C’est ce qu’on appelle un raté de communication : en voulant faire hier la promotion des mesures de confinement, en y associant des idées positives (en “pensant printemps” ?) le Forum Économique Mondial de l’inénarrable Klaus Schwab a d’une part montré que ces mesures – que l’on sait totalement inefficaces pour lutter contre une épidémie – ont sans doute un but inavoué très peu sanitaire, et d’autre part révélé l’idéal de société très “problématique” (restons polis) de leurs promoteurs.
Le tweet a depuis été effacé, mais les soldats digitaux veillent à ce que rien ne se perde…
Remarque : cette bévue a eu lieu sur le compte twitter en anglais du World Economic Forum, inutile de la chercher sur son équivalent français.
Promotion d’un monde sans vie, promu hier par le World Economic Forum et enregistré par Disclose.TV :
NEW – Klaus Schwab's World Economic Forum (WEF) tweeted yesterday that "Lockdowns are quietly improving cities around the world," accompanied by a video showing deserted streets, empty factories, and grounded planes. After backlash, they deleted it. Copy:pic.twitter.com/KWOF1OHkPH
— Disclose.tv ? (@disclosetv) February 27, 2021
Tentative de récupération de la gaffe, le lendemain :
We’re deleting this tweet. Lockdowns aren’t “quietly improving cities” around the world. But they are an important part of the public health response to COVID-19. pic.twitter.com/D2Pyb9x4yy
— World Economic Forum (@wef) February 27, 2021
À vous de voir dans quel monde vous souhaitez vivre !
Merci François pour cet article.
Le but du système incarné par Schwab est de permettre aux puissances de l’argent de s’enrichir sur le dos des classes moyennes. Elles préparent le Grand Reset.. A votre avis, que pouvons nous faire pour éviter cette catastrophe ?
Bien cordialement
Francis
Ne me remerciez pas, c’est juste une très courte retransmission de ce que je vois passer…
Pour répondre à votre question, à mon avis la seule solution est l’éveil des populations à la réalité du monde dans lequel elles vivent. Car les “élites” ne peuvent rien sans une armée d’exécutants (forces de l’ordre, institutions diverses dont le système éducatif…) qui traduisent en actes leurs délires.
Quand le policier comprend qu’il fait lui aussi partie de la classe moyenne qu’on sacrifie, il finit par ne plus travailler pour ses bourreaux…