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Allocution du colonel Alain Corvez au Forum Syndical International de Damas (8 et 9 septembre 2019)

[Note de l’administrateur de ce blog : la déclaration qui suit est reproduite avec l’autorisation de son auteur. J’ai ici même depuis longtemps dénoncé le mensonge syrien, que ce soit en démontrant la fausseté des accusations de “gazage” de la part du gouvernement syrien, la véritable nature de la “guerre au terrorisme” qui est en réalité une guerre par le terrorisme (et en grande partie pour l’accès aux hydrocarbures), et les nombreuses manipulations médiatiques qui l’accompagnent. J’ai, notamment pour cela, été traité de tous les noms par un lobby aussi illégitime que criminel, mais aussi, et c’est plus grave, été sanctionné lourdement par l’université française, ou plus exactement certains de ses membres parlant en son nom.

Mon camarade de blog Cadet Roussel a lui aussi pris sa plume pour remettre quelques idées à l’endroit.

Il semble que, peu à peu, la vérité sur cette sinistre entreprise apparaît enfin, ce qui laisse entrevoir des montagnes de chapeaux à avaler pour les “journalistes” ayant participé à la propagande de guerre, et qui devront – je l’espère – répondre un jour ou l’autre de leurs écrits coupables. Mais cela laisse entrevoir aussi la mise en cause des cercles académiques ayant, au mieux choisi de ne pas savoir (faute lourde pour des gardiens du savoir), et au pire choisi de mentir pour complaire à quelques lobbies criminels.

Ils ont cru pouvoir faire cela impunément, et se sont trompés : leurs noms sont connus et ne seront pas oubliés. À ceux qui, parfois, me félicitent pour mon courage lorsque je m’attaque à ce genre de mensonges, je réponds simplement, et certainement pas par modestie mais par simple réalisme, qu’il faut plus de courage pour continuer à se regarder dans la glace le reste de sa vie après avoir manqué à tous ses devoirs humains les plus élémentaires, qu’il n’en faut pour se libérer l’esprit de compromissions criminelles.]


Les observateurs objectifs des événements tragiques de Syrie savent tous qu’il ne s’agit pas d’une crise sociale interne à cette vieille nation du monde arabe, connue pour sa tradition ancienne de cohabitation harmonieuse entre ses multiples communautés, juives, musulmanes et chrétiennes, mais du déploiement de l’impérialisme occidental, dirigé par l’alliance américano-sioniste, à laquelle s’agrègent ses vassaux européens et arabes, pour renverser un gouvernement qui n’a pas accepté de se soumettre à ses exigences.

Cet impérialisme du mal dissimule plus ou moins ses visées derrière de sempiternelles fausses allégations de protection des populations ou de lutte contre un terrorisme barbare qu’il a lui-même créé et, s’affranchissant des règles internationales, justifie ses interventions militaires, directes ou par des factions complices, sous de faux prétextes, utilisant une presse complice pour faire accepter ses exactions.

Depuis l’effondrement de l’Union Soviétique, les États-Unis sont atteints d’un « hubris », d’une démesure, qui les persuade, du moins leurs dirigeants, qu’ils sont la « nation indispensable, la nouvelle Jérusalem », qui doit guider le monde vers le destin unique du « mode de vie américain.»

Il me semble que Donald Trump a compris l’erreur d’une telle conception opposée à la réalité d’un monde multipolaire qui se met en place inéluctablement: ses discours de campagne de 2016 le prouvent. Mais il s’efforce de se libérer des forces qui l’empêchent d’appliquer son programme et qui le menacent quotidiennement depuis son élection. Il doit en permanence donner des gages d’obéissance à ces évangélistes et sionistes pour ne pas être menacé de destitution ou subir d’autres avanies plus radicales, ces derniers le rappelant constamment à leur conception de la suprématie de l’Amérique et du dollar. D’où ses déclarations et décisions contradictoires, parfois à quelques heures d’intervalle seulement.

