[Note de l’administrateur de ce blog : pour ceux qui n’auraient pas encore compris par quel genre de caste les Français sont dirigés.]
L’Assurance Maladie dirigée par Thomas Fatôme, grand pourfendeur des libertés en tous genres et taliban de la domination étatique, n’apprécie visiblement pas la décision du Conseil d’État de reconnaître la validité des autotests pour obtenir le passe sanitaire. Huit jours après cette décision contentieuse du Conseil, le site de l’Assurance Maladie continue à prétendre que les auto-tests ne permettent pas d’obtenir le passe sanitaire. Voilà une belle façon de fouler aux pieds l’autorité de la chose jugée.
L’Assurance-Maladie n’aime pas la liberté de ne pas être vacciné et le fait savoir. Dans la capture d’écran réalisée de 5 novembre, c’est-à-dire une semaine après le rendu de l’ordonnance du Conseil d’Etat réintégrant les autotests dans les conditions de délivrance d’un passe sanitaire, le site de l’Assurance Maladie continue d’indiquer que les “autotests négatifs, même réalisés sous la supervision d’un professionnel, ne seront plus être intégrés (sic) au passe sanitaire à partir du 15 octobre”. Voilà une belle façon de ne pas tenir compte de la décision du Conseil d’Etat que nous avons publiée.
[Note de l’administrateur de ce blog : nous verrons prochainement que le philosophe belge Michel Weber est du même avis qu’Éric Verhaeghe, non seulement sur ce “détail de l’Histoire” que constitue l’obligation vaccinale pour les soignants, mais plus généralement sur le plan global derrière ce déferlement totalitaire. Et qu’il reprend la citation de Churchill à propos de la bataille de Stalingrad : “Ce n’est pas la fin. Ce n’est même pas le commencement de la fin. Mais, c’est peut-être la fin du commencement.”]
Le 12 juillet, à la faveur d’un improbable été pluvieux, Emmanuel Macron déclenchait la bataille de l’obligation vaccinale pour les soignants. L’histoire dira un jour quels ont été les tenants et aboutissants exacts de ce fabuleux cadeau aux laboratoires pharmaceutiques, renforcé par un passe sanitaire qui a tonné comme une mise sous contrainte de toute une population pour recevoir aveuglément l’injonction d’un produit sous autorisation conditionnelle. Mais enfin, c’est démangeant d’établir une corrélation entre ce coup de pouce aux profits et les immenses besoins de financement de la campagne électorale qui s’ouvre, même si aujourd’hui aucun élément factuel sérieux ne permet d’étayer ce soupçon. Les communiqués officiels sur l’issue de cette bataille sont évidemment triomphalistes sous la plume du gouvernement. En réalité, Macron a perdu la première manche, et il le sait.
Et voilà, nous sommes le 15 septembre, et le temps d’un premier bilan pour la bataille de l’obligation vaccinale lancée par Emmanuel Macron vient. Beaucoup de victimes de ce diktat sont encore dans un état de sidération et font régulièrement part de leur angoisse ou de leur conviction d’une résistance sans espoir face à l’évidente offensive internationale, commencée par la France, en faveur d’une vaccination. Nous avons commencé à expliquer (et c’est à suivre), les dessous de cette campagne, portée par de très puissants intérêts industriels qui trouvent dans la Commission Européenne une écoute très poreuse. Ces intérêts sont à la fois ceux des laboratoires pharmaceutiques, mais aussi ceux de l’industrie désormais spécialisée dans l’identité numérique.
Deux mois après le lancement de cette campagne éclair par la caste mondialisée au pouvoir, quelle tendance globale pouvons-nous observer ? Je voudrais ici prendre le temps d’expliquer pour quelle raison, de mon point de vue, l’actualité doit nous rassurer sur l’avenir.
[Note de l’administrateur de ce blog : les tyrans finissent mal, en général. Reste à savoir quand, pour celui qui nous concerne.
Une chose est sûre : comme le suggère Dominique Muselet (qui est une femme), c’est bien par un saut qualitatif de conscience collective que le peuple s’en sortira, car ce saut lui permettra de s’affranchir des armes médiatiques de distraction massive de la caste dominante, qui n’utilise plus la force brute que quand elle n’a pas d’autre solution. Et même l’utilisation de cette force brute dépend d’êtres humains, qui ont une conscience et un libre-arbitre.
Comme l’avait déjà perçu Aldous Huxley (et avant lui Étienne de La Boétie), “La dictature parfaite serait une dictature qui aurait les apparences de la démocratie, une prison sans murs dont les prisonniers ne songeraient pas à s’évader. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et au divertissement, les esclaves auraient l’amour de leur servitude.”]
