Fatus vs. Dieudo – Bordeaux juin 2015 par ErAquitaine
Auteur : François Roby
C’est par où la sortie ?
Si la gauche désespère autant que la droite, qu’on ne veut pas d’un retour en arrière ni d’une fuite en avant, et que faire l’autruche n’est pas une solution, c’est peut-être qu’il faut s’en sortir par le haut ?
Méditons quelques mots clairs et bien sentis de Lucien Cerise, qui a longuement étudié l’ingénierie sociale, c’est-à-dire la manipulation des masses via leurs faiblesses cognitives par les oligarchies gouvernantes et prédatrices. Son discours est une abstraction au sens littéral du terme : qui permet de se détacher d’une réalité trop aveuglante pour la mettre à distance, afin de mieux la comprendre et d’agir sur elle.
Qu’est-ce qu’un “collabo” ?
Réponse en images :
Extrême droite ou extrême droiture ? (L’armurerie)
Production très importante de Charles Robin à propos de sa proximité supposée avec ce qu’il est convenu d’appeler « l’extrême droite ». Extrême droiture plutôt d’un bonhomme du même âge que ma pomme que je rejoins plutôt 6 millions de fois qu’une dans son éloge de la dignité et de l’autonomie. Antifas, prenez votre leçon !
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L’État (des) juif(s)
Le genre : “antisémitisme” autorisé (car juif).
À l’heure où certains essaient – avec des sabots de plus en plus gros – de faire taire toute critique du sionisme en l’assimilant à de l’antisémitisme, il est utile de se plonger dans le manifeste que rédigea en 1896 – juste après le début de l’affaire Dreyfus – un homme présenté aujourd’hui comme le fondateur du sionisme politique, Theodor Herzl. Son titre original – en allemand – est der Judenstaat, qu’on devrait traduire par l’État des juifs, mais certains éditeurs préfèrent titrer l’État juif. Bien entendu, Herzl ne connut jamais la création de l’État d’Israël, puisqu’il est mort en 1904. Sa vision de ce que devait être selon lui l’État des juifs n’en est que plus intéressante, car elle permet de mesurer l’écart entre son rêve et la réalité d’aujourd’hui.
La première surprise, pour le lecteur contemporain, vient du sous-titre : Versuch einer modernen Lösung der Judenfrage, c’est-à-dire Tentative d’une solution moderne de la question juive. Quiconque ose aujourd’hui, dans nos media intellectuellement stériles, ne serait-ce qu’évoquer l’idée d’une “question juive” (ou d’un “problème juif”, ce qui revient au même), se fait immédiatement taxer d’antisémitisme et descendre en flammes par le prêt-à-penser politico-médiatique. Pour celui qui est aujourd’hui considéré comme un héros en Israël, c’était pourtant une évidence, et la motivation première de son travail.
Éveil (Mark Dice)
Dieudonné en paix (Quenel+)
16 juin 2015 : procès politique à Paris
Peut-être avez-vous, comme moi, été choqués lorsque Dieudonné fit monter sur scène Robert Faurisson, au Zénith de Paris le 26 décembre 2008, pour lui remettre – par le truchement de son fidèle compère et comédien Jacky Sigaux, déguisé en déporté – le “prix de l’infréquentabilité”.
Peut-être ne savez-vous pas que Jacky Sigaux est le fils de Gilbert Sigaux, grand lettré français et juif, qui fut déporté et membre de la LICRA – ce qui confère au geste scénique une signification que nos journalistes zélés ont soigneusement évité de mettre en lumière.
Peut-être avez-vous cru, comme moi, que la notice Wikipédia de Robert Faurisson était honnête et que cet homme était réellement “proche des milieux d’extrême-droite, voire néonazis” .
L’impunité de la mafia sioniste (E&R)
En septembre 2014, le hacker israélien Grégory Chelli s’en prenait à la belle-famille d’Alain Soral. Sans surprise, la plainte vient d’être classée sans suite.
Voila ce que nous écrivions à l’époque :
Le petit hacker sioniste Grégory Chelli, alias Ulcan, s’en est pris une nouvelle fois à la belle-famille d’Alain Soral ce lundi 22 septembre.
La vidéo ci-dessous illustre on ne peut mieux les méthodes ignobles dont les sionistes ont le secret. Se faisant passer pour l’hôpital de la Côte Basque, Grégory Chelli a appelé une dame âgée et aveugle pour lui faire croire que sa nièce avait été victime d’une attaque cardiaque. La nièce de cette dame n’est autre que la femme d’Alain Soral.
Le ridicule ne tue pas : la preuve par Jakubowicz
Le mur du çon vient d’être franchi avec grand fracas par Alain Jakubowicz, lundi 8 juin 2015, qui a cru bon de dénoncer la banderole affreusement raciste des “Fêtes de la Négresse” à Biarritz. Sauf que La Négresse est un quartier de Biarritz – comme Villejuif est une commune de l’agglomération parisienne, par exemple.
En outre, le nom de ce quartier ne doit rien à une noire mais à une tenancière d’auberge très brune que les soldats de Napoléon Ier avaient surnommé ainsi, comme l’explique la municipalité :
« À l’origine, ce quartier de Biarritz s’appelait le quartier Harausta. Au début du XIXe siècle, on trouvait dans ce quartier un peu excentré une auberge, l’auberge Harausta. Elle était tenue par une femme très brune, sans doute d’origine mauresque, que les soldats de Napoléon Ier, de passage lors des combats de 1813, avaient surnommée ‘‘La Négresse”. Le nom est resté au quartier. C’est par un vote du Conseil municipal de Biarritz du 1er juillet 1986 que la nouvelle voie desservant la zone artisanale fut dénommée rue de La Négresse. »
Mais il ne fait pas de doute que pour justifier ses subventions abondamment prélevées sur nos impôts, la LICRA se devait, par son président omniscient et omnipotent, de partir en guerre séance tenante contre ces banderoles nauséabondes rappelant lézeurléplussombres de notre histoire. Il n’y a de toute évidence rien de plus urgent. À moins que ?…