Vaccins : rappel sur l’aluminium (Michel Georget)

[Note de l’administrateur de ce blog : on parle beaucoup de vaccins en ce moment, présentés comme la solution ultime à la “crise du coronavirus”, et ce malgré une absence totale de données scientifiquement neutres sur leur réelle efficacité et leurs effets secondaires, ne serait-ce qu’en raison de l’absence de recul dans le temps.

Plutôt que de parler dans le vide comme le font les media de grand chemin, qui se basent sur les communiqués publicitaires des firmes pharmaceutiques alléchées par des perspectives de profits monstrueux, profitons-en pour parler un peu des vaccins connus de longue date, donc a priori sûrs et éprouvés. Michel Georget, décédé le 18 mars 2019, était un professeur agrégé de sciences naturelles, qui enseignait la biologie dans les classes préparatoires aux Grandes Écoles.

On pourra approfondir le sujet avec l’excellent livre du Pr Gherardi dont j’ai déjà parlé ici, Toxic Story. Où l’on apprendra notamment que ce n’est pas nécessairement la dose qui fait le poison en matière d’aluminium vaccinal, en raison du mode d’action très particulier – et élucidé par le Pr Gherardi et son équipe – de ce métal toxique pour l’homme. Les propos de Michel Georget sont donc à nuancer en fonction des individus, puisque la toxicité peut être, pour les malchanceux, plus grande que celle déduite de simples considérations de dose.]


Italie : suppression de la vaccination obligatoire.
Un vote historique (Alter Info)

[Note de l’administrateur de ce blog : le sujet des vaccins fait partie de ceux, avec d’autres comme le terrorisme, qui peuvent faire basculer des opinions et réveiller les plus naïfs croyant encore vivre dans des démocraties.

En effet, là aussi les preuves s’accumulent de mensonges d’État, de dissimulations criminelles et de corruption à grande échelle qui conduit des autorités sanitaires à sacrifier le bien commun au profit d’intérêts particuliers. À ce sujet, je rappelle également ci-dessous quelques éléments de réflexion.]


Le leader de La Ligue, Matteo Salvini, a qualifié les vaccins prétendus nécessaires, « d’inutiles », et a poursuivi en déclarant que ces vaccins étaient « souvent dangereux, voire nocifs ».

A partir de maintenant ces vaccins ne seront plus exigés. Par un vote de 148 voix contre 110 à la Chambre haute du Parlement, l’Italie a éliminé les lois ayant trait aux vaccins obligatoires et se veut plus accueillante aux diverses opinions.

Les 10 vaccinations nécessaires pour pouvoir fréquenter l’école maternelle sont désormais suspendues, du moins en termes de lois obligatoires.

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Sur le dogme vaccinal au service d’intérêts industriels, voir également sur ce blog :

On pourra également lire avec grand intérêt ce rapport américain de 2002, transcription d’un colloque de toxicologie, et en particulier la page 220 où le Dr. Natalie Garçon, représentant le groupe pharmaceutique GlaxoSmithKline, déclare dans une discussion sur l’introduction de nouveaux adjuvants vaccinaux :

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Toxic Story

Le genre : thriller médical et récit d’un déniaisement.

Le professeur Romain Gherardi n’est pas n’importe qui : chef de service du centre expert en pathologie neuromusculaire de l’hôpital Henri-Mondor à Créteil, ce médecin et chercheur (de 2000 à 2014, il dirige une équipe à l’Inserm) a publié plus de 350 articles scientifiques et participé à de nombreux ouvrages collectifs. C’est donc une “pointure” du monde médical. Pourtant, si l’ouvrage (qualifié de “document” sur la page de titre intérieure) est bien truffé de raisonnements, de schémas et tableaux en annexes, et de références bibliographiques comme il sied à toute démonstration à caractère scientifique, le prologue plante le décor d’une tout autre manière. En voici un extrait :

“C’est l’histoire d’une nouvelle pathologie, devenue peu à peu l’histoire d’une longue traque. Si le coupable court depuis 1926, la première scène de crime n’est photographiée qu’en 1993, et il faudra attendre encore cinq ans avant qu’il soit identifié. En 2016, il circule toujours sans être inquiété alors que la liste de ses victimes ne cesse de s’allonger. Chacun de ses procès, toujours dans l’ombre d’un huis clos, s’est soldé jusqu’à aujourd’hui par un non-lieu. “Faute de preuves”, disent les autorités compétentes. Faute, surtout, de moyens. Car l’État, sidéré par la complexité de l’affaire, demeure en retrait.”

