Home » Actualité » Ailleurs » Fondamentaux » Qu’est-ce qu’un “collabo” ?

Qu’est-ce qu’un “collabo” ?

Réponse en images :

En France, le personnage du “collabo” est traditionnellement lié à la période d’occupation nazie de la deuxième guerre mondiale, ce qui a pour effet d’en obscurcir le sens profond.

De même que la science ne se définit pas par son objet ni par sa technique mais par sa méthode (il est possible de faire de la bonne science en étudiant le Saint Suaire avec des moyens artisanaux, et de la très mauvaise en modélisant par éléments finis à l’aide d’ordinateurs la pénétration d’une structure légère et peu résistante dans une autre lourde et plus résistante), le collabo ne se définit pas par le pouvoir avec lequel il collabore (variant au cours de l’histoire) mais par l’esprit qui le fait collaborer, mélange de veulerie, de cupidité et d’absence de sens moral.

3 commentaires sur “Qu’est-ce qu’un “collabo” ?

  1. En Bretagne, le mot “collabo” a radicalement changé de signification.
    Ce pays a été domestiqué de 1789 à nos jours : les Bretons ont été humiliés, dégradés, insultés, acculturés.
    Ils ont été manipulés, y compris dans ce qu’ils ont de plus cher : LEUR IDENTITE.
    Les collabos étaient les patriotes qui se sont tournés vers l’Allemagne en 1940. Non pas par affinité avec le nazisme, les Bretons sont pacifistes, légalistes – ce dont on les a accusés -, mais pour reprendre possession de leurs droits sacrés, nationaux et internationaux.
    Le sujet vous intéresse ?

    Voyez : LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE (par Google).(Téléchargement gratuit; 300 000 personnes l’ont lu).

    L’EXCELLENT SITE “BRETAIGNE BRETAGNE”. (par Google).

    LES INJURES ET LES INSULTES ANTI-BRETONNES (un racisme anti-breton authentique).

    La vérité historique n’est ni de droite ni de gauche. La dire publiquement relève de l’honneur.
    SOYEZ HONNÊTES DANS VOS LECTURES !

  2. LOUIS MELENNEC. Qu’est-ce qu’un “collabo breton? ”

    @@@@@@@@@@@Le présent exposé, quoique bref, a pour ambition de devenir l’article de référence sur l’histoire condensée de la Bretagne : il a été rédigé pour cela, avec un soin tout particulier, c’est à dire intransigeant.

    L’existence et l’avenir des Nations est conditionné par la connaissance de leur histoire, pour les hommes et les femmes qui les composent. Si nous sommes Bretons, c’est parce que nous avons vécu ensemble sur les mêmes territoires pendant deux mille ans pour ceux qui vinrent de l’Ile de Bretagne, pour douze siècles pour ceux qui nous furent rattachés en 851 : les habitants de Nantes, de Rennes, du pays de Retz. Tous les théoriciens de l’écriture de l’histoire le savent, moi plus que les autres : le sentiment national se renforce par la connaissance des malheurs endurés ensemble. Si ces malheurs sont des horreurs, si de surcroit ces horreurs ont été dissimulées par l’Etat tortionnaire, si, plus encore des « nationaux » traîtres – des collabos, selon la terminologie imposée par les jeunes Bretons depuis dix ans – acceptent de couvrir ces obscénités, moyennant finances, alors, à terme, la partie est gagnée. Voila toute l’histoire du Livre Bleu de la Bretagne, qui n’est ni de près ni de loin l’effet d’un hasard, mais le fruit d’une stratégie voulue et pensée depuis plusieurs dizaines d’années. La phase suivante est entre les mains de notre jeunesse : elle punira les complices, qui sont d’ailleurs déjà l’objet d’un mépris général, auquel aucun n’échappe. Après l’affaire de Nantes de 2014, alors que l’affaire Fillon-Pénélope bat son plein, ils savent maintenant ce que valent les leurs, qui trahissent : ils sont pires.

