L’Amérique est battue, à terre pour le compte, et tout le monde le sait (Gordon Duff)

[Note de l’administrateur de ce blog : l’article suivant est paru sur New Eastern Outlook le 27 novembre 2017 en anglais, et le saker francophone en donne aujourd’hui une traduction française que je vous invite donc à lire sur ce site. L’auteur, Gordon Duff, est un vétéran de guerre américain, qui a combattu au Việt Nam et qui fait partie de l’équipe dirigeante de Veterans Today, un magazine de vétérans de guerre américains.

Comme tous ceux qui ont risqué leur vie et abandonné une partie de leur santé – et de leurs amis – dans des guerres, il ne s’embarrasse pas de précautions oratoires et vomit le politiquement correct. Il a appris a penser vite et à distinguer l’essentiel du superflu pour pouvoir sauver sa peau.]


Le monde sait que l’Amérique est finie.

Trump ne rend pas l’Amérique plus grande, il danse sur le cadavre. Nous pourrions donner des dates, le 9/11, ou 1913 quand l’Amérique a accepté une banque centrale Rothschild illégale. Peut-être que c’est vraiment en 1913 que l’hémorragie a commencé pour en terminer avec l’Amérique d’aujourd’hui.

C’est toujours une question de dette. Lorsque les nations acceptent une banque centrale – et toutes les banques centrales sont sous contrôle étranger, celui de la famille Rothschild – leurs institutions s’effondrent, la famille, la religion, leur gouvernement, les tribunaux, leurs médias. Tout y passe.

Nous avons vu cela encore et encore. La raison pour laquelle le 9/11 est critique n’a rien à voir avec la guerre interminable qui a balayé le monde, les armées par procuration, les groupes terroristes bidons et les millions de réfugiés.

Pour l’Amérique, il a annoncé le plus grand cambriolage de l’histoire, 10 000 milliards de dollars d’actifs, assez pour acheter toute l’Europe, ont simplement « disparu ». Quelques jours avant le 9/11, on apprenait que 2 400 milliards de dollars manquaient au budget militaire, selon le secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld. Ce que peu de gens savent, c’est que le groupe qui a enquêté sur cette affaire a été tué, dans son intégralité, le 9/11 lors de l’incident au Pentagone.

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Sur le 11-Septembre, sur la criminalité financière, sur le mélange des deux, et sur la duplicité de Donald Trump, voir aussi sur ce blog :

La Déclaration Balfour : étude de la duplicité britannique (Middle East Eye)

[Note de l’administrateur de ce blog : beaucoup de personnes croient encore au mensonge sioniste qui présente “l’État d’Israël” comme la réponse aux persécutions et crimes nazis envers les juifs, comme la “solution finale” (positive celle-là) qui empêcherait définitivement que se reproduise une nouvelle Shoah. Bien peu savent que sionistes et nazis ont marché longtemps main dans la main, poursuivant des buts complémentaires sur la base d’idéologies où la “pureté ethnique” est centrale : regroupement des juifs sur une mythique terre promise pour les uns, purification de la “race allemande” par l’expulsion des éléments étrangers indésirables pour les autres.

De même, trop peu de monde connaît l’existence de la Déclaration Balfour, dont nous célébrons aujourd’hui le centenaire, et qui constitue le véritable “acte de naissance” de l’État d’Israël, même si son existence officielle dut encore attendre 30 ans. C’est pourtant un acte politique capital du vingtième siècle (une “bourde stratégique colossale”, selon l’auteur de l’article ci-dessous) qui devrait être au premier plan dans tous les programmes d’histoire du lycée.

La logique aurait voulu que j’y consacre moi-même un article, tant cette déclaration est au cœur de problèmes gravissimes dont je parle sur ce blog, en particulier au Moyen-Orient mais aussi bien au-delà : en faisant d’une toute petite minorité au sein des juifs – considérée même initialement comme hérétique – une force politique dominante, les Britanniques, fidèles à leur réputation de perfidie, ont mis le feu non seulement aux restes de l’Empire ottoman mais également à tout l’Occident, aujourd’hui totalement sous la coupe du mensonge sioniste. Mais d’autres y ont bien sûr pensé, ce qui m’arrange bien… en raison d’un changement d’ordinateur urgent ces derniers jours pour cause d’inquiétants signes de vieillesse du précédent (10 ans, un âge respectable pour ces fragiles petites bêtes, il faut multiplier par 7 pour comparer avec nous paraît-il).

Bref, avec cette longue introduction, je vous invite à lire ci-dessous ce que pense de la Déclaration Balfour Avi Shlaim, professeur émérite de relations internationales à l’Université d’Oxford. Tout en y ajoutant ma petite touche personnelle, liée comme il se doit à la physique et plus particulièrement à la notion d’énergie.

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