Les (vrais) masques tombent (Marc Henry)

[Note de l’administrateur de ce blog : Marc Henry est un chimiste, professeur des universités, qui fait honneur à cette institution à une époque où la majorité de ses collègues ruine consciencieusement sa réputation par un suivisme consternant. Esprit indépendant, il a derrière lui une brillante carrière de chercheur… comme d’autres.

On prêtera particulièrement attention à la section “Que dit la science ?” de son article. Bien entendu, il s’agit de lois fondamentales parfaitement établies et générales – au contraire de celles, assez souples et contingentes, de la médecine – qui rendent la démonstration implacable. Attendons-nous donc à ce qu’il soit traîné dans la boue s’il persiste à défendre la raison !

On pourra lire aussi avec grand intérêt un autre article récent de lui (janvier 2020 – mais c’était encore le monde d’avant !) sur ce qu’est – ou n’est pas – la médecine. Les ignorants en prennent pour leur grade, et c’est tant mieux.

PS : l’être humain Marc Henry ne doit pas être confondu avec un extra-terrestre homonyme.]


Une situation de dictature

Après deux mois d’interruption estivale, je reprends la plume. Car côté COVID-19, la situation est devenue ubuesque. Dans les grandes villes, on ne peut plus sortir dehors sans porter un masque sur son visage. Notre meilleur virologue est traîné devant un conseil de l’ordre comme un vulgaire charlatan. On prétend que les cas de contamination explosent alors les hospitalisations restent stables. Peu de gens semblent avoir compris que l’obligation de se voiler la face en public a pour corollaire logique de lever le masque d’hypocrisie porté habituellement par nos dirigeants.

Expliquons-nous. On assiste actuellement à la mise en place d’une véritable dictature hygiéniste. Les caractéristiques d’une dictature sont de fait bien là. Obligation de faire certaines choses bridant les libertés fondamentales d’une population. Recours à la force policière en cas de non-respect des obligations imposées par un nombre très restreint de personnes à des millions d’individus. Recours massif à la propagande de contre-vérités flagrantes via une main-mise sur les grands média.

La nuit des longs couteaux

Dans ce climat détestable, la chaîne ARTE a eu l’excellente idée de diffuser un documentaire passionnant. Il portait sur la nuit des longs couteaux en juillet 1933. On y analyse comment toute une société démocratique a pu basculer en seulement 3 jours dans la dictature nazie. Ceci sous l’impulsion d’une minorité aux idées bien arrêtées se drapant pour agir dans une légitimité sortie des urnes.

Il est peut-être temps de rappeler ici l’avertissement du poète allemand Johann Wolfgang von Goethe. Selon lui, « Ceux qui ne comprennent pas leur passé sont condamnés à le revivre ». Car, il y a une leçon que l’on peut tirer de la nuit des longs couteaux. C’est que la dictature peut s’imposer avec l’accord du peuple et non contre sa volonté. Il suffit pour cela de l’endoctriner convenablement via des techniques éprouvées. La toute première technique est un signe de ralliement ostensible qui permet clairement d’identifier les individus récalcitrants. Cela peut être un bras tendu vers le haut ou le port d’un objet visible par tous. Aujourd’hui, le signe de ralliement à la cause totalitaire est le port du masque. Gare à ceux qui refusent de se plier à la règle.

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Covid-19 : un second scandale de la Chloroquine
(Dr. Gérard Maudrux)

[Note de l’administrateur de ce blog : crime de guerre ? crime contre l’humanité ? niveau de connerie jusque-là inconnu des annales intergalactiques ? On hésite. Mais une chose est sûre : les “responsables” devront payer. Et cher. Mais les morts ne reviendront pas.]


Posté le 23 mars 2020 par Gérard Maudrux

Les choses bougeaient enfin, grâce à l’opinion publique, mais le gouvernement agit toujours pour que les Français ne disposent pas du Plaquenil. Nous sommes dirigés par des irresponsables, voire des criminels.

