Un ancien responsable de Pfizer et un ancien directeur de la santé allemand demandent l’arrêt d’urgence des tests
cliniques de vaccination contre la COVID-19

Une des raisons de leur inquiétude : la possibilité que les vacciné(e)s deviennent stériles.

Le Dr Michael Yeadon est un ancien directeur scientifique du géant pharmaceutique Pfizer, où il était responsable de l’unité de recherche sur les maladies allergiques et respiratoires, dirigeant jusqu’à 200 personnes. Le Dr Wolfgang Wodarg est un ancien directeur du département de la santé (Gesundheitsamt) de la ville de Flensburg et un ancien président du Comité santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe.

Tous deux viennent de signer, le 1er décembre 2020, une requête en urgence auprès de l’Agence Européenne des Médicaments afin de demander la suspension immédiate des essais en phase III du vaccin contre la COVID-19 développé par BioNTech (une société spécialisée dans les traitements à base d’ARN messager, travaillant en partenariat avec Pfizer depuis septembre 2020), mais aussi de “tout autre essai clinique en cours visant à mettre fin à la transmission du virus de la personne vaccinée à d’autres personnes et/ou à prévenir la COVID-19 ou à en atténuer les symptômes, pour lesquels les résultats de tests PCR sont la première preuve de l’infection par le SARS-CoV-2.1.

Parmi les nombreux points soulevés justifiant cette requête, les auteurs soulignent – comme l’a fait le Dr Doshi dans un article du British Medical Journal – que, d’une part, aucun des principaux essais cliniques de vaccin contra la COVID-19 n’est conçu de manière à tester l’efficacité contre les formes graves de la maladie, conduisant à l’hospitalisation, voire aux soins intensifs ou au décès – d’ailleurs, il semble même que le rapport de Pfizer reconnaisse une contre-performance sur ce point précis ; et d’autre part, ils ne sont pas non plus conçus pour tester l’influence du vaccin sur la transmission du virus.

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Ce que le battage publicitaire autour des vaccins contre la Covid ne mentionne pas (Dr Gilbert Berdine via Le saker francophone)

[Note de l’administrateur de ce blog : au cas où ce ne serait pas encore bien clair, les annonces en grande pompe sur l’efficacité des premiers vaccins anti-COVID-19 sont pour l’essentiel basées sur… du vent, car personne n’a jamais affirmé qu’être vacciné comportait moins de risques pour la santé que d’attraper la COVID-19. Sans oublier qu’il restera possible de se faire vacciner et de déclarer néanmoins la maladie.

Or il est maintenant parfaitement clair que la COVID-19 présente très peu de risques de complications graves voire fatales pour les personnes qui ne sont ni très âgées ni porteuses de comorbidités importantes, les Centers for Disease Control américains rappelant que pour seulement 6% des décès comptabilisés “COVID-19” aux USA, aucune autre cause n’est mentionnée.

Il faudrait pourtant commencer par là : primum non nocere, d’abord ne pas nuire.]


Pfizer a récemment annoncé que son vaccin Covid était « efficace » à plus de 90 % pour prévenir la Covid-19. Peu après cette annonce, Moderna annonçait que son vaccin contre la Covid était « efficace » à 94,5 % pour prévenir la Covid-19. Contrairement au vaccin contre la grippe, qui est un vaccin unique, les deux vaccins anti-Covid nécessitent deux injections à trois ou quatre semaines d’intervalle. Hélas, les définitions du terme « efficace » sont cachées vers la fin des deux annonces.

Les deux essais comportent un groupe de traitement qui a reçu le vaccin et un groupe de contrôle qui ne l’a pas reçu. Tous les sujets de l’essai étaient Covid négatifs avant le début de l’essai. L’analyse pour les deux essais a été effectuée lorsqu’un nombre cible de « cas » a été atteint. Les « cas » ont été définis par un test positif de réaction en chaîne de la polymérase (PCR). Il n’y a aucune information sur le nombre de cycle utilisé pour les tests PCR. Il n’y a pas d’information pour préciser si les « cas » présentaient ou non des symptômes. Il n’y a pas d’information sur les hospitalisations ou les décès.