Déflorons tout de suite l’intrigue : ce coupable qui court toujours, c’est l’aluminium vaccinal, un adjuvant utilisé – évidemment pas dans le but de nuire1 – pour augmenter l’efficacité des vaccins. En 2018, cela fait donc 20 ans2 que ce coupable a été identifié par des méthodes scientifiques rigoureuses, ce qui n’empêche pas les autorités sanitaires de continuer à mentir sur son innocuité. Pourquoi ? C’est la partie déniaisement de ce livre qui le relate, tout aussi passionnante – mais en plus, révoltante – que la partie proprement scientifique, toutes deux intimement mêlées. Car si le prologue, peut-être pour ne pas effrayer le lecteur dès les premières pages, parle seulement de “manque de moyens”, on pourrait aussi après avoir lu l’ouvrage renverser l’argument et parler plutôt d’excès de moyens… pour la partie adverse, des industriels richissimes du monde pharmaceutique dont la seule loi est celle du profit maximal, et qui par leur “réussite” ont provoqué une corruption généralisée du milieu médical et des instances de santé gouvernementales ou internationales (AFSSAPS, OMS…). Et des industriels qui, contrairement au professeur Gherardi, ne voient pas les malades comme des êtres humains en souffrance voire en totale détresse, mais comme une ligne de statistiques dans un tableau Excel®.

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Vaccins : appel à la raison

[Note de l’administrateur de ce blog : je relaie ici l’appel à la raison lancé récemment par les professeurs Joyeux et Montagnier au sujet de la politique vaccinale actuelle. Le Pr. Joyeux a un gros défaut (pour l’industrie pharmaceutique) : il s’exprime toujours sur la base de travaux scientifiques sérieux et référencés, n’invente pas des savoirs ni des ignorances.

Heureusement, on trouve des médecins aussi rigoureux que lui (j’en ai rencontré), qui ont fait autre chose que bachoter pendant leurs études et ont gardé une aptitude à se documenter et à réfléchir par eux-mêmes. Des médecins qui savent que, si la médecine n’est pas tout à fait une science, elle a quand même quelques prétentions à utiliser ses méthodes et à en tirer une forme d’autorité, qui logiquement s’écroule quand elle vire au dogme scientiste. Inutile d’espérer la confiance des patients quand on n’est pas capable d’argumenter clairement sur des faits bien établis.

Malheureusement, on trouve également des médecins incapables de faire fonctionner autrement qu’en pilote automatique la masse gélatineuse qui se trouve entre leurs deux oreilles (j’en ai rencontré) et qui ne savent que débiter la propagande médiatique vaccinale ou parler de sa radiation par le Conseil de l’Ordre dès que l’on parle du Pr. Joyeux. J’ai ainsi pu entendre :

  • un pédiatre m’expliquer, tout en se disant énervé par les propos du Pr. Joyeux et croyant sans doute m’apprendre quelque chose, que les adjuvants à l’aluminium (dont la toxicité est aujourd’hui démontrée, voir le texte de l’appel 1) étaient “utilisés pour stimuler la réponse immunitaire et pas autre chose” (non sans blague ! j’étais persuadé que c’était un complot des Reptiliens ! merci docteur, combien je vous dois ?)
  • une pédiatre éructer, toute rouge, à l’évocation de l’information sur les vaccins diffusée par le Pr. Joyeux, que c’était un “charlatan radié du conseil de l’ordre” et qu’il n’était “pas progressiste” !

Inutile de dire que je ne confierai jamais à l’avenir mes enfants ni à ce crétin de luxe ni à cette sombre connasse.]


11 vaccins : Appel urgent aux personnels

et professionnels de santé

 

Chers collègues, chères consœurs, chers confrères,

 

La nouvelle loi, une erreur grave de santé publique

La nouvelle loi qui impose 11 vaccinations aux enfants est une grave erreur de santé publique. Elle a été amplement évoquée par la presse.

Nous, professionnels de Santé, prescripteurs et/ou vaccinateurs sommes engagés par la loi sur une voie qui pourrait se retourner contre certains de nos propres patients, contre notre profession, et contre nous-mêmes.

Vous allez comprendre pourquoi. Cet Appel souligne des éléments importants sur le sujet. Lisez-le attentivement avant d’accepter de le signer.

Nous ne sommes pas contre les vaccins : nous sommes opposés aux vaccinations systématiques et trop nombreuses avant l’âge de 2 ans.

Ces pratiques exposent les petits enfants à des complications, car leur système immunitaire n’est pas prêt à recevoir tant d’agressions antigéniques.

C’est ainsi que l’on peut craindre :

  • Des morts subites du Nourrisson, même si elles sont rares ;
  • Des maladies auto-immunes chroniques graves et handicapantes dans les années suivantes particulièrement du fait de la présence de quantités trop importantes de l’adjuvant aluminique dans la composition de la plupart des vaccins ;
  • Des risques de cancers particuliers, des os, des muscles, des cartilages.. que sont les sarcomes, extrêmement graves chez des adolescents et adultes jeunes, détectés déjà chez les animaux recevant des vaccins avec l’adjuvant aluminium.

Vous êtes personnellement concerné si vous êtes :

  • Médecins et Chirurgiens généralistes ou spécialistes,
  • Internes des hôpitaux quelles que soient les spécialités,
  • Etudiants en médecine, pharmacie, kinésithérapie,
  • Pharmaciens d’officine ou d’industrie,
  • Sages-femmes, infirmières-infirmiers et autres personnels de santé
  • diplômé ou en formation.

