Victoire de Bolsonaro, le “Hitler brésilien” qui adore Israël (Panamza)

[Note de l’administrateur de ce blog : tous les commentateurs horrifiés par l’élection de Bolsonaro vont-ils rappeler quel est le régime politique à qui il voue le plus d’admiration ? Pas sûr… et pourtant les accointances idéologiques entre nazisme et sionisme, aujourd’hui comme hier, sont nombreuses. Pourquoi une telle cécité volontaire de la classe politico-médiatique, si prompte à crier au fascisme et au nazisme, mais qui ne semble pas vouloir faire le boulot jusqu’au bout ?]


Dimanche 28 octobre, le candidat d’extrême droite Jair Bolsonaro (surnommé le “Hilter du Brésil” par le quotidien israélien de gauche Haaretz) a été élu président avec 55,15% des voix.

Dans la plupart des analyses délivrées par la presse écrite et audiovisuelle de France, un élément-clé d’information est régulièrement édulcoré, voire totalement passé sous silence : son allégeance absolue à Israël, régime colonial et suprémaciste.

Dès 2014, durant les sanglants bombardements de Gaza, le député Bolsonaro manifestait déjà aux côtés des Brésiliens les plus sionistes.

Son fils Eduardo (également député) partage la même passion pour Israël -au point de s’afficher (visible à gauche de l’image) avec un tee-shirt siglé “Mossad”.

En 2016, Bolsonaro était en Israël pour être baptisé, selon le rituel chrétien évangélique, dans le fleuve du Jourdain.

En 2017 et 2018, Bolsonaro participait aux célébrations de la création d’Israël.

Récemment, hormis sa double promesse de transférer l’ambassade brésilienne à Jérusalem et fermer l’antenne diplomatique (basée à Brasilia) de l’Autorité palestinienne, Bolsonaro a fait savoir auprès de la chaîne i24news qu’Israël serait le premier pays en visite officielle s’il devenait président.

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Mort de Robert Faurisson :
1) quelques rappels sur les véritables méchants

Résultat visible de la sixième agression (sur dix)
de Robert Faurisson, le 16 septembre 1989.

Robert Faurisson est mort brutalement, ce dimanche 21 octobre, d’une crise cardiaque chez lui, à Vichy. Avant de commenter ultérieurement les réactions médiatiques suite à sa disparition, j’aimerais proposer ici la traduction d’un article paru en anglais d’Amérique le 6 août 2018 sous la plume de Ron Unz, écrivain, homme d’affaires, essayiste et homme politique américain – et accessoirement physicien théoricien de formation, personne n’est parfait.

L’article s’intitule “Pravda américaine : les Juifs et les Nazis” (en version originale : “American Pravda: Jews and Nazis”) et fait partie d’une série d’articles de la collection “Pravda américaine” où l’auteur entreprend de s’attaquer aux grands mensonges médiatiques car il s’agit, selon lui, du premier devoir de tout opposant à l’Establishment. Je ne peux que lui donner raison.

Je lui laisse donc la parole, car il est important de savoir d’où vient celle des donneurs de leçons et moralisateurs professionnels d’aujourd’hui. En espérant que mes lecteurs excuseront l’imperfection de cette traduction rapide, n’ayant pas de visée littéraire mais cherchant simplement à susciter la réflexion à une époque où les cervelles de moineau des twitters (pardon pour les moineaux, il ne s’agit que d’une expression) semblent donner le la de la réflexion philosophique.


Pravda américaine : les Juifs et les Nazis

par Ron Unz, publié le 6 août 2018

Il y a environ 35 ans, j’étais assis dans mon dortoir d’université à lire attentivement le New York Times comme chaque matin lorsque j’ai remarqué un article étonnant sur le nouveau Premier ministre israélien controversé, Yitzhak Shamir.

En ces temps révolus, la Grey Lady [surnom du New York Times, NdT] était une publication uniquement imprimée en noir et blanc, dépourvue des grandes photographies couleur de stars du rap et des longs articles sur les techniques de régime qui occupent une place si importante du contenu des journaux actuels, et elle semblait également bien plus critique dans ses reportages sur le Moyen-Orient. Environ un an plus tôt, le prédécesseur de Shamir, Menahem Begin, avait autorisé son ministre de la Défense, Ariel Sharon, à lui parler d’envahir le Liban et d’assiéger Beyrouth. Le massacre qui a suivi dans les camps de réfugiés de Sabra et de Chatila avait scandalisé le monde et mis en colère le gouvernement américain. Cela a finalement conduit à la démission de Begin, son ministre des Affaires étrangères Shamir prenant sa place.

