Didier Raoult, l’homme et le médecin

[Note de l’administrateur de ce blog : vous trouverez ci-dessous 2 vidéos permettant de mieux cerner le Pr. Raoult : la première, diffusée le 7 avril par la chaîne sénégalaise emedia-Invest, situe son parcours personnel et notamment son enfance à Dakar où son père était médecin militaire ; la seconde, datant du 8 avril et réalisée par l’IHU Méditerranée-Infection dont il est le directeur, fait le point sur la situation actuelle de la pandémie COVID-19, en pointant notamment la situation ubuesque de malades à qui l’on prescrit habituellement de l’hydroxychloroquine pour d’autres raisons (lupus, polyarthrite rhumatoïde…) et qui se voient de fait interdits de traitement, alors qu’il y a quelques mois il était disponible sans ordonnance !

Le Pr. Raoult se montre aussi inquiet pour les EHPAD (maisons de retraite, en ancien français) où il juge absurde de confiner sans distinction des personnes contaminées et d’autres qui ne le sont pas, avec la perspective de finir par contaminer tout le monde et ceci dans une population particulièrement à risque.

Les derniers chiffres publiés par l’IHU Méditerranée-Infection sur la pandémie COVID-19 sont sur cette page, et chacun pourra calculer que la mortalité parmi les patients traités dans cet institut — et donc pas calculée sur le nombre total de personnes infectées, nécessairement supérieur — est d’un peu moins de 0,5%.

Comme il le souligne, des gens en France — “experts” médicaux qui ne sont plus médecins ou ne l’ont jamais été — sont devenus fous, et le drame est qu’ils ont un réel pouvoir de nuisance. ]


Le trop vieux confinement des compétences
(général Henri Roure)

[Note de l’administrateur de ce blog : l’un de mes correspondants me fait parvenir ce texte du général Henri Roure, qui autorise sa diffusion. Espérons qu’il reste encore suffisamment de militaires patriotes — et en activité — en France pour éviter à notre pays de tomber encore plus bas.

On pourra également lire de lui ce texte prémonitoire de mai 2017, Un putsch sans soldats, sur l’accession au pouvoir d’Emmanuel Macron. Espérons que ceux qui ont voté Macron “pour faire barrage au fascisme” (j’en connais !) auront l’humilité “grâce” au scandale sanitaire en cours de reconnaître leur lourde erreur.]


Une manœuvre militaire se prépare conduite par un civil. Une sorte d’opération de décrochage que nous connaissons bien, nous soldats. Le déconfinement, tel qu’il est présenté, devrait se faire par étapes, en prenant en considération plusieurs facteurs, dont la remise en activité optimale de l’ensemble de l’économie, ne sera pas le moindre. La sécurité des personnes et la poursuite de la lutte contre la pandémie et toutes sortes de paramètres apporteront leurs spécificités. Un travail d’état-major va se mettre en place, qui ne dira pas son nom, auquel aucun état-major existant et qualifié ne sera convié. Si les capacités d’organisation et de commandement des officiers ne sont pas méconnues, certains supposent, sans doute, qu’elles ne pourraient être utilisées sans mettre en cause la compétence de ceux qui nous gouvernent. Ils imaginent les médias, pourtant aux ordres, dire que la situation est tellement grave que le gouvernement, n’ayant pas le savoir-faire suffisant, se voit obligé de faire appel aux militaires pour ramener le pays à l’activité ! Et alors ? Il s’agit, paraît-il, d’une guerre… nous évoluons dans des circonstances exceptionnelles. Il n’y aurait donc rien eu d’incongru à faire appel à l’armée pour participer à  la conception et à l’organisation du déconfinement. Elle est là pour répondre à des situations hors-normes et accomplirait sa mission sous les ordres du chef des Armées. En toute logique c’est son rôle. Elle sait ce qu’est l’humain, le peuple, la patrie… et l’organisation. Celui qui aurait fait appel à elle pour apporter son concours à cette opération se serait grandi. Désigner un général pour diriger la reconstruction de Notre-Dame ne relève pas du même ordre. Les qualités du militaire valorisent, ici, ouvertement, le politique. Le temps imparti, dans ce cas, est certes compté, mais il n’expose pas. Il s’agit, en l’occurrence de pierres, de bois, de verre et de ciment à remettre en place et à coordonner les corps de métier. Le travail se fait dans une discrétion de bonne nature. Le général Georgelin, en officier discipliné, saura s’effacer le moment venu. Le président actuel, s’il est réélu, en tirera toute la gloire. S’il a un successeur, gageons que celui-ci fera de même. Mais dans l’affaire présente, il en serait tout autrement de la présence de militaires dans la conception de la manœuvre, du moins dans la pensée des dirigeants. Ils préfèreront se priver de compétences que de risquer d’écorner davantage leur image.

