Petit à petit, la dangerosité des vaccins “sûrs et efficaces” se traduit dans les chiffres, malgré une sous-déclaration énorme – qui n’a rien de spécifique aux vaccins Covid-19 — des effets secondaires graves, et les médecins ayant une conscience finissent par prendre la parole et demander des comptes aux autorités sanitaires.
Ce fut notamment le cas en Allemagne dans la Berliner Zeitung, le principal quotidien régional berlinois, le 9 septembre dernier dans un article réservé aux abonnés… mais auquel MSN nous donne quand même accès.
Je vous en propose ici la traduction. Afin de pouvoir clouer le bec à ceux qui prétendent encore que “le vaccin protège des formes graves”, en leur rappelant qu’être handicapé – ou mort – à cause d’un vaccin n’est pas un sort plus enviable que de l’être à cause d’un virus.
——— Début de la traduction ———
C’est une ré-analyse des études d’autorisation de Pfizer et de Moderna à laquelle se réfère l’épidémiologiste et spécialiste en santé publique Ulrich Keil. Cet homme de 81 ans est professeur émérite de l’université de Münster. Il a très tôt critiqué la gestion de la pandémie de Covid-19 en Allemagne et considère depuis longtemps les vaccins correspondants d’un œil critique.
Il attire maintenant l’attention sur une nouvelle étude publiée le 31 août dans la revue médicale Vaccine. Un groupe de chercheurs autour de l’auteur principal, le professeur Peter Doshi de l’université du Maryland, a réanalysé les études d’autorisation d’urgence des vaccins à ARNm et parvient à sa propre évaluation des effets secondaires graves chez les adultes.