Le travail de terrain plus utile que le travail de bureau
(IHU Méditerranée-Infection)

[Note de l’administrateur de ce blog : les scientifiques intègres sont toujours humbles, non face aux puissants ou aux médaillés de toute nature (cette “humilité”-là est en réalité une forme de lâcheté) mais face aux données. Didier Raoult ne fait pas exception à la règle, tout en ayant un vrai sens de la formule pédagogique, comme lorsqu’il déclare : “l’idée qu’il peut y avoir une courbe par pays c’est encore une idée d’andouille, c’est une idée politique”.

En complément à ses conclusions, on peut également réécouter à la suite de cette vidéo le professeur Even parler, en 2012, de l’industrie pharmaceutique, ou relire l’article sur l’unité COMETE des marins-pompiers marseillais dont le professeur Raoult vante ici les travaux.]


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Le général Flynn, QAnon et les élections US
(Thierry Meyssan)

Réunion au Conseil national de sécurité US, le 13 juin 2013 à la Maison-Blanche. L’ambassadeur de la Confrérie secrète des Frères musulmans, Youssef al-Qaradâwî, n’ayant pas pu se rendre à Washington car interdit d’accès au territoire US, il s’est fait représenter par son adjoint, le cheik Abdallah Bin Bayyah (second à gauche avec le turban).

Réunion au Conseil national de sécurité US, le 13 juin 2013 à la Maison-Blanche. L’ambassadeur de la Confrérie secrète des Frères musulmans, Youssef al-Qaradâwî, n’ayant pas pu se rendre à Washington car interdit d’accès au territoire US, il s’est fait représenter par son adjoint, le cheik Abdallah Bin Bayyah (second à gauche avec le turban).

[Note de l’administrateur de ce blog : on est estomaqué par le déni absolu des “grands” media au sujet de la fraude massive ayant eu lieu pendant les élections présidentielles américaines, alors que les preuves abondent sous diverses formes, et notamment des centaines de déclarations sous serment. Rappelons que mentir sous serment expose le menteur à passer par la case prison…

Dans ce bras de fer entre, non pas les Démocrates et les Républicains, mais plutôt les patriotes attachés à la Constitution américaine d’un côté, et ceux qui comptent encore profiter d’un système archi-corrompu – l’ancien président Carter lui-même l’avait reconnu – de l’autre, la seule issue possible est l’écrasement d’un camp par son adversaire. Particulièrement quand on sait que les agissements de certains, s’ils sont avérés, sont passibles de la peine de mort (pour trahison).

Il semble bien que, contrairement à ce que l’auto-persuasion médiatique voudrait faire croire, la méthode et la détermination de l’équipe derrière Trump finira par redonner aux États-Unis des bases démocratiques qu’ils avaient perdues depuis des décennies. Ce qui passera par un gran choc psychologique pour beaucoup d’Américains, et l’effondrement des mass media ayant perdu toute crédibilité.]


La grâce octroyée par le président Trump à son ancien conseiller national de sécurité, le général Michael Flynn, parait être un soutien à QAnon ; un groupe qui lui paraît lié. De même que le renvoi de leaders du Pentagone semble suivre les objectifs du général Flynn.

En accordant avec éclat sa grâce présidentielle au général Michael Flynn, Donald Trump a jeté le trouble.

Certes, ce grand militaire est poursuivi pour avoir menti aux enquêteurs du Russiagate (et non pas pour d’autres crimes qu’il aurait lui-même commis). Il cherchait à protéger son patron des intrusions de la Justice ; ce dont celui-ci le remercie aujourd’hui.

Mais surtout parce que cet homme a un curriculum vitæ remarquable. Directeur du Renseignement militaire, il remit en cause le soutien de l’administration Obama à Al-Qaïda, à Daesh et à leur maison-mère, les Frères musulmans. Il batailla pour stopper la guerre contre la Syrie et maintenir le président Bachar el-Assad à son poste. À l’issue d’un mémorable conflit, au cours duquel il fut soutenu par les généraux Mattis et Kelly, il fut contraint de démissionner.

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Jean-Marie Bigard : son coup de gueule en pleine émission (France Bleu)

[Note de l’administrateur de ce blog : déclamé avec l’énergie qu’il faut, ni trop, ni trop peu. Et petite remarque aux techniciens de France Bleu : tangente s’écrit avec un g, pas un j.]


