[Note de l’administrateur de ce blog : l’étau se resserre, et c’est une bonne chose. On peut mentir à une personne tout le temps, à tout le monde de temps en temps mais pas à tout le monde tout le temps.
Les mesures apparemment absurdes – elles ont bien une logique, mais pas sanitaire – prises par le gouvernement belge comme par beaucoup de gouvernements “occidentaux”, qui n’ont aucun effet réel sur la propagation de l’épidémie de COVID-19, que par ailleurs ces mêmes gouvernements interdisent de soigner, mais ont un effet certain – et négatif – sur l’économie et sur la santé mentale des citoyens, constituent le piège dans lequel s’enferment tous seuls ces gouvernements, et qui les entraîne tout droit vers un procès de Nuremberg bis, les crimes contre l’humanité s’accumulant.
Quoi qu’on dise, il reste un semblant d’État de droit dans nos sociétés, et ces apparences à préserver interdiront au mensonge de durer éternellement, surtout dans un monde où l’information circule très vite et où il est aisé de comparer les résultats obtenus par différents pays ayant opté pour des options très différentes, voire diamétralement opposées, dans leur gestion de l’épidémie.]
L’État belge a été condamné par le tribunal de première instance à lever toutes les mesures covid sous 30 jours, écrit Maryam Benayad dans un article publié sur le site lalibre.be. Cette décision est obtenue par une action en référé introduite par la Ligue des Droits Humains.
Le 12 mars dernier, les avocates de la Ligue des droits humains (LDH) et son équivalent flamand, la Liga voor Mensenrechten, ont plaidé devant le tribunal de première instance de Bruxelles pour après un recours introduit contre l’État belge le 22 février.
La demande de La Ligue des Droits Humains était simple, elle tenait à savoir si les mesures instaurées pour lutter contre la propagation du coronavirus et les décrets et arrêtés ministériels qui en découlent – respectent les prescrits légaux.
Ce jour, le 31 mars 2021, le tribunal a condamné l’État belge en leur donnant gain de cause.