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Dieudonné à Pau : le triomphe d’une bête sacrée

Dieudonné à Pau 9 janvier 2015J’étais hier au spectacle “la bête immonde” de Dieudonné à Pau, un an jour pour jour après le viol de la République Française commis par Manuel Valls et qui scella pour moi le début d’une prise de conscience salutaire. En cette période d’hystérie médiatique consistant à ne surtout pas informer correctement le peuple français sur l’acte de guerre en cours, au milieu d’un public tantôt hilare tantôt au bord des larmes, où la mixité (d’âges, de sexes, d’ethnies, de religions, de classes sociales) avait cessé d’être un slogan creux de politiciens à bout de souffle pour être une réalité tangible, l’atmosphère de paix, de fraternité et d’intelligence qui régnait faisait chaud au coeur comme une interview de Jacob Cohen. Et bien sûr, la salle était encore plus pleine que l’an dernier. Et Jacky a fait une entrée triomphale. Et Nougaro, l’artiste humaniste qui n’a jamais fini en slip, était superbement interprété par son vieil ami et disciple, maître de cérémonie devenu sorcier de la réincarnation.

Quand le jazz est là, la peur s’en va…

Pour le scientifique que je suis, c’était aussi la preuve expérimentale que le “monde parallèle” où certains nous voient évoluer était définitivement du côté de la caste médiatico-politique (et de ses victimes, les citoyens encore crédules, tétanisés ou anesthésiés), pas du nôtre. Chacun peut constater l’incroyable violence de cette caste décadente à l’encontre de Dieudonné, mais aussi d’Alain Soral, l’ “idéologue d’extrême-droite homophobe, sexiste et antisémite” … qui admire Chavez,  n’a jamais dit un mot des orientations sexuelles de Florian Philippot, dont il est proche, et n’a pas son pareil pour faire aimer les penseurs juifs, mais les vrais (ceux qui ont des couilles, pour parler comme lui).

Cette violence ne prouve qu’une chose : paniqués, “painted in the corner” comme diraient les Anglais, les membres de la caste ne cherchent qu’à sauver leur peau, à retarder au maximum l’effondrement de la pyramide de leurs mensonges et démissions, depuis en gros le départ du Général de Gaulle (pour simplifier). Lequel, Roland Dumas l’a récemment fait remarquer, était finalement le plus à gauche de tous nos gouvernants, mais sans doute en un temps où “être de gauche” signifiait préférer le bien commun à la finance no limit (voire la haute trahison industrielle), le long terme (développement du CNRS, création du CEA…) à la gesticulation médiatique, l’art populaire aux impostures pour défiscalisation de grandes fortunes.

socialisme 3.0 (merci à les-crises.fr)

Une chose est sûre : la guerre au mensonge est déclarée, et nous la vaincrons, pour le plus grand bien de tous, y compris des crétins de gauche et des connards de droite (© Alain Soral) qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes, et même de nos ennemis, pour qui la raison peut aller jusqu’à préférer la destruction du monde entier à une égratignure sur leurs doigts. Mais ceux qui savent déjà être du mauvais côté de l’histoire, comme l’était le “socialiste” Laval en 1944, au sommet d’un pouvoir de plus en plus fascisant, vont essayer de nous le faire payer très cher. La différence avec cette époque, et c’est bien cela qui les fait paniquer, c’est qu’ils ne sont plus totalement les maîtres de la propagande.

God save the king !

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