“Une interview surréaliste”, “De quoi ne plus donner envie aux Belges de suivre les règles”: les propos de Frank Vandenbroucke après le Comité de concertation font réagir (La Libre)

[Note de l’administrateur de ce blog : on assiste en direct à l’effondrement d’une propagande gouvernementale criminelle. C’est en Belgique, mais on a à peu près les mêmes en France. On appréciera la “stratégie du choc” parfaitement réussie à l’aune des suicides chez les petits commerçants, et on complètera le tableau avec les millions d’euros dépensés pour un médicament inefficace (en plus d’être dangereux). Et si ça ne suffit pas, le père fouettard en rajoutera une couche.

Ça commence à faire quand même beaucoup pour des “décideurs” qui décident systématiquement dans le mauvais sens… logiquement, l’incompétence seule devrait leur faire prendre des décisions au petit bonheur la chance, donc avec parfois de bons résultats. Il va donc falloir trouver une autre explication.]


Le ministre de la Santé, Frank Vandenbroucke (sp.a), est revenu sur la raison pour laquelle les autorités avaient décidé de faire fermer les commerces non essentiels pendant un mois. Des explications qui ont fait grincer les dents de nombreuses personnes.

Interrogé à la sortie du Comité de concertation ce vendredi 27 novembre, le ministre de la Santé a tenu un discours qui a interpellé de nombreuses personnes, y compris ses partenaires de coalition. Revenant sur la décision de rouvrir les commerces non essentiels dès le 1er décembre, Frank Vandenbroucke (sp.a) a ainsi expliqué que “faire du shopping ne comportait pas vraiment de risque quand tout était bien contrôlé”. Des propos auxquels le journaliste de la VRT a immédiatement réagi, demandant dès lors pourquoi ces magasins avaient dû fermer leurs portes le 30 octobre dernier. “Parce qu’à un moment on avait besoin de prendre une décision choc, il fallait un électrochoc et cela impliquait que l’on ferme immédiatement les commerces non essentiels”, a rétorqué le ministre de la Santé, qui a également admis qu’il s’agissait d’une mesure “psychologique”.

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Dr. Martin Kulldorff: « Les confinements produisent
des effets dévastateurs sur la santé publique à court et long terme » (Le Figaro)

«En tant que scientifique en charge de santé publique, je ne peux que me désoler des énormes dommages collatéraux que la stratégie de bouclage a causés sur d’autres domaines sanitaires.»

«En tant que scientifique en charge de santé publique, je ne peux que me désoler des énormes dommages collatéraux
que la stratégie de bouclage a causés sur
d’autres domaines sanitaires.»

[Note de l’administrateur de ce blog : ce n’est pas pour rien que le confinement généralisé d’une population n’a jamais, dans l’histoire de l’humanité, été utilisé pour lutter contre une épidémie.

Seules des quarantaines ont été instaurées pour des personnes malades, ou susceptibles de l’être, lorsqu’on identifie le foyer d’une épidémie à son début (comme ce fut le cas récemment en Chine, ou lors de la bien plus grave épidémie de peste à Marseille en 1720).

Nos gouvernements nous croient-ils idiots à ce point ? À nous de leur rappeler que nous ne le sommes pas ! Déjà en leur rappelant – ainsi qu’aux mediamenteurs – que la Suède n’a certainement aucune leçon à recevoir de la France en matière de gestion sanitaire.]


FIGAROVOX/GRAND ENTRETIEN – Les différentes politiques de confinement ont eu et auront des résultats catastrophiques pour la santé publique des citoyens concernés, estime le docteur Martin Kulldorff. Selon le professeur à la Harvard Medical School, il faudrait au contraire privilégier une « Protection Ciblée » des personnes à risque et déconfiner le reste de la population.

Par Pierre Valentin
Publié le 27/11/2020 à 18:29, Mis à jour le 27/11/2020 à 18:29

Dr. Martin Kulldorff est professeur à la Harvard Medical School expert en biostatistique, et épidémiologiste. Il a cosigné La Déclaration de Great Barrington, un texte qui met en cause les politiques de confinement général à travers le monde.

FIGAROVOX. – Le Royaume-Uni – quoique brièvement – et la Suède ont tous deux pratiqué une tentative d’immunité collective et ont maintenant largement abandonné cette stratégie. Pourquoi en est-il ainsi ?

