Jeûne, manger cru et autres dérives sectaires (Antipresse)

[Note de l’administrateur de ce blog : ayant participé à un stage de l’association Régénère que dirige Thierry Casasnovas, je peux témoigner avoir rencontré de nombreux malades intoxiqués par la médecine allopathique et chimique, et retrouvant peu à peu la santé grâce aux “dérives sectaires” proposées par Thierry, qui par ailleurs n’est pas officiellement naturopathe contrairement à ce que dit l’article, même s’il a été formé par l’un d’entre eux aux États-Unis.

Thierry Casasnovas qui est par ailleurs – personne n’est parfait – un fils de profs avec comme formation initiale un DEA de physique nucléaire.

On attend que Le Parisien fasse un article sur les véritables dérives alimentaires, c’est-à-dire toutes celles qui ignorent les règles de la physiologie humaine et conduisent à la longue liste des maladies dites “de société” : obésité, diabète, hyperactivité chez les enfants… ainsi que tout un tas de maladies dégénératives ne traduisant que l’empoisonnement progressif du corps consécutif à une mauvaise hygiène de vie.

Mais pour cela, il faudrait que Le Parisien ne reçoive aucune publicité, ni de l’industrie agro-alimentaire, ni de l’industrie pharmaceutique. On peut toujours rêver.]


Les institutions s’inquiètent de l’«inquiétante mode des dérives alimentaires». Dans le collimateur du Parisien, le naturopathe Thierry Casasnovas, qui fait un carton sur YouTube avec ses jus de légumes et autres décoctions naturelles. Encourager les gens à se détourner de la médecine pharmaceutique, appeler la chimiothérapie de la «mort-aux-rats», c’est grave. Au point de pousser la Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) à lancer un «cri d’alerte».

A l’origine de cette alerte, «des citoyens inquiets ou des proches des victimes» de ces régimes. Lesquelles victimes, évidemment, sont surtout des «personnes vulnérables, déjà malades, confrontées à des traitements lourds, en quête d’un espoir, d’une solution naturelle». Autrement dit, des gens que la médecine allopathique et chimique n’aide manifestement pas.

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