Si vous appartenez au grand public, hors des professions de santé, n’hésitez pas à proposer ce texte à ceux qui vous soignent. Ils sont plus que jamais concernés et responsables.

Continuer la lecture sur le site du Pr. Henri Joyeux →

Santé : faut-il se méfier des vaccins ?
(C à dire – France 5 – 2 novembre 2016)

[Note de l’administrateur de ce blog : on apprendra notamment dans cette vidéo (à partir de 6:54) que le “syndrome de la guerre du Golfe”, pourrissant la vie de nombreux vétérans de guerre américains, et attribué par certains aux armes à uranium appauvri, a pour origine des campagnes de vaccination massives destinées à protéger les militaires déployés dans cette guerre de potentielles maladies.

Pour bien prendre conscience de l’omerta dont parle le Pr Gherardi sur le problème des adjuvants aux sels d’aluminium, la lecture de cet article du Dr de Lorgeril fournit un complément très intéressant. Mais reconnaissons tout de même que le service public, via Axel de Tarlé et son émission sur France 5, remplit ici pleinement son rôle d’information du public.]


Vaccins : comment la vérité est malmenée
(Santé Corps Esprit)

[Note de l’administrateur de ce blog : si vous pensez encore que le but premier de l’industrie pharmaceutique est d’œuvrer pour une meilleure santé, et que vous voyez en particulier toute critique de la vaccination comme un délire “complotiste” , je vous conseille vivement de commencer par regarder la vidéo ci-dessous, où l’ancien dirigeant de la multinationale britannique GlaxoSmithKline (GSK) Jean Stéphenne explique tranquillement à un parterre de businessmen, le sourire aux lèvres, la logique qui commande la réalisation de vaccins multivalents tels que l’Infanrix Hexa® de GSK. Une logique qui n’a rien de médical.

Et en lisant l’article de Santé Corps Esprit qui suit, vous apprendrez que le fameux “syndrome de la Guerre du Golfe” , dont souffrent de nombreux vétérans de guerre américains, et qui fut un peu rapidement attribué par des journalistes aux méchantes armes à uranium appauvri utilisées par les méchants Américains, est en réalité une conséquence directe… de la vaccination préventive et massive administrée aux militaires.

On retiendra également qu’après la vaste blague de la “concertation citoyenne sur la vaccination”, où on a bien pris soin d’écarter du débat toute personne ayant des choses intéressantes et scientifiquement prouvées à dire sur la dangerosité de certains vaccins (ou de la vaccination sur certaines personnes au profil génétique particulier), le rapport du Comité d’Orientation (anonyme…) ne propose rien de mieux, pour lutter contre la défiance grandissante du public envers la vaccination, que de rendre obligatoires des vaccins jusque-là conseillés en France, portant ainsi à 11 (onze) le nombre de vaccins obligatoires contre 3 aujourd’hui (mais en pratique au moins 5 ou 6, suite au lobbying intensif de GSK et ses concurrents) !

Enfin, puisqu’il est toujours intéressant de regarder ailleurs pour s’aérer l’esprit, on notera que la vaccination n’est pas obligatoire ni en Espagne, ni en Allemagne, ni au Royaume-Uni par exemple. Certainement par la faute d’une négligence coupable des autorités sanitaires des pays concernés, car “la vaccination, ça ne se discute pas !”, comme l’a proclamé la très incompétente Marisol Touraine, aussi à l’aise avec les arguments médicaux qu’une poule avec le maniement d’un couteau.]

Mise à jour 20 décembre : lien vers la pétition adressée à la Ministre de la Santé.


Vaccins : comment la vérité est étouffée

C’est un livre qui se lit comme un roman policier… et qui révèle au grand jour la stupéfiante corruption politico-médicale destinée à vous cacher les « effets indésirables » de certains vaccins.

Son auteur, le Pr Romain Gherardi, n’est pas n’importe qui.

Professeur de médecine à 38 ans, il est à la tête d’un prestigieux centre hospitalier français sur les maladies neuro-musculaires. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans des revues médicales de premier plan (Lancet, New England Journal of Medicine, Brain, etc.).

Médecin rempli d’humanité et chercheur exigeant, il n’a rien d’un provocateur. Il ne manque jamais une occasion de rappeler que les vaccins ont sauvé des millions de vies.

Mais il refuse qu’on empêche le grand public de connaître certains effets indésirables évitables des vaccins contenant de l’aluminium.

Il n’accepte pas qu’on cherche à étouffer des recherches scientifiques d’utilité publique, qui pourraient éviter des milliers de maladies graves… et peut-être même soulager des millions de patients victimes du terrible « syndrome de fatigue chronique ».

Tout ce qu’il souhaite, c’est la vérité, y compris si elle dérange. Et il l’a payé au prix fort.

En quelques années, il est passé du statut de « star enviée de la médecine », consulté officiellement par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), à celui d’un homme que l’on évite, dont on refuse de financer les recherches.

Son seul crime : avoir mis au jour une vérité très embarrassante pour l’industrie du vaccin.

Continuer la lecture sur Santé Corps Esprit