Les drames de notre époque proviennent en grande partie de ce fait : la première puissance mondiale n’est pas dirigée par son gouvernement mais par des groupes de pression plus ou moins officiels, notamment celui des sionistes associés aux évangélistes, et propage ses désordres internes à l’ensemble du monde.

Son deuxième mandat devrait être différent car certaines déclarations de dirigeants, comme certains votes des assemblées, semblent indiquer que la majorité de l’importante diaspora juive américaine , convaincue depuis longtemps que le puissant mais minoritaire AIPAC1 influence le gouvernement et le Congrès et décide de la politique étrangère, estime que ce soutien indéfectible à la politique israélienne extrémiste dessert la politique américaine, et même celle d’Israël, et entendrait maintenant ne plus laisser ces fanatiques, puissants mais minoritaires, imposer leurs vues contraires aux intérêts des États-Unis.

On sait que l’intervention militaire de la Russie en Syrie, a été initiée en septembre 2015 à la demande du gouvernement syrien en difficulté, au moment où les augures occidentaux ne donnaient plus au Président Bachar el Assad que quelques jours ou quelques semaines avant d’être renversé par les islamistes. Elle a rapidement rétabli la situation et, sans les manœuvres dilatoires occidentales, aurait déjà permis d’en finir avec les hordes sauvages qui terrorisent encore les populations civiles dans la région d’Idlib et sur les rives Est de l’Euphrate, hordes protégées par les forces occidentales qui n’ont pas encore reconnu leur défaite.

On sait que le Hezbollah est intervenu dès le début des événements, jugeant que le Liban était directement menacé par les actions islamistes, à l’intérieur et à l’extérieur de ses frontières,

On sait aussi que l’Iran dont l’action déterminante a été d’un grand secours à l’Armée syrienne, est intervenu parce qu’il se savait la cible suivante d’une «coalition occidentale» agissant au profit d’Israël.

L’entente entre l’Iran, le Liban, la Russie et la Syrie se fonde sur des intérêts stratégiques communs qui dépassent les personnalités au pouvoir à Téhéran, Beyrouth, Moscou ou Damas et nécessite une coordination de leurs géopolitiques qui n’a rien à voir avec les humeurs que certains journalistes croient déceler chez les uns ou les autres.

Les Occidentaux et leurs alliés arabes saoudiens, émiratis et qataris, associés aux Turcs ont, dès le début, alimenté les terroristes de diverses obédiences en argent, matériel et armement, ajoutant des sanctions économiques qui pénalisent d’abord le peuple syrien et contreviennent totalement aux droits de l’homme qu’ils prétendent défendre. Ils espéraient une révolte contre le gouvernement qui, non seulement ne s’est pas produite, mais a soudé les Syriens derrière leurs dirigeants car ils avaient bien compris quelle était la source de leurs malheurs.

Il faut dire et répéter que ces terroristes, s’inspirant de dévoiements divers de l’islam, commettent des crimes odieux, insoutenables, même pas bestiaux car les animaux ne se comportent pas ainsi, dont ils diffusent des images de propagande de grande qualité grâce à des moyens sophistiqués de communication que des firmes occidentales leurs fournissent. Leurs commanditaires sont multiples et l’on assiste parfois à des combats entre bandes rivales pour des raisons conjoncturelles, mais prônant toujours l’installation d’un régime de terreur islamique à Damas.

Grâce à la diplomatie russe, seule capable de parler à tous les protagonistes de la crise, Moscou est parvenu à constituer une entente fragile mais positive entre elle, l’Iran et la Turquie dont les intérêts ne sont pourtant pas tous identiques, mais qui a permis des avancées substantielles au cours de rencontres à Sotchi et Astana, amenant Ankara à limiter son soutien à certaines factions terroristes.

