Quand Le Figaro vous prend pour des quiches
(mais pas que lui)

Hier 15 novembre, jour officiel de l’entrée en vigueur de l’apartheid anti-non-vaccinés en Autriche, Le Figaro a lancé sur son site un “sondage” pour savoir, comme l’a plaisamment formulé Alain Legaret dans un tweet, s’il y avait autant de nazis en 2021 qu’en 1939.

Il s’agissait de répondre à la question : “L’Autriche a-t-elle raison de confiner les non-vaccinés ?

J’ai bien sûr reçu plusieurs messages de mes correspondants me demandant d’aller apporter mon vote pour faire barrage à l’hystérie covidiste ambiante. Et j’ai voté. Trois fois de suite. Plus une ce matin pour vérifier que ça marchait encore. En effaçant simplement les cookies du navigateur en provenance du site du Figaro, entre chaque vote.

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Combien faut-il vacciner d’enfants pour empêcher
un seul décès COVID parmi les enfants de 5 à 11 ans
selon les données de l’autorisation d’utilisation d’urgence accordée à Pfizer ?

On pourra toujours discuter à l’infini de la valeur exacte de ce nombre, qui dépend de la qualité des données utilisées – or on sait maintenant que Pfizer n’est pas vraiment très net sur ce point. Mais l’essentiel n’est pas là : il est de savoir, via les retours sur les effets indésirables des vaccins, et le facteur – lui aussi sujet à discussion – de sous-déclaration de ces effets indésirables, si le remède est pire que le mal. Et la réponse est sans aucune ambiguïté possible : oui, vu que “sauver une vie” nécessite d’en sacrifier beaucoup d’autres, ce qui n’est pas une conception très standard de la médecine.

Je vous propose ci-dessous la traduction d’un article original paru le 1er novembre sur le compte substack de Toby Rogers, un Australien qui aime les chiffres et les statistiques, en particulier sur l’autisme, sujet de sa thèse de doctorat.

——— Début de la traduction ———

Le nombre de vaccinations nécessaires (NVN), l’outil standard dont Big Pharma, la FDA et le CDC ne veulent plus parler.

Une chose amusante est arrivée cet après-midi. Pas drôle comme quand on s’exclame “ha ha !“. Plutôt drôle comme dans, “ohhhhh c’est comme ça que la FDA truque le processus…“.

Je lisais le document des CDC intitulé “Guidance for Health Economics Studies Presented to the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP), 2019 Update” et je me suis rendu compte que l’analyse bénéfice-risque lamentable de la FDA en rapport avec la demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (Emergency Use Authorization, EUA) de Pfizer pour le vaccin des enfants de 5 à 11 ans viole de nombreux principes du guide d’orientation des CDC. Ce document décrit 21 points que toute étude d’économie de la santé relative aux vaccins doit respecter, et l’analyse bénéfice-risque de la FDA en a violé au moins la moitié.

Aujourd’hui, je veux me concentrer sur un seul facteur : le nombre de vaccinations nécessaires (NVN). À quatre endroits différents, le document d’orientation des CDC mentionne l’importance de déterminer ce nombre de vaccinations nécessaires. Je ne me rappelais pas avoir vu un NVN dans le document sur l’analyse bénéfice-risque de la FDA. J’ai donc vérifié à nouveau cette analyse et, bien sûr, il n’y avait aucune mention d’un NVN.

Comme la FDA n’a pas fourni de NVN, je vais tenter de le faire ici.

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La Science, dans toute sa splendeur

Covid : l’Allemagne a trouvé son Edward Snowden
(France Soir)

London School of Hygiene and Tropical Medicine

London School of Hygiene and Tropical Medicine

[Note de l’administrateur de ce blog : la Blitzkrieg covidienne a sidéré l’humanité, y compris la plupart des scientifiques, souvent naïfs et incapables d’envisager que leurs autorités aient des intentions criminelles, à plus forte raison préméditées de longue date.

Mais le traitement informatique des données, que certains tentent d’imposer pour tous les aspects de la vie sociale et pour le seul profit d’une caste dirigeante, permet aussi à ceux des analystes qui font passer la rigueur avant l’émotion de mettre en lumière l’organisation de cette plandémie, ou fausse pandémie délibérément organisée, et de prouver – à moins d’admettre que les voyages dans le futur sont possibles – que certains acteurs étaient parfaitement informés de cette “pandémie surprise” bien avant qu’elle n’advienne. Quelques figures de proue du covidisme s’étaient d’ailleurs imprudemment livrés à des prévisions publiques assez catégoriques, et ce dès janvier 2017. Le scenario était même devenu d’une précision chirurgicale juste avant la “pandémie”, lors d’une réunion publique le 29 octobre 2019.

“Il y a le temps médiatique, le temps de la science, et le temps de la justice.” Didier Raoult avait, sur ce plan comme sur beaucoup d’autres, encore raison.]


