[Note de l’auteur du blog Éloge de la raison dure : démonstration par l’absurde de la vaste arnaque de la “lutte contre l’antisémitisme” institutionnelle, qui a de plus en plus de mal à cacher sa véritable nature : une police de la pensée politique.]
Sur sa page Facebook, un prof de Sciences Po a procédé, ces jours-ci, au lynchage d’une étudiante, désignée comme «antisémite». Sans la moindre preuve. Dans la meute des « likeurs », un vice-président du CRIF, et… le Délégué interministériel à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme.
Sur les forums et les réseaux sociaux, les haines les plus diverses s’expriment sans frein, le plus souvent dans le secret de l’anonymat. Mais les attaques se font aussi parfois à visage découvert, en pleine lumière, et en toute bonne conscience. A l’heure où certains n’ont de cesse de dénoncer les « dérives de l’antiracisme » réelles ou supposées, il est peut-être bon de rappeler qu’une haine folle et gratuite peut parfois se dissimuler aussi sous le masque respectable et avantageux de la lutte contre l’antisémitisme.
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