Moscou joue une partition délicate, cherchant à donner des garanties de sécurité à Israël, pays où environ un million de ses ressortissants se sont installés, c’est tout dire, et poursuivant des échanges difficiles avec les responsables américains, bien qu’il sache parfaitement que ceux-ci font tout pour empêcher la réussite de la solution russe.

Mais les Américains sont en perte d’influence localement. Leurs trahisons successives des Kurdes, comme leurs bombardements désastreux des rives Est de l’Euphrate les rendent maintenant indésirables même de la part de leurs anciens alliés. La Turquie dont la question kurde est une obsession existentielle, malgré ses positions souvent ambiguës a intérêt à conserver l’appui russe que Moscou lui propose et ne fait aucune confiance aux États-Unis. Elle cherche, par différentes manœuvres, à diviser les kurdes dans les trois autres pays qui en abritent une communauté importante mais ne peut que constater que celles-ci préfèrent majoritairement rester fidèles aux gouvernements centraux de Damas, Bagdad et Téhéran.

Je veux dire ici aux Syriens qui m’écoutent que de nombreux Français éduqués sont hostiles à la politique d’ingérence et d’alignement sur les objectifs odieux des États-Unis. Ni le peuple français, ni les peuples européens n’ont été consultés sur cette politique. Quand on voit les dommages humains considérables de cette politique états-unienne contre l’Iran, avec des sanctions portant sur des produits de première nécessité comme les médicaments ; les dégâts économiques pour les entreprises françaises et européennes, il serait temps que la France et l’Europe réalisent enfin que les États-Unis ne sont plus un modèle ou un allié fiable, mais un rival brutal qu’aucun principe éthique n’arrête, pas même les règles internationales entérinées par l’ONU.

L’opinion publique française me semble de plus en plus se réveiller et dénoncer les excès dramatiques d’un atlantisme devenu fou. Il lui reste à convaincre ses dirigeants, empêtrés dans des crises internes et au sein de l’Union Européenne, objets de pressions voire de chantages, que leur propre intérêt est de sortir de cette idéologie, car elle est néfaste et pernicieuse.

Les sanctions contre la Syrie doivent être supprimées au plus vite, d’abord pour alléger les souffrances du peuple, ensuite pour préparer le retour inéluctable de cet important pays arabe dans le concert des nations où son rôle est attendu et se précise de plus en plus. Sous la conduite de ses dirigeants auréolés de la victoire contre le terrorisme, le peuple syrien pourra alors reconstruire son pays détruit par le complot occidental, avec toutes les qualités qu’on lui connaît de courage et d’ingéniosité, aidé par les alliés puissants qui ne l’ont jamais abandonné comme la Russie, la Chine, l’Iran et bien d’autres.

Alain Corvez

  1. American Israël Public Affairs Committee

7 commentaires sur “Allocution du colonel Alain Corvez au Forum Syndical International de Damas (8 et 9 septembre 2019)

  1. Les mirages qui nous entourent sont tout de même fantastiques…Syrie, révolutions arabes, Ukraine, 11/9, mirage de l’économie libérale, mirage de l’action politique pour les peuples, mirage technologique, mirage de l’éducation nationale…Tout cela tenu à bout de bras par la puissance mediatico-politico-bancaire. Même s’il semble que la résistance s’organise, l’éveil semble compliqué pour le plus grand nombre. L’ingénierie sociale fait réellement un travail fantastique pour nous endoctriner. Notre société est une prison où ce sont les prisonniers qui frappent les autres prisonniers. Cela me rappelle le théorème du singe :

