[Note de l’administrateur de ce blog : ce texte m’a été transmis par un de mes contacts, qui n’en cite pas l’auteur. La pauvre Greta n’y est évidemment pour rien, elle qui va bientôt avoir dix-sept ans et qui en fait à peine douze (physiquement comme mentalement), mais ses parents pour beaucoup. Et aussi la grande masse des journalistes, qui semblent disposés à croire – à de rares exceptions près – qu’elle finance ses déplacements (et ceux de son entourage) avec son argent de poche, que ce soit en voilier de course, en avion ou en Tesla.
La crédulité de nos contemporains semble sans limite, sans doute est-ce pour cela que les montreurs de marionnettes n’essaient même plus de cacher les fils. Mais peut-être les marionnettistes sont-ils finalement dupes de leur propre spectacle, car trop coupés des réalités et imbus d’eux-mêmes, et ne se rendent-ils pas compte de la persistance du bon sens populaire.]
Petit message pour la p’tite hystérique Greta Thunberg.
On t’a soi-disant volé tes rêves et ta jeunesse.
Premièrement :
Ta place est à l’école pour le moment.
Secondement :
Range ta chambre avant d’essayer de ranger le monde. Et pour répondre à ton discours véhément, à notre époque (oui nous les vieux qui avons ruiné ton futur) on retournait les bouteilles de verre consignées au magasin. Le magasin les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau : les bouteilles étaient recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologiste.
De mon temps, on montait l’escalier à pied : on n’avait pas d’escaliers roulants et peu d’ascenseurs. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues : on marchait jusqu’à l’épicerie du coin.
Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologiste.