas que Wikipédia vous guide objectivement pour comprendre dans quel monde nous vivons, j’espère ? Il est vain d’y chercher autre chose que le plus petit dénominateur commun de la connaissance.
Vu sa carrière passée1, Catherine Austin Fitts n’est donc pas à proprement parler une farfelue ni quelqu’un qui méconnaît le milieu bancaire, et ce qu’elle a dit aux Suisses sur la “crise COVID” dans une conférence de presse le 12 novembre dernier pourrait bien être, même si cela ne dure qu’à peine 5 minutes, plus important que tous les discours scientifiques sur la maladie, l’efficacité des “vaccins” ou leur dangerosité. Car une fois que l’on a compris cela, on peut travailler sereinement pour comprendre le reste, en voyant “derrière” ou “à travers” l’écran de fumée qui nous est présenté sous forme de lois contraignantes.