[Note de l’administrateur de ce blog : comme dirait un humoriste controversé (par une petite caste, le succès populaire lui étant acquis), “faut rigoler, c’est tout ce qui nous reste !”.]
La catastrophe du carnage de la préfecture de police de Paris a révélé ou plutôt confirmé deux éléments assez effrayants concernant ce qui arrive à notre pays.
Tout d’abord on apprend effaré que le saint des saints, le sanctuaire, le cœur du réacteur du système policier chargé de nous protéger était infiltré par un islamiste (thèse désormais irréfutable) qui n’a pas hésité à massacrer à coups de couteau quatre de ses collègues fonctionnaires de police. Ensuite on constate que l’État est dirigé par une bande de menteurs et de manipulateurs qui déversent une propagande destinée à minimiser un grave danger et à tenter de masquer leur responsabilité pourtant écrasante.
Alors, premier réflexe ô combien compréhensible, nombreux sont ceux qui appellent à la démission de Castaner. À l’appui de cette revendication, on déroule le palmarès ahurissant du marlou du macumba au poste pourtant essentiel de ministre de l’intérieur chargé de la protection de la sécurité et de la liberté des Français. Ses dernières saillies à propos de la tragédie de la préfecture sont présentées comme la citerne qui ferait déborder un lac pourtant déjà bien rempli.
C’est une erreur !