Amendes ou prison en Irlande pour les prêtres
qui célébreront publiquement la messe
(Le blog de Jeanne Smits)

[Note de l’administrateur de ce blog : ceux qui pensent encore qu’il ne s’agit que d’une crise sanitaire devraient y réfléchir à deux fois.

Les supermarchés ne sont pas fermés en Irlande…]


Aux termes d’une nouvelle loi votée dans la nuit de jeudi à vendredi en Irlande, les prêtres célébrant publiquement la messe encourent une amende de 2.500 euros ou 6 mois d’emprisonnement dans le cadre de nouvelles mesures « anti-COVID ».

Voici l’état actuel de la courbe des décès attribués au COVID-19 en Irlande depuis le mois de mars.

La mesure s’applique en fait à tout ministre du culte ou organisateur d’événement public, sans cibler spécifiquement les catholiques, mais en pratique ce sont bien sûr les catholiques qui sont les premiers visés. Seules les obsèques sont permises, avec une assistance maximale de 25 personnes hormis le célébrant.

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COVID-19 : Point de situation du Samedi 24 octobre 0h00 GMT (Général Delawarde)

[Note de l’administrateur de ce blog : le général Dominique Delawarde n’est pas seulement un auteur et conférencier très au fait de la politique internationale, il rédige également deux fois par mois des points de situation sur la “pandémie” COVID-19 qu’il communique à ses correspondants sous forme d’un document au format PDF.

Je vous propose donc ce document en téléchargement, où vous pourrez notamment remarquer :

  • que la Suède, pays qui n’a pas confiné sa population et donc pas ruiné son économie ni rendu chèvres ses habitants, est sortie d’affaire (voir ici une comparaison avec la France) et qu’au plus fort de l’épidémie sa mortalité hebdomadaire totale restait inférieure à celles des années 1988, 1993, 1996 et 2000 ;
  • que dans ce pays, environ 16% des morts recensés avec l’étiquette “COVID-19” sont à imputer à cette maladie comme seule cause ;
  • qu’au niveau mondial, depuis le début 2020 les décès “avec” COVID-19 se situent juste au dessus de ceux des accidents de la circulation (mais avec un âge moyen de décès incomparablement plus élevé) et nettement en dessous de ceux liés au tabac ou à l’alcool ;
  • que ce sont globalement les pays les plus pauvres, et vraisemblablement les moins soumis à la désinformation et aux promesses mirobolantes (pour leurs chiffres d’affaires) des laboratoires pharmaceutiques, qui s’en sortent le mieux et de loin ;
  • qu’historiquement, la grippe “asiatique” de 1956-1958 et celle “de Hong Kong” de 1968-1970 firent bien plus de victimes en pourcentage de la population mondiale sans susciter une pareille hystérie ;
  • et bien sûr, que la France fait partie des très mauvais élèves dans la gestion de cette pandémie.

Bonne lecture ! (cliquer sur l’image pour télécharger le document)]


Une gifle cinglante pour la « coalition occidentale » (Général Delawarde)

Evo Morales, lorsqu’il était président, <br>avec son dauphin, Luis Arce.

Evo Morales, lorsqu’il était président,
avec son dauphin, Luis Arce.

[Note de l’administrateur de ce blog : le général Dominique Delawarde, ayant porté l’uniforme de 1959 à 2005, est notamment l’ancien chef du bureau « Situation-Renseignement-Guerre électronique» à l’état major Interarmées de Planification Opérationnelle, le plus haut état major de planification de niveau national impliquant l’Armée de Terre, l’Armée de l’Air, la Marine et la Gendarmerie Nationale (extrait d’une courte biographie sur cette page).

PS : il faudrait peut-être se demander ce que le président-dictateur emmanuel micron entendait par “penser printemps”, ce que “nous” désignait dans l’expression “nous sommes en guerre”, ainsi que contre qui ce “nous” est en guerre.]


L’élection présidentielle de 2020 en Bolivie a confirmé dès le premier tour que la majorité des électeurs soutiennent le MAS, le parti d’Evo Morales… Pourtant c’est ce même parti qui avait été accusé par des putchistes d’avoir truqué l’élection présidentielle, il y a un an, en 2019.

Le 20 octobre 2019, le président Evo Morales avait remporté le premier tour de l’élection présidentielle bolivienne avec 47,08 % des voix, contre 36,51 % pour Carlos Mesa, son opposant pro-US et pro-occidental. La constitution bolivienne prévoit qu’en cas d’obtention de plus de 40 % des voix avec un écart entre deux candidats dépassant les 10 points, celui qui est en tête est élu dès le premier tour. Le Tribunal suprême électoral avait donc proclamé Evo Morales vainqueur.

Comme ils le font souvent quand ils perdent (Bolivie, Venezuela, Biélorussie récemment) les candidats pro-occidentaux, soutenus par leurs États sponsors de la « coalition occidentale », conduits par les USA, hurlent à la fraude électorale et tentent d’inverser le résultat des urnes par des désordres de rue, avec le soutien et l’ingérence politique, médiatique, diplomatique et parfois militaire des USA, de l’Union Européenne et du trio infernal siégeant au Conseil « dit » de sécurité de l’Onu, trio « semeur de chaos » sur la planète, par ses actions d’ingérence : (USA, Royaume-Uni, France). C’est ce que l’on appelle pudiquement en Occident des opérations de « changement de régime », des révolutions « colorées », voire même des « printemps ».

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