TRIBUNE – Le 22 septembre, Langemann Medien publiait sur sa chaîne YouTube un entretien – visionné à ce jour près de 500 000 fois – avec un jeune mathématicien et expert-informaticien dont on se souviendra peut-être comme l’Edward Snowden allemand. Nous l’appelerons “Eduard Schneeten” (pour des raisons évidentes, il souhaite rester anonyme).

Assisté de l’analyste politique Thomas Röper (Anti-Spiegel.de, Apolut.net), Eduard Schneeten a passé au crible depuis six mois plusieurs millions de documents grâce à des logiciels spécialisés. Cela a permis de mettre à jour le modus operandi des pilotes de la manœuvre dite “anticovid”, de démontrer qu’il s’agit d’un réseau tissé très étroit et chargé d’une mission précise : obliger par tous les moyens la population mondiale à se soumettre au dictat d’intérêts privés sous prétexte de “santé publique”.

Ces réseaux sont désormais parfaitement identifiés grâce aux deux analystes.

La vidéo de Langemann Medien présente en langue anglaise un premier document (169 pages) d’une série à paraître d’ici deux mois environ sous forme de livre, la présentation actuelle sous forme de tableaux Excel et graphiques étant de consultation peu aisée par des non-spécialistes.

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Corrélation, causalité, vaccination

En sciences, recherche de corrélation et recherche de causalité entre deux phénomènes sont très liées. Ce qui ne signifie pas qu’une corrélation implique une causalité : par exemple, il y a probablement une corrélation entre la consommation de glaces à la vanille et l’apparition de coups de soleil. Cela ne signifie pas que consommer de la glace à la vanille provoque des coups de soleil (ni même qu’avoir un coup de soleil incite à consommer de la glace à la vanille).

Mais lorsqu’on cherche à trouver des relations de causalité, entre des phénomènes dont on ne comprend pas le “fonctionnement”, on commence par vérifier s’il existe entre eux des corrélations. Car même si la corrélation ne prouve pas la causalité, en revanche, l’absence de corrélation implique l’absence de causalité. En logique, on dit que la proposition “A implique B” est équivalente à “(non B) implique (non A)” et on parle de formules ou propositions contraposées. Précisons pour les non-initiés : “A implique B” signifie que si A est vrai, alors B est nécessairement vrai. Par contre si A est faux, B peut être vrai ou faux : on ne peut rien dire de B. Par contre si B est faux (donc non vrai !) alors A ne peut pas être vrai ; A est nécessairement “non vrai” c’est-à-dire faux, puisque s’il était vrai B devrait être vrai également.

Le test de corrélation, même s’il est bien souvent, intuitivement, utilisé de façon positive pour “vérifier” des relations de causalité, ne peut donc en toute rigueur que démontrer des non-causalités en éliminant des relations de causalité et non en les prouvant. Même si, sur de très grands nombres, une corrélation quasi-parfaite rend statistiquement très improbable (au besoin via des variables intermédiaires non prises en compte) une absence de causalité, mais cette “preuve”-là n’est que statistique et pas strictement logique.

Par contre, si un médecin vous prescrit un médicament pour soigner une maladie et que ce médicament ne fonctionne jamais, on peut être certain (chez vous au moins, la médecine n’étant pas une science aussi universelle que la physique) que ce médicament ne fonctionne pas : c’est le sens de la démonstration par “(non B) implique (non A)”.

En matière de vaccination anti-COVID, nous avons maintenant la chance d’avoir des données à moudre : d’après Our World in Data qui récolte des données publiques partout dans le monde, déjà 3,56 milliards d’humains (au 29 septembre 2021) ont reçu au moins une dose de “vaccin anti-COVID” (toutes technologies confondues), et 2,64 milliards sont entièrement vaccinés. Puisque la vaccination est présentée comme le remède miracle à la pandémie (voire le seul), il est intéressant de voir l’impact de cette vaccination sur les décès hebdomadaires attribués à la COVID-19.

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Comment l’Assistance Publique – Hôpitaux de Paris
viole allègrement le consentement libre et éclairé au vaccin
(Éric Verhaeghe)

[Note de l’administrateur de ce blog : information pratique vis-à-vis des soignants et de tous ceux qui seraient contraints à la vaccination, mais aussi avertissement à tous les Tartuffe et petits dictateurs poussés par le vent du covidisme : la loi existe encore, même si elle sert de paillasson, et pourra être invoquée dans les procès à venir.

Y compris l’article 211-1 du Code pénal définissant le génocide.]


Parfois, comme pour certains fonctionnaires de l’AP-HP (assistance publique hôpitaux de Paris) aujourd’hui, il est difficile d’appliquer la raison d’Etat, car elle contredit toutes les valeurs humanistes, tous les écrits que l’on a produits dans le cadre de ses fonctions. C’est le conflit entre l’ordre et la morale, illustré d’innombrables fois dans l’histoire, et parfaitement caricaturé dans la France de Macron, par l’obligation vaccinale des soignants.

