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Premier tour des présidentielles : le vide arrive en tête.

Les Français s’y précipiteront-ils lors du second ?

Espérons que pour une fois l’artiste visionnaire n’ait pas vu juste.

3 commentaires sur “Premier tour des présidentielles : le vide arrive en tête.

  1. Les français doivent comprendre que chaque bulletin en faveur de macron aujourd’hui, sera dans 5 ans, un bulletin en faveur du FN.

    Décidément Orwell est bien vivant. La population est totalement sous contrôle des médias et de leurs maitres. Ces derniers ont bien compris que l’UMPS était fini, alors ils ont crée le golem « macron » et ont ordonné à la populace de bien voter. Et ça a marché.

    Car comment expliquer aux gens que si le FN existe, et s’il est devenu le premier parti de France, ce n’est pas grâce à une candidate, mais bien à cause de la politique infâme qu’ont mené Sarko et Hollande. Ce sont eux les vrais responsables, par leur incompétence, par leur veulerie, voire leur collaborationnisme (au sens vichyste du terme) envers la finance mondiale et l’usionisme barbare.
    C’est à cause d’eux qu’on se trouve aujourd’hui dans une telle situation.

    Et qu’a donc choisi ce peuple dont la disponibilité de cerveau est réduite au minimum : et bien le pire des choix, celui qui va continuer, voir amplifier cette politique de destruction de notre pays, de suppression des acquis sociaux, de vassalisation au profit des USA et de la bureaucratie européenne, de démantèlement de notre patrimoine industriel, et de privatisation des ressources les plus rentables.
    Bref dans 5 ans nous ne devrions n’être plus qu’une réserve indienne lobotomisée.

    Mais cette politique est suicidaire, et ne pourra provoquer que le chaos et le désordre institutionnel, surtout si macron n’obtient pas la majorité aux législatives (on reviendra à la IIIème république).

    Il apparait clairement que le « système » se prépare, et nous prépare au désastre économique mondial (éclatement de toutes les bulles) et au lancement de la IIIème guerre mondiale.
    Pour cela, il doit garder le pouvoir, alors il prend le contrôle des nations, au travers de dirigeants/pantins et ensuit au travers de la destruction de la monnaie papier afin de n’avoir plus que de la monnaie virtuelle contrôlable et malléable à souhait

    Voila, ce 23 avril 2017, le monde vient d’entrer dans son ultime phase de disparition ou de nouvelle révolution mondiale digne de 1789 avec guillotinage de la nouvelle « aristocratie » financière et médiatico-politique

    1. Pas mieux ! Les Français détestent Hollande, ils mettent en tête le même en pire, encore plus vide, encore plus soumis à la finance pour la bonne raison qu’il en est le produit direct, qui ne cherche même plus à faire illusion en s’en proclamant l’ennemi le temps d’une élection… Mais au point où on en est, je sens que certains vont se retenir de moins en moins de balancer ce qu’ils savent sur l’arnaque du siècle, du millénaire, que dis-je, de l’Holocène : le 11-Septembre (2001, pas 1973). Parce que là ça devrait déniaiser du monde, et rapidement. En attendant, on peut réfléchir à tout ce que raconte François Roddier dans Thermodynamique de l’évolution : on est en pleine transition de phase, et plus précisément au voisinage d’un point critique.

  2. Oui, c’est un sale coup, toute la raclure politique va pouvoir s’accrocher comme des grosses moules à leur rocher et c’est insupportable.
    Mais faisons confiance à la dialectique de l’histoire, tâchons de considérer l’histoire comme moteur de la progression de la conscience vers l’universel et la liberté.
    Ainsi, dans le cas qui nous occupe, l’histoire nous a présenté une thèse : les nationalismes belliqueux du XXeme siècle. Par réaction, son antithèse est/a été le phénomène du mondialisme et de ses outrances dont nous (l’humanité) sommes en train de prendre conscience.
    En toute logique, tout cela devrait déboucher sur une synthèse qui ne sera pas un retour aux nationalismes tels que nous les avons connus (l’histoire ne repasse jamais exactement les mêmes plats).
    Cette synthèse se posera alors en thèse qui présentera ses contradictions qu’il faudra alors dépasser par une nouvelle antithèse, et ainsi de suite.

    Notons au passage que selon cette dialectique, ceux qui défendent le mondialisme ne sont pas des progressistes comme ils se définissent eux mêmes, mais bien les réactionnaires d’aujourd’hui,
    ceux qui s’accrochent à une idéologie que la conscience universelle est en train de nier et de dépasser. Ils ne sont donc pas l’avenir mais dépassés, les hommes du “passé et du passif”.

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