Lettre ouverte des anciens militaires à ceux qui nous
gouvernent : situation au 30 avril 2021
(général Dominique Delawarde)

[Note de l’administrateur de ce blog : fabrication de peurs irrationnelles – voir l’article précédent – et négation des véritables dangers, la caste médiatico-politique fonce en accélérant vers sa propre perte. Les Français ne sont plus dupes, et même si le réveil est douloureux pour certains, on ne leur fera plus jamais croire qu’une grippe à peine augmentée – et surtout augmentée par l’absence de soins – est plus redoutable qu’une guerre civile.

J’ai plusieurs fois repris ici les bulletins du général (à la retraite, il a 73 ans) Dominique Delawarde sur la situation mondiale de l’épidémie de COVID-19 ; il est tout naturel que je vous fasse profiter également de ce point de situation concernant la lettre ouverte des militaires aux gouvernants, une lettre qu’il a signée et sur laquelle il a pu s’exprimer dans les media de grand chemin, comme sur CNews dans l’émission Morandini Live du 29 avril.

Je recommande aussi tout particulièrement la réponse faite par d’autres officiers (retraités) à leurs camarades militaires, publiée sur Initiative Communiste – tant pis pour ceux qui essaient de faire passer les lanceurs d’alerte pour des extrémistes de droite ! – et reprise par Arrêt sur Info. Avec en particulier une phrase qui résume le cœur du problème :

“Dans sa grande majorité, la classe politique de notre pays servie par un système parlementaire plus que séculaire a été depuis des décennies dévoyée par la haute finance qui détient les cordons de la bourse et la maîtrise des grands médias et qui décide donc de qui sera ou non élu, servie en cela par toutes sortes de relais que sont parmi d’autres Bilderberg, Davos, le CRIF et les fratries.”

À méditer, ruminer et intégrer dans ses automatismes intellectuels, des outils que l’on doit toujours garder prêts à fonctionner dans les situations d’urgence.

Les amateurs de bons mots pourront aussi consulter la réponse faite aujourd’hui 30 avril par le général d’armée Christian Piquemal, signataire de la lettre ouverte, au chef d’État-Major des armées François Lecointre.

Mise à jour du 10 mai 2021 : je relaie ci-dessous ce message de Dominique Delawarde que l’on m’a communiqué à l’instant.

Expéditeur: Général Dominique Delawarde
Date: 10 mai 2021 à 12:21:24
Objet: Incident technique de ce matin – La liberté d’expression mise à mal.

Bonjour à tous,

Alors que je participais par Skype à l’émission CNews de Morandini ce matin, ma connexion Wifi a été brutalement coupée alors que la parole allait m’être donnée. La chaine Cnews n’est pas en cause.Par un phénomène tout aussi étrange, le Wifi a été rétabli dès la fin de l’émiision.

Mon Wifi marche parfaitement d’habitude, et c’est le premier incident de ce genre que j’ai à déplorer.

Cette “coupure” qui survient bien opportunément pour me clouer le bec me parait bien suspecte. La coïncidence et le timing sont parfaits.

Une coupure sur plus d’un an et juste au bon moment et sur la bonne durée, ça interroge.

A chacun son interprétation des événements mais tout de même, jusqu’où ira-t-on pour bâillonner les citoyens ?

DD

À chacun de l’interpréter selon ses préférences…]


Lanceuse d’alerte: «à partir du moment où on dit la vérité, on doit être exécuté» (Sputnik)

[Note de l’administrateur de ce blog : bien évidemment, toute ressemblance entre les mésaventures de cette dame et celles de l’auteur de ces lignes ne saurait être un pur hasard.

On retiendra le plus important : “On parle d’intégrité, d’éthique et d’honnêteté. Et l’éthique et l’intégrité n’appartiennent pas aux extrêmes, pas au centre, elles appartiennent à tout le monde.”

Sauf à ceux qui choisissent de s’asseoir dessus par couardise ou dans l’espoir d’une promotion, bien sûr.]


Il ne fait pas bon être lanceur d’alerte aujourd’hui. Geoffrey Livolsi et Mathias Destal auditionnés le 14 mai par la DGSI, Julian Assange dans une geôle londonienne depuis le 11 avril et Stéphanie Gibaud qui a tout perdu dans son combat contre l’évasion fiscale qui transitait par UBS. Entretien avec cette «survivante».

«Harcèlement, placardisation, isolement, licenciement, précarité»: voici le quotidien d’une lanceuse d’alerte. Son nom : Stéphanie Gibaud.
Les faits : en 2008, la hiérarchie d’UBS lui demande de détruire des documents après une perquisition. Elle refuse et dénonce l’évasion fiscale massive qu’elle a sous les yeux. En février 2019, le géant bancaire était condamné à une amende de 4,5 milliards d’euros pour «démarchage bancaire illégal» et «blanchiment aggravé de fraude fiscale». Licenciée en 2012 de la firme suisse, la spécialiste de l’événementiel se consacre désormais à la lutte contre l’évasion fiscale.

Sputnik a voulu en savoir plus sur cette femme qui se retrouve propulsée n°2 de la liste de Nicolas Dupont-Aignan aux Européennes. Le rapport ? Mme Gibaud prévient immédiatement, la politique politicienne, ce n’est pas son truc. Elle, son truc, c’est le dossier de l’évasion fiscale, ce pourquoi elle se bat avec ténacité depuis une douzaine d’années. Pourquoi donc avoir choisi la droite souverainiste pour porter une lutte souvent connotée à gauche ?

Continuer la lecture (et voir la vidéo) sur Sputnik →