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Traitement Covid-19 : ne perdons plus de temps ! (pétition)

Nous vivons une crise sanitaire mondiale d’une grande ampleur et notre pays est fortement frappé par la vague épidémique de Covid-19.

Chaque jour, nous déplorons de nombreux décès. Contre cette maladie, nous ne disposons ni de vaccins, ni de traitement antiviral même si les données scientifiques actuelles sont parcellaires et discordantes.

Des données chinoises récentes ont suggéré l’efficacité de la chloroquine ou de l’hydroxychloroquine au laboratoire et chez les malades. Une étude publiée par Chen et coll. (Efficacy of hydroxychloroquine in patients with Covid-19 : results of a randomized clinical trial) montre l’efficacité de l’hydroxychloroquine chez les malades atteints par le Covid-19 souffrant de pneumonie moyennement sévère ; les quelques patients qui se sont aggravés ne recevaient pas le traitement.

Des cartes publiées par Santé Publique France montrent un taux de mortalité chez les personnes hospitalisées beaucoup plus faible à Marseille que dans le reste du territoire.

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Covid : combien de morts inutiles (et comment je me suis guéri avec l’hydroxychloroquine) ?! (Anthropo-logiques)

[Note de l’administrateur de ce blog : oui, nous sommes en guerre. Mais pas contre un coronavirus.]


par Jean-Dominique Michel, MSc anthropologie médicale et expert en santé publique, Genève.

Je me demande souvent ce que les gens comprennent réellement de ce qui est en train de se passer. En ce qui me concerne, c’est évidemment un peu différent puisque cela fait depuis plus de trente ans que mon métier consiste à décoder la recherche et les pratiques médicales.

Ces deux dernières semaines, j’ai écrit article après article sur le Covid. Le plus apprécié d’entre eux a été lu par près d’un million de personnes en Suisse et en France, devenant l’article le plus consulté de toute l’histoire des blogs de Mediapart. J’ai rédigé un appel à M. Alain Berset et à M. Mauro Poggia, respectivement Conseiller fédéral et Conseiller d’État genevois, tous deux en charge de la santé. Appel relayé par deux mille personnes. En vain.

Mais que savent et comprennent réellement mes contemporains de cette réalité plus choquante que tout ce que j’ai connu en trente ans de carrière – et croyez-moi, j’en ai vu ?! En France comme en Suisse, les autorités politiques et sanitaires ont aujourd’hui du sang sur les mains, avec en l’occurrence des centaines de morts sur la conscience. Des personnes qui ne seraient pour la quasi-totalité d’entre elles pas mortes si on les avait traitées à temps. Au lieu de les laisser atteindre des états désespérés, ceci alors même que nous disposons d’un traitement efficace, sans danger lorsqu’il donné par un médecin, qui fait baisser la charge virale en quelques jours.

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Symphonie confinée – La tendresse (Valentin Vander)

[Note de l’administrateur de ce blog : un peu de tendresse dans ce monde gouverné par des brutes et des criminels, histoire de reprendre des forces avant la lutte finale. Chanson originale de Noël Roux et Hubert Giraud, initialement interprétée par Bourvil (1963) puis Marie Laforêt (1964).]


Comment la France se prive de 150 000 à 300 000 tests par semaine (Le Point)

[Note de l’administrateur de ce blog : si même la presse “de grand chemin” se met à dézinguer ce gouvernement, où va-t-on ma brave dame ?]