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La LICRA cherche des réponses… à des questions qu’elle n’a pas l’habitude qu’on lui pose ! (Isadora Duncan)

[Note de l’administrateur de ce blog : j’avais depuis longtemps l’idée d’écrire un article qui se serait intitulé “La vaste arnaque de la lutte contre le racisme et l’antisémitisme”, afin de montrer comment des équipes de Tartuffe, eux-mêmes racistes de niveau olympique et vivant aux crochets de la société française via des subventions injustifiées et les revenus qu’ils tirent de procès où ils se constituent partie civile, osent donner des leçons de vivre-ensemble à un peuple dont le seul crime est de refuser l’injustice et le “deux poids-deux mesures”. Il semble que ce soit inutile tant la LICRA, interrogée avec talent par ce journaliste sous pseudonyme à qui on pardonnera quelques fautes dans les sous-titres, se ridiculise elle-même et montre en quelques minutes sa véritable nature d’agent de propagande sioniste et de pompe à fric pour quelques Pieds nickelés incapables d’exercer une activité productive.

Petit rappel historique : la LICRA est née initialement LICA (Ligue Internationale Contre l’Antisémitisme) en février 1928, suite à l’affaire Petlioura où le révolutionnaire juif Samuel Schwartzbard avait assassiné à Paris le nationaliste ukrainien Symon Petlioura. Afin de faire passer les poursuites légitimes envers cet assassin pour de “l’antisémitisme”, le futur premier président de la LICA, Bernard Lecache, fit une vaste campagne médiatique et fonda la Ligue contre les pogroms, ce qui permit à l’accusé d’être déclaré non coupable… alors même qu’il avait revendiqué l’assassinat de Petlioura. La Ligue contre les pogroms devint la LICA, puis la Ligue Internationale contre le Racisme et l’Antisémitisme en 1932, tout en conservant le sigle LICA (tiens, ça rappelle le CRIF cette manie d’oublier des lettres) ; sans doute pour faire croire à un certain universalisme. Le sigle LICRA est finalement adopté en 1979.]


Opération Zahra France (Le Média pour Tous)

[Note de l’administrateur de ce blog : lutte contre le terrorisme ou lutte par le terrorisme ? Les autorités françaises, et les media de grand chemin à leur botte, ont présenté la perquisition ayant eu lieu au Centre Zahra le 2 octobre, puis la fermeture de ce centre ordonnée le 15 octobre par le préfet du Nord Michel Lalande, comme une “opération antiterroriste”.

Pourtant, n’importe qui peut vérifier que le terrorisme “islamiste” qui a donné naissance à Daech trouve sa source dans le wahhabisme, une secte musulmane sunnite ayant son origine et ses soutiens en Arabie Saoudite et au Qatar, et utilisée depuis bien longtemps comme outil de déstabilisation politique par le monde anglo-américain (voir à ce sujet l’excellent petit livre de Jean-Michel Vernochet, Les Égarés, dont Michel Drac propose ici une fiche de lecture vidéo).

Par ailleurs, n’importe qui peut également vérifier que le chiisme, dont se réclame le centre Zahra, a son centre en Iran (et le financement du centre Zahra par l’Iran n’est un mystère pour personne), un pays constamment diabolisé par la propagande sioniste (voir ici sur le même sujet, la traduction de trois articles parus dans la presse étrangère) alors que l’analyse comparative de textes de responsables sionistes et de chefs religieux iraniens permet de rapidement savoir qui est un fanatique violent et qui ne l’est pas. Et n’importe qui peut également vérifier l’implication de l’Iran, aux côtés de la Russie, dans l’écrasement de Daech en Syrie donc du terrorisme “islamiste” dans ce qu’il a de plus barbare. Implication parfaitement logique puisque “l’État islamique” affirme très clairement son hostilité au chiisme.

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Alain Soral répond à Ardisson, Zemmour, Goldnadel
et Polony (Alimuddin Usmani)

[Note de l’administrateur de ce blog : la raison est universelle, la religion ne l’est pas et personne ne peut donc imposer aux autres la vision du monde issue de sa propre religion (voire de son absence de religion).

C’est peut-être cette simple constatation que certains juifs devraient méditer pour gagner en universalisme et en sagesse, sans quoi leur hubris risque de leur revenir violemment en pleine figure. Et ils pourront alors une fois de plus crier à “l’antisémitisme”.]


Les racines du sionisme chrétien américain 2/2
(le saker francophone)

[Note de l’administrateur de ce blog : seconde partie de l’excellent article de Christopher Pisarenko sur les convergences idéologiques entre les États-Unis et Israël, deux puissances qui, rappelons cette évidence, se sont construites sur la négation des droits, voire de l’existence, de peuples autochtones. Le fanatisme religieux n’en finit pas de faire des victimes, même et surtout à l’ère de la high-tech. On retiendra notamment ce passage :

“Lorsque, au début du XXe siècle, les États-Unis assistèrent à la formation politique de l’État juif naissant par la déclaration Balfour de 1917, une philosophie millénariste distincte se manifesta de nouveau. Les dirigeants évangéliques sont devenus de plus en plus fermes dans leur soutien au peuple juif pour conquérir la Palestine et pour déposséder et même exterminer tous les musulmans parce que, selon eux, les juifs sont le « peuple élu » de Dieu. Les comparaisons ont été facilement faites (alors que de plus en plus de « colons » juifs ont immigré en Palestine) entre ce que les juifs faisaient aux Arabes et ce que les colons américains avaient déjà fait à la population indigène de l’Amérique du Nord.”