C’est au moment de l’incendie de la cathédrale Notre Dame que je me suis dit que le tyran de l’histoire auquel Macron ressemblait le plus était Néron, un mélange de bouffon et de pervers narcissique mégalomane. J’imagine très bien Macron jouant de la lyre et chantant sur le toit de l’Élysée entouré des bloggeurs Mcfly et Carlito et des danseurs de la communauté LGBT, à côté de l’hélicoptère prêt à l’emmener en Arabie Saoudite, le paradis des dictateurs, si les choses se gâtent, pendant que Notre-Dame brûle. Je parie que je ne suis pas la seule, et d’ailleurs je serais curieuse de connaître le nombre d’incidences sur Internet où les termes pyromane, incendiaire, enflammer, etc. sont associés à Macron.
Au pouvoir par effraction
Comme Macron, Néron est arrivé au pouvoir par « effraction ». Sa mère, Agrippine, a d’abord réussi à évincer Britannicus, le légitime héritier du titre d’empereur, exactement comme la Caste a réussi à éliminer Fillon avec la complicité de procureurs et de juges corrompus. Puis Agrippine a fait assassiner son mari, l’empereur Claude. La Caste n’a pas eu besoin d’assassiner Hollande, il s’en est chargé tout seul !
Néron et Macron sont montés très jeune sur le trône. Aussitôt en place, ils se sont débarrassés de leur dernier challenger, Néron de Britannicus, et Macron de Mélenchon.
Lassés de par la gente féminine, Néron a fini par faire assassiner sa mère, tandis que Macron épousait symboliquement la sienne. Autres temps, autre mœurs.
Aujourd’hui, la Caste politico-financière qui détient tous les pouvoirs dans presque tous les pays du monde, n’a plus besoin de répandre le sang pour s’imposer. Elle préfère la manipulation (ingénierie sociale, nudging, stratégie du choc, division, etc.), la propagande, le mensonge et la délation, la corruption, les alliances entre milliardaires, politiciens et crime organisé, l’instrumentalisation des institutions et de l’appareil d’État, ainsi que la surveillance, le chantage, l’intimidation, la répression tous azimut des simples citoyens, tandis que les délinquants ne sont pas inquiétés. Ce sont des méthodes que les progrès technologiques et la puissance des médias ont rendues beaucoup plus efficaces et maniables que la violence physique, même si les puissants ne reculent pas devant l’assassinat (souvent déguisé en suicide) quand cela les arrange.
Israël Adam Shamir (à g.) avec Julian Assange (à dr.) avant sa captivité
[Note de l’administrateur de ce blog : Israël Adam Shamir est un ex-juif (pour ceux qui croient au libre-arbitre et rejettent une définition ethnique du judaïsme) converti au christianisme orthodoxe, où il a reçu son deuxième prénom Adam. Ou bien c’est un juif, pour ceux qui pensent que toute personne née juive le reste jusqu’à sa mort, comme le prétendait un petit brun moustachu en Allemagne dans la première moitié du XXème siècle.
Vacciné de par sa naissance envers le chantage à l’antisémitisme, et fin connaisseur de la culture juive, il livre ici une analyse de la prétendue “lutte contre l’antisémitisme” aussi mesurée que pénétrante, à l’image de sa prose habituelle (voir par exemple son recueil d’articles “La bataille du discours” que j’ai déjà recensé ici). Derrière cette prétendue lutte contre un racisme – dont on se demande toujours pourquoi il devrait être différencié des autres, ce qui sent le racisme – on ne trouve en effet, en définitive, que ce contre quoi se fracassent les Gilets Jaunes : l’arrogance d’une caste dominante illégitime qui n’entend pas laisser le peuple prendre son destin en main.]
L’Angleterre et la France, deux antagonistes, deux socles de la civilisation européenne, se trouvent simultanément en proie à un paroxysme de judéophilie. Le résultat des élections parlementaires décisives qui s’annoncent en Grande Bretagne est suspendu à cette question, avec travaillistes et conservateurs en compétition pour exprimer à qui mieux mieux leur amour pour les juifs, tandis que les juifs n’arrivent pas à décider lesquels leur répugnent le moins. La France, après une année de révolte des classes moyennes représentées par les Gilets jaunes, connaît maintenant un soulèvement des classes travailleuses toutes fraîches avec un million de grévistes s’emparant de la rue, mais son Parlement estime qu’il est urgent, par-dessus tout, de peser et de légiférer sur la façon dont les Français devraient aimer les juifs et haïr ceux qui les haïssent. Quel peut être le sens de cette comédie?
Ils ne chipotent pas pour l’amour de la cuisine juive. Même si elle est mangeable, cela ne va guère plus loin. A preuve, en Israël, où la nourriture arabe est la règle, où la japonaise a droit de cité, l’italienne est adorée, et la cuisine juive brille par son absence. Il ne s’agit pas non plus des nez juifs, quoique ce soit un trait significatif de l’anatomie faciale, car ils ne sont pas plus élaborés ou proéminents, disons, que ceux des Siciliens. C’est au niveau des idées, que tout se passe.