Les biologistes médicaux sont des gens polis. Lorsque Le Point les a contactés il y a 10 jours, ils ont hésité à parler. « Nous sommes en contact avec le gouvernement, la situation va forcément se débloquer… » Et puis ? Et puis rien. Silence radio. Un silence « incompréhensible », pour plusieurs des directeurs de laboratoires départementaux que Le Point a entendus. Les Français les connaissent mal, mais ils sont un rouage essentiel de notre système de santé. Implantés sur tout le territoire, 75 laboratoires publics (et leurs 4 500 employés) dépendent des départements, et assument la lourde tâche d’effectuer les analyses de contrôle des eaux, d’hygiène alimentaire ou de santé animale. Contrairement aux laboratoires de santé humaine, qui ne traitent ordinairement qu’un faible nombre d’analyses, ils sont dimensionnés pour travailler « par troupeaux », à la chaîne : pendant les crises de la vache folle ou de la peste aviaire, ils ont réalisé des dizaines de milliers de tests… par jour ! Et justement : c’est cette spécificité qu’ils pensaient que le gouvernement prendrait en compte. « Les laboratoires de biologie humaine, qui réalisent les tests aujourd’hui, travaillent avec des machines très performantes, mais » fermées, « c’est-à-dire conçues pour ne travailler qu’avec un seul type de réactifs », décrypte Philippe Nicollet, directeur du laboratoire départemental de l’environnement et de l’alimentation de Vendée.

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Chloroquine : l’appel urgent d’un groupe de médecins
(Dr. Ménat)

Le 26 mars, le gouvernement a INTERDIT aux médecins de terrain de prescrire aux malades le médicament le plus prometteur contre le coronavirus.

Des médecins se révoltent et vous demandent d’agir vite – regardez cet appel et mobilisez-vous !

Pour ceux qui préfèrent lire un texte plutôt que regarder une vidéo, c’est ici.

Géopolitique du coronavirus – entretien avec
Valérie Bugault (Strategika)

[Note de l’administrateur de ce blog : il s’agit là d’un article des plus importants pour comprendre ce qui se joue au-delà de la panique savamment entretenue, entre autres par les freins criminels mis au dépistage et au traitement de la maladie par des “gouverne-et-ment” qui ont jeté pratiquement tous leurs masques.

Cette crise sanitaire aura au moins cette vertu : dessiller les yeux des plus incrédules pour les forcer à voir la véritable nature de leurs “démocraties”. Tout reste à faire, et il n’y a pas d’autre choix que de s’en réjouir si l’on pense avoir quelque responsabilité envers les générations futures. Et c’est tout de même une perspective plus exaltante que d’obéir aux injonctions hystériques d’une ado suédoise pas finie.]


Au cœur d’une crise mondiale inédite par son ampleur, Strategika vous propose l’éclairage d’analystes et de penseurs reconnus dans leur domaine d’expertise. Nous avons posé à chacun une série de questions qui portent sur les différents aspects de cette véritable crise de civilisation ainsi que sur ses répercussions politiques, géopolitiques et sociales.

La première à nous répondre est Valérie Bugault.

Valérie Bugault est docteur en droit privé de l’université Panthéon-Sorbonne et avocate. Depuis 2009, elle a cessé ses activités d’avocate pour se consacrer à la diffusion auprès du public du résultat de ses nombreux travaux de recherches. Elle est aujourd’hui analyste de géopolitique (économique, juridique et monétaire) et conférencière. Ses sujets de recherche sont les institutions – nationales et internationales – la monnaie, l’entreprise, le droit et le fonctionnement de l’économie globale.
Elle est auteur de quatre livres, récemment publiés aux éditions Sigest :
– « Du nouvel esprit des lois et de la monnaie », co-écrit avec feu Jean Rémy, publié en juin 2017
– « La nouvelle entreprise », publié en juillet 2018
– « Les raisons cachées du désordre mondial », recueil d’articles, publié le 30 mars 2019
– « Demain dès l’aube… le renouveau », publié en septembre 2019

 

Strategika – On lit beaucoup d’éléments contradictoires selon les différentes sources d’information disponibles ou selon les avis des professionnels de la santé. Quelle est la réalité effective de cette pandémie selon vous ?

VB : Comme le dit très bien notre ami Lucien Cerise, il faut distinguer entre la réalité sensible dans le monde réel et la narration des faits qui est diffusée.

