“Vous voulez moins d’antisémitisme ? Arrêtez de donner la parole à BHL !” (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : mise en ligne le 24 décembre 2018 (donc juste après “l’acte VI” des Gilets jaunes), reprise aujourd’hui par Égalité & Réconciliation, cette vidéo de la chaîne YouTube “En Mode REPLAY” illustre à merveille la montée de l’intelligence populaire face aux mensonges de plus en plus voyants de la caste politico-médiatique qui, comme l’observe très bien Jérôme au téléphone, “pour sauver sa peau, préfèrera toujours une guerre civile à une révolte populaire”.

Malgré les tentatives incessantes d’Apolline de Malherbe pour discréditer ce mouvement et jouer le rôle malsain pour lequel elle est payée, Jérôme restera droit dans ses idées, rappellera que ceux qui hurlent à l’antisémitisme comme BHL sont ceux qui en profitent1 et non ceux qui en souffrent, et fera passer son message de fraternité, que la “journaliste” tentera lamentablement d’inverser avant de lui couper la parole.]


La véritable nature d’Israël :
un cas pratique

Bombe GBU-39, de fabrication américaine,
telle que celles utilisées par les six F-16 israéliens
lors de l’attaque à Damas du jour de Noël 2018.

Le 26 décembre, on apprenait (par le Réseau Voltaire ou ailleurs) qu’Israël n’avait pas hésité à bombarder le jour de Noël un objectif en Syrie à Damas, et certains s’étonnaient par la même occasion de la réussite de l’opération (partielle, 2 bombes sur 16 ayant atteint leur but) puisque la Syrie bénéficie maintenant de la protection des missiles sol-air russes S-300, réputés très efficaces.

Le 27 décembre, on apprenait toujours par le réseau Voltaire (l’info avait déjà circulé la veille ailleurs) la raison de ce coup au but : dans la grande tradition de lâcheté et de coups tordus qui caractérise la maison (voir par exemple le cas fameux de l’attaque contre l’USS Liberty en 1967), la très mal nommée Armée de défense d’Israël s’est servi de la présence de deux avions civils comme boucliers. L’armée syrienne ne pouvait donc activer son système de protection sans mettre en danger la vie des civils passagers de ces vols, un épisode qui rappelle l’incident survenu en septembre 2018 où l’armée israélienne avait délibérément causé la perte d’un avion militaire russe et de son équipage en se “cachant” derrière celui-ci.

Ainsi, il apparaît que le pire n’est pas pour Israël d’avoir attaqué le territoire syrien le jour de Noël, mais bien d’avoir ce jour-là utilisé des civils innocents comme boucliers, en comptant sur le respect des vies humaines de l’armée syrienne pour parvenir à contourner ses nouvelles défenses anti-aériennes réputées inviolables.

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