    “Une vingtaine de chimpanzés sont isolés dans une pièce où se trouve une banane en haut d’une échelle. Dès qu’un singe commence à escalader l’échelle, les autres reçoivent automatiquement une douche froide.
    Rapidement, les chimpanzés apprennent qu’ils ne doivent pas escalader l’échelle s’ils veulent éviter d’être arrosés. La douche est ensuite désactivée, mais les chimpanzés conservent l’expérience acquise et ne tentent pas d’approcher de l’échelle.
    Un des singes est remplacé par un nouveau. Lorsque ce dernier s’approche de l’échelle, les autres singes l’agressent violemment et le repoussent. Lorsqu’un second chimpanzé est remplacé, lui aussi se fait agresser en tentant d’escalader l’échelle, y compris par le premier singe remplaçant.
    L’expérience est poursuivie jusqu’à ce que la totalité des premiers chimpanzés qui avaient effectivement eu à subir les douches froides soient tous remplacés. Pourtant, les singes ne tentent toujours pas d’escalader l’échelle pour atteindre la banane. Et si l’un d’entre eux s’y essaye néanmoins, il est puni par les autres, sans qu’aucun ne sache pourquoi cela est interdit malgré le fait qu’aucun n’ait jamais subi de douche froide. “

    Un autre sujet qui fait écho à la notion de contrôle des échelles de grandeur : le réchauffement climatique anthropique. Si vous avez quelques instants à consacrer à cet article :

    https://blogs.mediapart.fr/barbarossa/blog/140817/taxes-mensonges-et-ideaux-rechauffement-climatique-une-arnaque-bien-orchestree

    Article qui date mais qui me semble intéressant en première approche.

    Sinon, pour les chemtrails, j’attends l’ouverture météo adéquate pour un joli timelapse…

    Bon courage !

    1. Ce “théorème du singe” est en effet très pédagogique. mais résulte-t-il d’expériences réelles, et si oui avez-vous des références ?

      J’ai vaguement parcouru l’article de “barbarossa” sur le réchauffement climatique, suffisamment pour me rendre compte que son auteur n’a pas les connaissances minimales pour pouvoir parler valablement du sujet. Dire que “les gaz à effet de serre empêchent surtout la terre de se réchauffer”, faut le faire !

      Énormément de personnes vous expliquent que les choses sont simples en la matière, alors qu’elles sont en fait très complexes, et ne font ainsi qu’étaler leur ignorance… des deux côtés d’ailleurs ! Aussi bien chez les “réchauffistes” que chez les “climato-sceptiques”, deux termes d’égale imbécillité. Voilà pourquoi je n’en parle pas : c’est à mon avis à peu près impossible à vulgariser honnêtement dans un temps raisonnable. La seule chose dont je suis certain, c’est que les “réchauffistes” ont le camp médiatique pour eux, et que l’exagération d’événements réels à des fins politiques n’est pas une première dans l’histoire !

      Merci pour vos encouragements.

  2. Bonsoir,

    Merci pour votre réponse.

    Pour le théorème du singe, je l’ai retenu d’une lecture (B. WERBER dans l’Encyclopédie du Savoir Relatif et Absolu et je crois qu’elle est reprise par H. BLOOM dans le Principe de Lucifer 1 ou 2). Pour l’expérience en elle même, je m’étais penché sur la question à l’époque…via wikipedia (sic) mais il n’y a qu’une référence à une expérience s’en approchant dans les années 1960.

    Pour Barbarossa, je me suis intéressé à sa présentation des ordres de grandeurs :
    rapport vapeur d’eau / CO2, estimation de la part humaine dans le prod de CO2, évolution de cette production, impact du facteur temps dans le processus de renouvellement du CO2 et de la vapeur d’eau…je pensais vraiment qu’il pouvait s’agir d’une bonne base pour débattre des ordres de grandeur sur le sujet.

    Dommage, ce sujet mériterait une approche scientifique simplifiée pour éclairer le plus grand nombre. Précision sur les “climato-sceptiques”, il y a deux sous-groupes :
    * ceux qui réfutent le réchauffement climatique et transforme le concept en “dérèglement climatique”
    * ceux qui sont en phase sur le constat d’un réchauffement climatique mais pas sur la responsabilité de l’homme sur le sujet (ou en tout une responsabilité epsilonesque)

  3. En même temps le théorème du singe vous connaissez non ?
    Quand vous vous rendez à une conférence de R. GAGE et que vous tentez d’aborder de façon argumentée un sujet qui s’écarte de son “dogme”, celui-ci utilise la foule pour vous “rentrer dedans” et éviter le sujet en question…
    Au final, la foule (les singes) s’abat sur vous sans que le sujet en question ne soit abordé (alors qu’il est fondé et argumenté).