Voici, textuellement, ce qu’il dit :

« En France, et plus largement en Occident, la crise sanitaire du coronavirus présente un cas pratique d’ingénierie sociale et de gouvernance par le chaos. Nous retrouvons la même structure qu’avec la « menace terroriste » : un mélange de réel et de fiction, combiné à deux stratagèmes bien connus qui sont 1) le pompier pyromane et 2) le triangle de Karpman. Sur le mélange réel/fiction, souligné dans son dernier livre par le professeur Raoult – qui se fait le disciple occasionnel de Jean Baudrillard : les partisans du « tout réel » ont tort, les partisans du « tout fiction » ont tort. Exemple : ce n’est pas parce que la « version officielle » de la crise coronavirus est fausse qu’il n’y a pas d’épidémie ; de même, ce n’est pas parce que la « version officielle » des attentats terroristes est fausse que les attentats n’ont pas lieu. Des événements ont lieu, et c’est la narration explicative qui est fausse, pas les événements en eux-mêmes. L’analyse de la crise actuelle révèle aussi l’application des techniques du pompier pyromane et du triangle de Karpman, c’est-à-dire le jeu de rôles bourreau/victime/sauveur. Le pouvoir laisse la situation de crise s’installer, voire l’aide à s’installer, volontairement ou involontairement. Dans le réel, le pouvoir occupe donc la place du pyromane, donc du bourreau. Puis, une fois que la crise est installée et en cours, le pouvoir se présente comme le sauveur, qui va donc nous sauver de la crise qu’il a lui-même installée furtivement, tel un pompier qui éteindrait l’incendie après l’avoir lui-même allumé discrètement. »

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La Grande Interview : Philippe Douste-Blazy (RT France)

[Note de l’administrateur de ce blog : la crise du COVID-19 aura au moins une conséquence positive, c’est qu’elle aura permis de faire le tri entre les médecins qui sont d’abord fidèles au serment d’Hippocrate (qu’ils ont tous prêté) et ceux qui sont d’abord fidèles à leurs sources de financement de confort.]


Coronavirus : A New-York, 500 patients guéris par la
chloroquine affirme un médecin (Alnas.fr)

Dr. Zev Zelenko

[Note de l’administrateur de ce blog : rappelons que comme pour tout médicament délivrable sur ordonnance, et même pour les autres, l’automédication est très risquée et peut entraîner des conséquences graves voire fatales. Seul un médecin peut décider du traitement qui convient à un patient… encore faut-il qu’il en ait les moyens, et c’est sur ce sujet qui fâche beaucoup que des comptes devront être rendus par les assassins qui nous gouvernent.

On notera également que le traitement proposé par le Dr. Zelenko est légèrement différent de celui proposé par le Pr. Raoult : un peu moins d’hydroxychloroquine (400 mg au lieu de 600 mg) et du sulfate de zinc en plus.]


Dans l’état de New-York, le Docteur Zev Zelenko a traité avec succès 500 patients atteints d’une infection au coronavirus Covid-19 en utilisant un traitement d’hydroxychloroquine, d’azithromycine et de sulfate de zinc. Face à ces résultats spectaculaires, le Docteur a écrit une lettre ouverte à Donald Trump :

« zéro décès, zéro hospitalisation et aucune intubation »

« Je m’appelle Dr Zev Zelenko et j’exerce la médecine à Monroe, New-York. Au cours des 16 dernières années, j’ai soigné environ 75 % de la population adulte de Kiryas Joel, qui est une ville de 35 000 habitants dans laquelle l’infection s’est propagée rapidement et sans contrôle avant que soient mises en place les mesures de distanciation sociale.

À ce jour, mon équipe a testé environ 200 personnes de cette ville pour Covid-19, et 65 % des résultats ont été positifs. Si l’on extrapole ces chiffres à l’ensemble de la population, cela signifie que plus de 20 000 personnes sont infectées à l’heure actuelle. Dans ce groupe, j’estime qu’il y a 1500 patients qui sont dans la catégorie à haut risque (c’est-à-dire> 60, immunodéprimés ou avec des comorbidités, etc.).

Compte tenu de l’urgence de la situation, j’ai développé le protocole de traitement suivant en milieu préhospitalier et n’ai vu que des résultats positifs.

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Ou retrouver la même information sur Tribunejuive.info →

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