Les notes de l’AP-HP (Assistance Publique, Hôpitaux de Paris) sont parfois cruelles, car elles illustrent comment des fonctionnaires de talent peuvent prêter leur savoir et leur plume à des opérations qui se situent à rebours de tout ce qu’ils ont écrit. Ainsi cette note du 31 décembre 2020 de la direction juridique de l’AP-HP sur le consentement libre et éclairé en matière de vaccination, qui en dit long sur la distance qui sépare les états d’âme de certains bureaucrates et les réalisations expéditives de leur directeur général Martin Hirsch.

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Effets indésirables des injections :
une catastrophe en marche (RéinfoCovid)

[Note de l’administrateur de ce blog : une plongée précise et documentée dans les entrailles des systèmes de pharmacovigilance vaccinale, et leurs embûches.

Ou comment l’argent public qui les finance a bien souvent du mal à servir les intérêts du public, particulièrement en France, qui a des leçons de transparence à prendre des États-Unis (pourtant loin d’être irréprochables). Mais heureusement, des citoyens bénévoles veillent.]


Débat Julien Rochedy – Youssef Hindi (15 septembre 2021)

[La présentation des conférenciers débute à 4 min 32 s de la vidéo, et Julien Rochedy, qui prétend n’avoir pas eu connaissance de Youssef Hindi auparavant mais commence par expliquer pourquoi il a tort sur toute la ligne, déroule son monologue jusqu’à 26 min 27 s. Le débat proprement dit commence donc après.

Visiblement, la politique et la recherche historique ne demandent pas les mêmes compétences intellectuelles. Ceux qui n’ont pas le temps de tout écouter pourront par exemple, à partir de 1:32:15, se concentrer sur la démonstration de Youssef Hindi concernant Éric Zemmour (que soutient Julien Rochedy) et le terrorisme islamiste.]


Septembre 2001 aux États-Unis :
analyse physique des événements

Par François Roby et Christian Darlot

Le 12 août 2021

La version officielle de la destruction des tours de Manhattan, en septembre 2001, est incompatible avec les lois de la Physique. Mais les principes fondamentaux de la Physique permettent, par une analyse simple, d’identifier le procédé de destruction.

Quoiqu’il puisse paraître déjà ancien tant les catastrophes se sont enchaînées depuis, l’attentat du 11 septembre 2001 à Manhattan et au Pentagone reste l’un des plus importants événements récents, puisqu’il est à l’origine de 20 années de guerre au Proche-Orient. Comprendre les causes de cet attentat est donc capital pour anticiper l’évolution des relations internationales. Or le rapport officiel, publié par les pouvoirs publics étasuniens, présente tant de lacunes et d’impossibilités qu’il ne peut être considéré comme véridique1. Mais le choc d’un avion contre une tour, et l’effondrement d’une tour, sont déterminés par les lois de la Physique. Ces faits peuvent donc être étudiés selon une méthode sûre : l’analyse physique des observations. L’objectivité de principe d’une telle analyse n’empêche pas la compassion envers les victimes, mais au contraire peut permettre d’élucider les causes de leur mort, innocenter des innocents, identifier les coupables et les empêcher de récidiver.

Note du Saker Francophone

On publie 2 articles ce jour pour témoigner du 20ème anniversaire de ce tragique événement. On laisse aux 2 auteurs leurs choix éditoriaux. En l’absence de collaboration réelle de l’État américain, la réalité complète restera probablement dans l’ombre comme l’affaire Kennedy. On a aussi publié un livre sur le volet Pentagone avec des arguments différents qui ne s’excluent pas forcément.

En ces jours de débâcle en Afghanistan et d’effondrement du Système occidentaliste, ces travaux restent pertinents pour continuer à mettre la pression sur ceux qui ont organisé ce coup car tous ne sont pas encore morts comme Rumsfeld mais ce sont les conséquences de ce point de départ jusqu’à l’opération Covid qui restent notre principale préoccupation.

 

Sources :

Outre le rapport officiel aussi lacunaire que volumineux, une recherche sur Internet permet de trouver foison de documents, de photos et de vidéos des événements à New York. Au contraire, très peu de documents sont accessibles sur l’incident du Pentagone à Washington, et presque pas sur l’écrasement d’un avion en Pennsylvanie. Des associations d’architectes et d’ingénieurs, comme Architects and Engineers for 9/11 Truth, ou de pilotes d’avion comme Pilots for 9/11 Truth, ont publié des discussions techniques de ces événements.

Selon un principe fondamental des débats intellectuels, la charge de la preuve incombe à qui affirme. La première étape de la recherche de la vérité est donc d’examiner la compatibilité de la version officielle avec les conditions physiques des événements.

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