Mise à jour du 20 janvier 2020 : je remets cet article de 2016 à l’honneur car il vient de dépasser le million de vues, chiffre assez remarquable pour un article de physique. L’indigence de certains universitaires galonnés serait-elle insuffisante à tarir la soif de savoir du plus grand nombre, certes manquant parfois de la rigueur d’analyse nécessaire mais ayant aussi l’avantage d’un solide bon sens basé sur l’expérience concrète, bien que non mathématisée, des lois de la physique ? À suivre…
Si vous savez le crédit que j’apporte à ce genre de qualificatif (particulièrement dans le cas du 11-Septembre, où il est absurde), vous aurez compris ce que le titre de cet article peut avoir d’ironique. Néanmoins, la réalité qu’il décrit est suffisamment remarquable pour être mentionnée sérieusement : Europhysics News, le magazine de la Société Européenne de Physique (European Physical Society en globish), organe tout à fait officiel des physiciens professionnels européens, a publié dans son numéro de juillet-août 2016 un article qui affirme clairement que les trois gratte-ciel s’étant effondrés à New York le 11 septembre 2001 ont été délibérément détruits par des techniques de démolition contrôlée, ce qui est évidemment incompatible avec la narration officielle d’un effondrement “naturel” – entendez par là sous l’effet conjoint d’impacts d’avions et des incendies qui s’ensuivirent.
L’article en lui-même, intitulé 15 years later : on the physics of high-rise building collapses (15 ans après : sur la physique des effondrements de gratte-ciel), rédigé par Steven Jones, Robert Korol, Anthony Szamboti et Ted Walter, n’apporte aucune information remarquable pour quiconque s’intéresse à ce problème, et bien entendu ne révolutionne pas la physique – se démarquant en cela de la narration officielle, qui recourt à une large dose de physique harrypottérienne.