La LICRA cherche des réponses… à des questions qu’elle n’a pas l’habitude qu’on lui pose ! (Isadora Duncan)

[Note de l’administrateur de ce blog : j’avais depuis longtemps l’idée d’écrire un article qui se serait intitulé “La vaste arnaque de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme”, afin de montrer comment des équipes de Tartuffe, eux-mêmes racistes de niveau olympique et vivant aux crochets de la société française via des subventions injustifiées et les revenus qu’ils tirent de procès où ils se constituent partie civile, osent donner des leçons de vivre-ensemble à un peuple dont le seul crime est de refuser l’injustice et le “deux poids-deux mesures”. Il semble que ce soit inutile tant la LICRA, interrogée avec talent par ce journaliste sous pseudonyme à qui on pardonnera quelques fautes dans les sous-titres, se ridiculise elle-même et montre en quelques minutes sa véritable nature d’agent de propagande sioniste et de pompe à fric pour quelques Pieds nickelés incapables d’exercer une activité productive.

Petit rappel historique : la LICRA est née initialement LICA (Ligue Internationale Contre l’Antisémitisme) en février 1928, suite à l’affaire Petlioura où le révolutionnaire juif Samuel Schwartzbard avait assassiné à Paris le nationaliste ukrainien Symon Petlioura. Afin de faire passer les poursuites légitimes envers cet assassin pour de “l’antisémitisme”, le futur premier président de la LICA, Bernard Lecache, fit une vaste campagne médiatique et fonda la Ligue contre les pogroms, ce qui permit à l’accusé d’être déclaré non coupable… alors même qu’il avait revendiqué l’assassinat de Petlioura. La Ligue contre les pogroms devint la LICA, puis la Ligue Internationale contre le Racisme et l’Antisémitisme en 1932, tout en conservant le sigle LICA (tiens, ça rappelle le CRIF cette manie d’oublier des lettres) ; sans doute pour faire croire à un certain universalisme. Le sigle LICRA est finalement adopté en 1979.]


Pourquoi votre gauche n’est pas la nôtre (Arrêt sur Info)

Bruno Guigue

Bruno Guigue
(photo Cercle des Volontaires)

Par Bruno Guigue – 24 janvier 2017

Vous pourrez faire toutes les primaires que vous voudrez, votre gauche ne nous inspirera que du mépris. Charlatans au sourire enjôleur ou matamores au style mussolinien, vous êtes des progressistes de pacotille. Vous voulez un monde plus solidaire, paraît-il, mais vous n’avez cessé d’approuver l’ingérence occidentale dans les affaires des autres. Honte à vous, héritiers de Guy Mollet ! Votre humanisme se métamorphose toujours en arrogance néo-coloniale. La lutte contre la pauvreté, à vos yeux, c’est lorsque les pays riches commandent aux pays pauvres.

Socialistes, ou gauchistes, vous avez jeté Jaurès aux orties depuis belle lurette. La guerre, vous en redemandez ! Pour répandre la « démocratie », vous comptez sur les vertus pédagogiques des B 52. En guise de publicité pour les « droits de l’homme », vous exigez le bombardement de pays qui ne nous ont rien fait. Ignobles jusqu’au bout, vous réclamez l’embargo, cette arme des riches contre les pauvres. Que vaut votre compassion pour les réfugiés, quand vous privez les Syriens de médicaments pour les punir d’avoir soutenu leur gouvernement ?

Faux-derches de première, vous livrez des armes, en Syrie, à ces allumés de la charia que vous prétendez combattre en France. Affreux terroristes au Bataclan, rebelles modérés à Idleb, quel tour de passe-passe, vous êtes experts en transformation chimique ! Vous dites que vous détestez ces criminels, et pourtant vous les aimez chez les autres. Vous y tenez, à votre lune de miel avec les coupeurs de têtes ! Votre égérie n’est-elle pas Elisabeth Badinter, féministe milliardaire qui clame son islamophobie tout en assurant à la tête d’Havas la promotion publicitaire du royaume saoudien ?

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