    1. Tout à fait ! En l’occurrence ce n’est pas moi, mais mon ami François Sebesi, qui ai posé une question publiquement avec les conséquences que vous décrivez. Personnellement, j’en ai posé une autre, mais “en privé” face à face avec le bonhomme, qui s’est décomposé quand il a vu que j’avais compris et qu’il n’avait rien d’autre à répondre que “je ne connais pas grand-chose à la physique”… Eh bien pourquoi tu fais des conférences avec des arguments de physique, mon gars ? C’est qui les tireurs de ficelles derrière ?

      1. Pour Gage comme pour d autres formes de forces d opposition, je me pose la question : sont ils contrôlés ou tout simplement enfermés dans leurs dogmes Et leurs limites.

        J avais assisté à une conf de l ex euro député Chiesa donnée à Grenoble il y a quelques années. Petite salle avec 50 personnes. Le film en question c était ONE je crois. Mais ce qui m intéressait c était les échanges post conf. On était une dizaine avec Chiesa et évidemment le 11/9 est venu sur la table… J emmettais des doutes sur les explications des causes (thermate) des effondrements des 3 tours. J ai été très surpris de l agressivité et du manque d ouverture sur ce sujet. La thermate m était imposée point final. Ils agissait comme les grands médias agissaient avec eux : avale ton dogme et passe à autre chose…a part Chiesa et Christophe (ancien de reopen et à l origine du “carrefour des consciences”).

        1. Difficile de se prononcer quand on n’a pas accès à la conscience des intéressés… en effet bien des dogmes peuvent avoir des effets catastrophiques sur la raison, c’est même leur raison d’être !

          Je pense néanmoins qu’une analyse froide et rationnelle d’un événement comme les attentats du 11-Septembre conduit inévitablement à la conclusion suivante : personne ne peut concevoir un tel “chef-d’œuvre” (j’ai dit qu’il fallait être froid et rationnel !) sans concevoir en même temps le “service après-vente” de la chose, c’est-à-dire une armée de propagandistes chargée de faire avaler des histoires dignes de Harry Potter. Et même plusieurs couches d’histoires à dormir debout, afin de faire gagner du temps et de la tranquillité aux organisateurs, en orientant les “chercheurs de vérité” sur plusieurs fausses pistes afin qu’ils n’aillent pas trop vite à la “solution finale”, si j’ose dire.

          Il ne fait donc aucun doute pour moi que de tels “aiguilleurs du mensonge” existent, et sont placés à des postes-clés du “mouvement pour la vérité” afin de le contrôler : responsables d’associations, organisateurs de conférences ou éditeurs “alternatifs”… il y a forcément des “traîtres” parmi les contestataires de la version officielle, et ce n’est pas être “complotiste” (disons plutôt paranoïaque) de le dire, c’est juste une question de logique, car on ne peut pas commettre un crime de telle ampleur sans préparer l’après-crime, ce ne serait pas “professionnel”.

          À côté de ces traîtres existent certainement beaucoup de personnes sincères simplement enfermées dans leurs dogmes, comme vous le dites : cela n’a rien de nouveau et on pourrait même dire que la plupart des religions ont adopté depuis des millénaires le schéma de “contestation contrôlée” dont il est question ici. Mais savoir qui est traître et qui est esclave de ses chaînes mentales est à mon avis relativement secondaire par rapport à la nécessité de briser ces chaînes car, une fois brisées, la force de la raison partagée par un grand nombre aboutira forcément à démasquer les traîtres, de plus en plus coincés dans leurs contradictions.

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