[Note de l’administrateur de ce blog : mentir effrontément n’est pas un problème pour ces gens-là, c’est même la raison pour laquelle ils parviennent au pouvoir.
Recycler leurs erreurs ou turpitudes en attaques contre leurs adversaires est pour eux une seconde nature, voire la première.]
L’agression dont Paul Pelosi, l’époux de la présidente de la Chambre des représentants, a été victime dans son domicile hautement protégé, a donné lieu à diverses interprétations.
Selon Madame Pelosi et le Parti démocrate, l’agresseur était un trumpiste venu pour la tuer. Ne la trouvant pas, il s’en est pris à son mari dont il a enfoncé le crâne à coups de marteaux. Le vieil homme a été hospitalisé. Ses jours ne sont pas en danger. Selon l’ex-petite amie du suspect, l’homme serait un déséquilibré qui se prend pour Jésus.
Pourtant, aucune trace d’effraction n’a été relevée ; les gardes du corps ne sont pas intervenus ; et le seul marteau trouvé appartenait à Monsieur Pelosi.
À l’interprétation politique dramatique des démocrates qui présente un pays au bord du chaos, une autre interprétation beaucoup plus people fait face.