Le Dr Harvey Risch nous explique
le plus gros mensonge de la pandémie

Harvey Risch a un CV long comme un mois sans pain (93 pages) : ce professeur émérite (depuis juillet 2022) au Yale Institute for Global Health, émanation de la prestigieuse université Yale, n’a visiblement pas passé sa vie à faire du jet-ski.

Dans un récent entretien avec Steve Deace pour son talk show, il nous parle d’hydroxychloroquine… mais aussi de France et d’une ancienne ministre de la santé. Deux bonnes raisons de l’écouter. La vidéo ci-dessous, sous-titrée en français par mes soins, reprend l’extrait diffusé par Steve Deace sur son compte twitter le 15 septembre dernier.

L’entretien complet, d’un quart d’heure, est disponible ici en anglais des Amériques non sous-titré. On attend avec impatience que les fact-chekers et autres NoFakeMeds viennent débunker ce charlatan adepte de la poudre de perlimpinpin.

18 mensonges contre Didier Raoult (Idriss Aberkane)

[Note de l’administrateur de ce blog : mise en ligne hier sur la chaîne YouTube de l’auteur, cette vidéo a été retirée quelques heures plus tard par les grands ciseaux de la censure.

Raison de plus pour faire comprendre à YouTube qu’on peut se passer de sa plateforme, et que le monde d’hier n’est pas celui de demain.]


Prof. Norman Fenton : Les dernières données sur l’efficacité et la sécurité des vaccins au Royaume-Uni

[Note de l’administrateur de ce blog : on le sait depuis longtemps, les statistiques du COVID-19 sont l’objet de multiples manipulations. On a commencé – avant les vaccins – à gonfler énormément le nombre de “décès COVID” en incluant dans la catégorie beaucoup de simples “tests PCR positifs” morts de toute autre chose, et en “oubliant” les avertissements de l’inventeur de la méthode PCR sur les risques de sa mauvaise utilisation.

Maintenant que des vaccins sont disponibles, pour ne pas dire obligatoires, on cherche à en enjoliver les performances et à en minimiser les risques. Il faut donc être très vigilant sur des illusions statistiques qui peuvent être très subtiles, surtout lorsque les populations de vaccinés et non-vaccinés varient rapidement dans le temps, comme l’explique ici le professeur Norman Fenton de la Queen Mary University à Londres.

C’est en évitant au maximum les catégories discutables et manipulables (comme “décès COVID” et “décès hors COVID”, ou même “vacciné” et “non-vacciné”, sachant qu’un vacciné peut être classé “non-vacciné” juste après l’injection) que la vérité finira par éclater. Et elle n’est pas forcément belle à voir.

Les principales planches de la présentation du professeur Fenton sont disponibles ici (en français !). Un grand merci à l’auteur de cette traduction.]


L’activité hospitalière en 2020 : la vraie version
(Décoder l’éco)

[Note de l’administrateur de ce blog : seule critique minime de ma part, la confusion dans le commentaire entre “activité hospitalière” et “nombre d’entrées à l’hôpital”.

Pour le reste, remarquable de précision comme d’habitude, et on apprend que même au plus fort de la “première vague”, les hôpitaux français étaient tous en sous-activité, et que ceux qui comptaient la plus forte proportion de “patients Covid” étaient logiquement ceux dont la sous-activité était la plus forte (quand on réduit le dénominateur, la valeur de la fraction augmente). Lesquels auraient donc été débordés de “patients Covid” représentant… moins de 4% de leurs entrées habituelles.

Remarque : ceux qui préfèrent lire que regarder une vidéo pourront se référer à cette analyse de la vidéo dans France Soir.]


Le point sur la Résistance avec Richard Boutry
(La Une TV / Radio Québec)

[Note de l’administrateur de ce blog : un dialogue entre deux “complotistes” qui fera peut-être réfléchir les naïfs croyant encore à la nature sanitaire de la crise. Une remarque de vocabulaire : Alexis Cossette-Trudel emploie l’adverbe “éventuellement” dans le sens de l’anglais “eventually”, c’est-à-dire en français européen plutôt dans le sens de “finalement” ou “en définitive”.]


Paroles d’experts : vaccins Covid et grossesse

Nous avons déjà vu dans cet article qu’il était possible d’induire en erreur sans mentir frontalement : le cœur de métier des publicitaires a bien sûr été amplement mis à contribution par les laboratoires pharmaceutiques pour exagérer l’utilité des vaccins anti-COVID, que ce soit en entretenant la confusion entre les notions d’efficacité absolue et d’efficacité relative (définies ici), ou en passant sous silence – voire en niant, ce qui constitue là un bon gros mensonge – l’existence de traitements efficaces et sûrs contre cette maladie, obtenus en réutilisant des médicaments anciens, peu chers et aux effets secondaires bien connus, y compris à long terme.

Cependant, le but d’un laboratoire pharmaceutique étant de faire du profit et pas de soigner, il faudrait être naïf pour s’étonner et s’offusquer de telles pratiques, que tout le monde considère comme normales quand il s’agit de vendre de la purée ou des aspirateurs, et qui n’ont évidemment aucune raison de disparaître lorsque la marchandise vendue est bien plus profitable encore – et qu’on peut l’écouler par un système de vente forcée. Il vaut mieux concentrer son indignation sur ceux dont le métier devrait être de protéger la population d’une recherche de profit sans limite confinant à la prédation pure et simple : les représentants élus, dont l’incorruptibilité reste à établir, mais aussi les scientifiques auréolés de leur objectivité, dont chacun utilise les travaux comme s’ils ne pouvaient jamais être mis en doute.