    La France ne peut plus mentir. Les langues font plus que se délier : elles accusent, avec férocité. Personne ne peut plus démentir. Partout, ce furent les mêmes crimes : en Alsace, à Nice, en Savoie, au Pays Basque, au Cameroun …. En Bretagne surtout, très vieille nation fière d’elle même, de sa langue, de sa culture : c’était la plus résistante, la plus pugnace, comme on va le voir. Les atrocités de 1675 et de 1793 comptent, maintenant qu’elles sont dévoilées et connues, parmi les grands crimes de l’humanité.

    Les propos que je tiens ici, étaient jusqu’alors interdits : j’en prends dix fois, cent fois, mille fois la responsabilité . Manque de chance pour les « hystoryens » marxistes de dernière génération, qui peuplent encore nos facultés, car, constituant les jurys, ils se reproduisent eux-mêmes, eux qui ont mérité le surnom fort peu glorieux de négationnistes de l’histoire bretonne : ayant tenté de tout falsifier, ils vont trouver ici un appareil bibliographique considérable, et qui dépasse de loin les ouvrages historiques : chaque phrase renvoie à des preuves irréfutables; non pas seulement à des documents, mais à des livres épais, que j’ai « compactés » pour rendre la lecture de cet « abrégé » facile, sans jamais sacrifier rien d’essentiel, en cette époque où personne ne lit plus rien.

    La honte suprême de la Bretagne : aucun maire, aucun député, aucun sénateur n’a dénoncé ces crimes. Tous, pourtant les connaissent. Ils ont été dissimulés par la France, comme honteux. Mais voila huit ans que le Livre bleu de la Bretagne a été lu en public à Bruxelles, au congrès des nations persécutées, par moi même, et distribué aux congressistes (a); la monstruosité des faits qu’il révèle au public explique qu’il ait été réédité deux fois, qu’il soit recommandé par plus de 30 sites dans le monde, qu’il ait été téléchargé plus de 300 000 fois sur la toile (b). Aucun des sus-nommés n’a cherché à se mettre en rapport avec son auteur. Cette complaisance insensée à l’égard du colonisateur laisse pantois, car ils ont eu huit ans pour le lire, et pour vérifier son absolue véracité : sont ils tous des collabos ? Les jeunes répondront : ils veillent, ils sont indignés (c). Les Bretons s’interrogent : ces hommes et ces femmes qui tirent parti du système sont-ils méprisables à ce point ? …. Tous ces gens là vont recevoir autant de « piqûres de rappel » que nécessaire : notre jeunesse s’y emploie (d); je lui demande d’être strictement intransigeante, lorsque viendra l’heure du châtiment.

    CITATIONS PRELIMINAIRES :

    Bob Lenissart, niçois, article publié dans le Ficanas enchaîné, reproduit par France Inter, l’Invention de la France (e)

    « Le comportement actuel de la « république » française à l’égard des peuples qui sont placés sous son administration (les Basques, les Bretons, les Catalans, les Corses, les Savoisiens et autres Nissarts), cette volonté de décider pour eux et de gérer leur vie au travers du tamis de la culture francilienne, ce jacobinisme exacerbé, cette négation systématique de l’identité des « Patries Charnelles » ne datent pas d’aujourd’hui; ils étaient présents dès l’avènement de cette « république », dont l’idéologie originelle est fondamentalement TOTALITAIRE. Nous avons reçu, de la part de nos amis et frères Bretons, un texte effrayant, qui traite du génocide perpétré par la France dite ” des droits de l’homme ” en Bretagne et en Vendée, tiré du blog de Louis Mélennec, fort intéressant, qui relate les crimes commis par la jeune « république française » et qui sont, en fait, les actes fondateurs de celle-ci. Cette tare originelle, ce refus de la différence, ce mépris pour les autres cultures, a été transmise de génération en génération aux dirigeants DU PAYS OCCUPANT.” (f)

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *