Vél’ d’Hiv’ : Vichy, ce n’est pas la France !
(Penser la France)

René Bousquet (à droite, en col de fourrure)
pendant la rafle de Marseille le 23 janvier 1943

[Note de l’administrateur de ce blog : même pour la ménagère de moins de 50 de QI, aussi férue d’histoire que Nabilla de théorie quantique des champs, il y a quelque chose de louche à entretenir l’humiliation et la repentance éternelle sur des sujets dont, par ailleurs, il est interdit de discuter de façon rationnelle. Bizarrement, la plupart des candidats à l’élection présidentielle, au lieu de dénoncer la manipulation, s’y complaisent avec délice, pensant peut-être que le meilleur profil requis pour redresser un pays bien mal en point est celui du soumis et du pleutre, éventuellement complété de celui du délateur, de préférence hystérique.

Ayant moi-même subi récemment les attaques, via son président, de “l’organisation dévoyée et spirituellement corrompue” dont parle le communiqué, je ne pouvais que me faire l’écho de ce texte auquel j’adhère totalement. Il devient urgent de mettre hors d’état de nuire ceux dont l’activité première semble être de semer la zizanie pour préserver leur pouvoir illégitime tout en prétendant, en bons pervers, agir pour le bien commun et “lutter contre la haine”.]


(source : penserlafrance.fr)

– communiqué national des Clubs « Penser la France » –

Le 11 avril 2017

Le 16 juillet 1942 débuta à Paris la rafle du Vél’ d’Hiv, avec l’arrestation de 13 000 juifs, la plupart déportés vers Auschwitz-Birkenau.

Cette arrestation ignominieuse a mobilisé 7 000 policiers et gendarmes sous les ordres du délégué de la Zone Nord du gouvernement de Vichy : René Bousquet.

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Le gouvernement de Vichy était et reste un gouvernement illégal dont l’acte fondateur – l’acte dit loi constitutionnelle du 10 juillet 1940 – a été déclaré nul et de non effet aux termes des articles 2 et 3 de l’ordonnance du 9 août 1944 relative au rétablissement de la légalité républicaine sur le territoire continental.

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Durant cette période terrible, une autre voie a été proposée aux Français, celle du Combat.

Ainsi, la France et la République ont été incarnées par une poignée d’Hommes, ceux réunis à Londres autour du général de Gaulle, ceux unis dans la Résistance, Communistes, Gaullistes, républicains fidèles à Valmy, syndicalistes respectueux de leurs revendications, socialistes dignes de l’héritage patriotique et internationaliste de Jaurès, chrétiens, laïques…

La France était dans l’ombre, dans la souffrance, dans le combat.

Mais grâce à ces Hommes, la France resta debout.

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