Martin KULLDORFF. – L’immunité collective n’est pas une stratégie, mais un phénomène scientifiquement prouvé, au même titre que la gravité. Aucun pays n’a adopté une stratégie d’immunité collective, mais quelle que soit la stratégie utilisée, tous les pays finiront par atteindre l’immunité collective. L’objectif devrait être de minimiser à la fois la COVID-19 et les décès collatéraux jusqu’à ce que nous y arrivions.

Pour ce faire, une stratégie de protection ciblée permet de mieux protéger les personnes âgées et les autres groupes à risque, tandis que les jeunes adultes sont encouragés à vivre presque normalement pour éviter les énormes dommages collatéraux liés au confinement. C’est comme un avion dans le ciel : quelle que soit la stratégie utilisée par les pilotes, la gravité fera en sorte que l’avion finisse par atteindre le sol, et l’objectif n’est pas la gravité mais de le faire atterrir avec un minimum de pertes humaines.

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Pr Éric Caumes chez Pujadas 25/11/2020
Vaccin ? Il n’y a même pas d’études encore sur ce vaccin !!!
(Action Man)

[Note de l’administrateur de ce blog : le Pr Caumes s’exprime ici dans l’émission 24h Pujadas sur LCI.

Il semble que la raison revienne enfin à certains médecins médiatiques, peut-être à cause du vertige qui les saisit devant la gravité des accusations auxquelles ils devraient faire face en cas de “pépin”…]


Note d’expertise grand public sur les vaccins ayant recours aux technologies OGM (Dr Christian Vélot, CRIIGEN)

[Note de l’administrateur de ce blog : au moment où toutes les “instances sanitaires” vous expliquent que rien ne pourra revenir à la normale sans vaccination massive, et où les annonces tonitruantes des différents laboratoires se succèdent au mépris des règles les plus élémentaires de la prudence scientifique, il est bon de revenir aux fondamentaux et de faire l’effort de s’informer de façon objective.

J’avais déjà rappelé ici, via un cours de vaccinologie adressé à des médecins, que la science vaccinale était loin, dans la réalité, de la haute technologie parfaitement maîtrisée présentée dans les discours médiatiques et les brochures sur papier glacé des laboratoires. J’avais également relaté tous les obstacles rencontrés par un grand chercheur français pour faire reconnaître ses travaux, dont il pensait naïvement qu’ils seraient accueillis avec enthousiasme, lorsqu’il avait élucidé le mécanisme qui produisait chez certaines personnes de graves effets secondaires à cause de l’aluminium contenu dans beaucoup de vaccins.

Ceci devrait déjà conduire à la plus extrême prudence lorsqu’on parle de vacciner en masse une population au moyen de vaccins développés en quelques mois, alors que l’échelle de temps habituelle pour de telles découvertes est plutôt la décennie. Mais lorsqu’il s’agit d’une technologie entièrement nouvelle… le but recherché est-il vraiment la santé humaine ? Surtout lorsqu’il s’agit d’une maladie à la mortalité très faible1 et pour laquelle il existe des traitements éprouvés et peu chers ?

Mais peut-être est-ce justement là le “problème”…]


Le règlement européen 2020/1043 vient modifier la règlementation OGM. Il permet à tout essai clinique de médicaments contenant des OGM, ou consistant en de tels organismes destinés à traiter ou à prévenir la Covid-19, d’échapper aux évaluations préalables sur la santé et l’environnement. Six associations et groupes de citoyens, représentés par Maitre TUMERELLE, ont déposé un recours en annulation de ce règlement. En appui à cette procédure, le Dr VÉLOT, généticien moléculaire à l’Université-Paris-Saclay et Président du Conseil scientifique du CRIIGEN, a rédigé un rapport d’expertise grand public sur les risques sanitaires et environnementaux que peuvent présenter les candidats vaccins contre la Covid-19 actuellement en cours d’essais cliniques. Il montre ainsi en quoi ce règlement européen est dangereux. Nous tenons à préciser qu’il ne s’agit là d’aucune prise de position anti ou pro-vaccinale, mais simplement d’une analyse objective des risques en fonction des différents types de vaccins à l’étude. Au regard d’une future campagne de vaccination qui se veut massive et mondiale, une telle carence d’évaluation est en total désaccord avec le principe de précaution qui devrait s’imposer en termes de santé publique.

Télécharger le rapport (10 pages + références bibliographiques) sur le site du CRIIGEN.

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