Le gouvernement rassure les Français : « Oui nous nous intéressons au Plaquenil, oui c’est en cours, et il fait partie de nos protocoles expérimentaux avec d’autres médicaments ». Il oublie au passage de dire qu’il avait refusé au départ de le faire, et qu’il ne l’a fait que sous la pression de l’opinion publique : blogs, journaux, et surtout du Pr Raoult qui leur a dit « vos protocoles scientifiques, je m’assieds dessus, je prends mes responsabilités, avec votre accord ou non, je traite mes patients avec. » Tous les médecins de France veulent aussi prendre leurs responsabilités.

Malheureusement, ce n’est pas encore demain que vous serez traités par ce médicament en cas de besoin. LE PLAQUENIL A ÉTÉ RETIRÉ DU COMMERCE, IL EST MAINTENANT RÉSERVÉ À USAGE HOSPITALIER.

Ils continuent de faire le contraire de ce qu’on devrait faire. Je doute fortement que le Plaquenil agisse sur les poumons des patients hospitalisés (l’Azithromycine si). La première indication du Plaquenil, c’est au début de la maladie, en diminuant la charge virale, il diminue la contagiosité et peut éviter l’aggravation et le passage à l’hôpital. Il est probablement plus utile pour éviter l’hospitalisation, que pour les cas déjà sévères. LE PREMIER PRESCRIPTEUR DOIT ÊTRE LE MEDECIN TRAITANT, pas l’hôpital, même s’il peut en utiliser aussi.

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Le « pire des oligarques » fait son grand retour en Ukraine (le saker francophone)

[Note de l’administrateur de ce blog : certaines actualités prennent la forme de gags, virent au sketch raté d’humoriste abusant de l’humour potache ou se trouvant à court d’idées fines. Pourtant rien n’est inventé dans les propos rapportés ici de l’oligarque ukraino-israélo-chypriote Igor (ou Ihor) Kolomoïski, dont j’avais déjà parlé ici, l’homme devant qui BHL passe pour un modèle de cohérence et d’intégrité. En effet ce “mécène” finança à la fois le Parlement Juif Européen et des bataillons de néo-nazis comme le tristement célèbre Régiment Azov dont le commandant déclara : ” La mission historique de notre nation dans ce moment critique est d’amener les races blanches du monde dans une croisade finale pour leur survie (…) Une croisade contre les sous-hommes menés par les sémites “.

Comme dit l’autre, “au-dessus c’est le soleil”.]


Le New York Times n’est pas connu pour la finesse de son esprit, mais une interview récemment publiée avec le milliardaire ukrainien Ihor Kolomoisky n’était rien moins que désopilante. Un gros homme fonceur qui ne croit pas aux nuances de gris – sauf lorsqu’il s’agit de ses propres moustaches – Kolomoisky n’a pas hésité à invoquer l’hypocrisie du double jeu américain et à partager sa conviction qu’un rapprochement avec la Russie est le seul moyen pour l’Ukraine de se sortir de son marasme.

« Ils sont plus forts de toute façon », a-t-il déclaré à propos de Moscou. « Nous devons améliorer nos relations. Les gens veulent la paix, une bonne vie, ils ne veulent pas être en guerre. Et vous «  – c’est-à-dire les États-Unis –  » nous forcez à être en guerre et ne nous donnez même pas l’argent pour cela. »

Ce n’est pas ce que raconte le défilé de personnels du département d’État, qui témoigne devant le comité du renseignement de la Chambre, ces jours-ci. À l’unisson, ils s’accordent pour dire que la politique américaine est exemplaire, brillante et conçue pour aider la pauvre petite Ukraine à se remettre sur pied et à repousser l’agression russe. Pourtant, voici un oligarque ukrainien qui dit le contraire : que Washington utilise Kiev à ses propres fins et que, par comparaison, Moscou a bien meilleure allure.

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