Meilleurs moments du panel “Covid-19, a Second Opinion” organisé par le Sénateur américain Ron Johnson
(le 24 janvier 2022)

[Note de l’administrateur de ce blog : par “meilleurs moments” il faut entendre aussi moments les plus difficiles à écouter. Au fur et à mesure que le décor s’écroule, on découvre les dessous de plus en plus effrayants et glauques de la manipulation covidienne. La vidéo originale (près de 5h de témoignages) peut être consultée ici.

Ceux qui par faiblesse ou conformisme n’ont pas su dire non quand il le fallait s’en mordront les doigts. Les autres seront reconnus comme des Justes.

Traduction et sous-titrage collaboratifs par l’équipe de pro-science, anti-BS™.]


Éthique de la Covid-19. Vers un nouveau Nuremberg ? (France Soir)

[Note de l’administrateur de ce blog : le procès de Nuremberg fut critiquable sur de nombreux aspects, déjà parce qu’il se voulait, selon les propres mots de son procureur Robert Jackson, “une continuation de l’effort de guerre des Alliés”1, un but difficilement conciliable avec une justice équitable. Il eut d’ailleurs l’honnêteté de reconnaître ses faiblesses, notamment par ses articles 19, 20 et 21 avertissant qu’il s’affranchissait allègrement des règles communément admises pour la vérification des faits.

Toutefois il donna l’occasion, dans un esprit plus universaliste, d’établir des règles de conduite dont personne aujourd’hui ne songerait à discuter le bien-fondé, afin d’éviter que se reproduisent des actes particulièrement cruels envers les personnes, ou au moins prévenir ceux qui seraient tentés d’en arriver là qu’ils seraient lourdement châtiés. C’est ainsi que naquit le Code de Nuremberg définissant les conditions considérées comme acceptables pour les expériences sur les êtres humains… un code que chacun devrait avoir en tête aujourd’hui.2]


Comme l’a peut-être le mieux formulé Jean Paul Sartre, et d’autres philosophes avant comme Pic de la Mirandole, et comme le suggèrent certains mythes antiques tel celui de Prométhée, l’homme est un être singulier, une créature libre, dont l’existence précède l’essence, un être pouvant s’affranchir des lois de la Nature.

L’Homme libre,  protégeant le plus faible :

Dans l’homme réside une étincelle divine, une lumière spirituelle transcendante en gestation, mais aussi un côté obscur, celui des mauvaises inclinations et de la cupidité.

« Dieu et le diable se battent là-bas et le champ de bataille est le cœur des hommes. »

Dostoïevski

Ainsi, contre toute loi naturelle, à rebours des principes évolutifs darwiniens, mystérieusement porté par un élan éthique, l’homme a un jour décidé de faire croitre sa lumière : protéger le faible contre le plus fort ; protection des personnes âgées, système des retraites fondé sur la solidarité, assurance chômage, sécurité sociale permettant le soin, lois protégeant les personnes handicapées, tout ceci quels qu’en soient les couts et sans considération pour les ”pertes” matérielles et financières. L’Etat est garant du principe d’amour séculaire et universel ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’il te fasse”.

Quelle société avant la nôtre s’est-elle pourvue de tels systèmes de protection ? Il semblerait qu’en 2020, l’épidémie de la COVID-19 ait rapidement fait s’effriter ce temple de bienveillance et d’altruisme que les génération qui nous ont précédés ont mis tant de temps à bâtir, et que l’on a peine à reconnaître.

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