Cette infaillibilité scientifique est un mythe qu’il faut abattre : d’une part, les scientifiques de profession ne sont pas des êtres purs consacrant toute leur vie et leur énergie à la recherche de la Vérité, mais des être sociaux soumis à des contraintes hiérarchiques, budgétaires et psychiques les rendant corruptibles comme les autres ; et d’autre part, même dans le cadre d’une recherche sincère de vérité il arrive qu’ils se trompent, et parfois dans les grandes largeurs, par le simple fait que leur hyper-spécialisation les rend parfois aveugles à des évidences criantes. La science ne fait pas que combattre l’obscurantisme, elle en produit aussi de nouveaux.

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Covid : plainte déposée contre la France devant la Cour pénale internationale pour crime contre l’humanité (Anthropo-logiques)

[Note de l’administrateur de ce blog : ne comptons pas trop sur le cours “normal” de la justice, mais faisons tout comme si elle remplissait parfaitement son rôle. Car qui ne dit mot consent.]


Je viens de recevoir l’excellente nouvelle que le CSAPE (Collectif des Syndicats et Associations Professionnels Européens) a déposé en date du 28 juin dernier devant la CPI une plainte pénale visant le président Emmanuel Macron, le gouvernement et les haut-fonctionnaires impliqués dans la gestion criminelle de l’épidémie de Covid.

Voici le communiqué reçu ce jour de son secrétaire général :

Le CSAPE vous informe qu’en suite de l’interpellation du 02 mars 2021, par mise en demeure restée sans réponse, une plainte contre des dirigeants français vient d’être déposée à la Cour pénale internationale (CPI) avec demande d’ouverture d’enquête pour crime contre l’humanité, atteinte à la dignité humaine, servitude et génocide, sous le numéro OTP-CR-271/21.

Nous rendons publique la plainte et nos découvertes au niveau mondial et nous vous incitons à vous associer à l’action du CSAPE en déposant également plainte avant que la situation ne devienne irréversible pour cause d’absence de résistance effective – (les actions devant les juridictions françaises étant vouées à l’échec pour les raisons d’ailleurs exposées dans la plainte).

Il s’agit de l’avenir de l’humanité dont nos enfants.

Vous pouvez prendre connaissance de la plainte jointe.

Continuer la lecture sur le blog de Jean-Dominique Michel →

Vaccins, ensembles et probabilités

Cet article est dédié à Gilbert Deray, qui a affirmé dans un tweet que je ne savais pas lire le rapport cité dans mon article du 21 juin.

Quand j’avais 5 ans, au cours préparatoire, mon institutrice nous enseignait les “mathématiques modernes” sur le sol en linoléum de notre salle de classe en préfabriqué en traçant à la craie des ensembles dans lesquels nous devions placer des objets en fonction de leur forme et de leur couleur. Nous y apprenions alors les notions de réunion et d’intersection : l’ensemble des carrés verts était l’intersection de l’ensemble des carrés et de celui des objets verts, mais l’ensemble des carrés était la réunion des ensembles de carrés rouges, de carrés verts et de carrés bleus (de mémoire, il n’y avait que 3 couleurs ; s’il y en avait aussi des jaunes il fallait évidemment les ajouter).

En dehors de considérations futiles du genre “j’ai envie de sortir en boîte” ou “j’ai envie de prendre l’avion pour les vacances”, les questions que chacun devrait se poser pour savoir s’il a intérêt ou non à se faire vacciner contre la COVID-19 sont :

  1. Le vaccin est-il sûr ?
  2. Le vaccin est-il efficace ?

Pour la question 1, nous avons déjà vu à la lumière des données du VAERS que rien n’est moins certain, particulièrement si l’on prend en compte l’absence de recul temporel sur les effets secondaires.

La question 2 mérite d’être précisée : s’agit-il d’éviter une infection (ou de minimiser la probabilité d’être infecté), même sous ses formes légères voire absolument impossibles à détecter sans moyens biochimiques (les fameux “cas asymptomatiques”), ou seulement d’éviter les formes graves de cette infection, et surtout bien évidemment, celles conduisant au décès ?

Vu la réponse expérimentale apportée à la question 1, il semble naturel de plutôt mettre l’accent sur les formes graves et les décès, car il paraît bien risqué de vouloir éviter quelques désagréments passagers au prix d’un remède préventif qui pourrait être pire que le mal.

Or, quand on juge de l’utilité d’une vaccination, on se pose implicitement, même si on est allergique aux mathématiques, une question de probabilité conditionnelle : on se demande si l’on a vraiment moins de (mal)chance de tomber gravement malade ou de décéder sachant qu’on est vacciné, par rapport à la même question, sachant qu’on n’est pas vacciné. Et il est souvent utile, pour résoudre ce genre de problème, de se représenter les différents cas possibles sous formes d’ensembles, comportant pour certains des parties communes (des intersections non vides).

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