Comme le remarque l’auteur, le soutien inconditionnel des États-Unis à Israël ne s’explique pas par un “piratage” total de ses institutions par le lobby juif sioniste américain, et notamment l’AIPAC, même si comme je l’ai déjà signalé certains juifs se vantent d’un tel contrôle – mais il existe des vantards dans tous les groupes humains. La puissance et la nocivité d’un tel lobby existent bel et bien en France – j’en sais quelque chose – où elles heurtent de front les valeurs affichées de la République Française, sa devise et sa laïcité ; mais en comparaison, on peut dire que le “cas américain” est davantage un exemple de synergie qu’un exemple de piratage. Et, selon l’auteur, c’est pire : alors que des juifs antisionistes comme Norman Finkelstein anticipent – et souhaitent – la fin du soutien américain à Israël au fur et à mesure que les atrocités commises par Israël se répandront dans les media, Christopher Pisarenko affirme que le soutien américain à Israël ne prendra jamais fin, et ceci pour des raisons profondément religieuses, qui constituent également la base idéologique de l’attitude impérialiste américaine.

On pourrait peut-être ajouter, l’éternité n’étant jamais un concept pertinent en politique – qu’on songe à ce qu’il advint du “Reich de mille ans” – que ce soutien prendra fin par effondrement de l’un ou de l’autre, ou des deux. Ce qui semble déjà bien entamé, économiquement pour l’un, idéologiquement pour l’autre.

Terminons cette introduction par une anecdote : j’eus un jour affaire à un mormon américain, d’abord sans le savoir. Un ingénieur sorti de la Brigham Young University qui hantait, comme moi, des forums consacrés aux automobiles hybrides et électriques, au tout début des années 2000. Ayant repéré parmi les intervenants ceux dont les connaissances techniques semblaient solides – dont moi-même – il constitua une liste de diffusion restreinte et entreprit de nous faire participer à un projet grandiose qui règlerait les problèmes énergétiques de l’humanité. Naturellement circonspect – je ne vois aucune raison à ce jour de remettre en cause les premier et deuxième principes de la thermodynamique, et toute source d’énergie “miraculeuse” me fait froncer les sourcils – je finis à force de questions par en savoir un peu plus sur l’état de ses “recherches”. Bien entendu, cela ne fonctionnait pas encore tout à fait, mais il s’agissait d’une source d’énergie électrique gratuite et inépuisable. Et dont la première application serait démontrée dans le cadre de son activité professionnelle : fournir les quelques mégawatts nécessaires aux congélateurs à poulets géants d’une chaîne de fast food. Cette association baroque entre technique “de pointe” (voire de science-fiction), religion sectaire et l’une des armes de destruction massive de la santé les plus abouties de la société américaine m’avait, je dois dire, autant amusé qu’inquiété.]


Au cours du dix-neuvième siècle, deux mouvements religieux typiquement américains ont vu le jour : le mormonisme et l’adventisme du septième jour (c’est-à-dire le millénarisme). Une des choses qui ressort vraiment du mormonisme, en particulier dans le contexte de l’interprétation de la prophétie judéo-centrique, est que les premiers mormons (Joseph Smith, Orson Hyde et autres) croyaient fermement qu’il y avait deux « peuples élus » : les juifs et les Américains (ou les « Seconds Israélites »). De même, selon le fondateur du mormonisme, Joseph Smith (1805-1844), il y a deux Jérusalem : la Jérusalem biblique originale située en Palestine, et une Nouvelle Jérusalem qui serait un jour établie en Amérique du Nord. Selon Smith, chaque ville abriterait l’un des deux peuples élus de Dieu ; les Juifs recevraient la vieille Jérusalem et les Américains hériteraient de la nouvelle. Les juifs recevraient le royaume terrestre de Dieu en Palestine, et les chrétiens (c’est-à-dire les protestants, et plus spécifiquement les mormons) hériteraient du royaume spirituel. C’est ainsi que les mormons et leur marque distincte de théologie protestante ont réellement commencé à développer une division théologique bien articulée entre juifs et Américains, contrairement à la division millénariste antérieure entre juifs et chrétiens.

Comme mentionné ci-dessus, l’autre mouvement religieux « américain » par excellence est l’adventisme du septième jour fondé par William Miller (1782-1849). Miller était quelqu’un qui s’intéressait énormément à l’interprétation de la prophétie judéo-centrique, et il a en fait « emprunté » le travail de plusieurs écrivains anglais – et même le système de calendrier des juifs karaïstes – afin de faire avancer ses opinions religieuses et, en particulier, de déterminer la date précise de la Seconde Venue qui devait alors inaugurer le règne millénaire du Christ sur terre. Il a particulièrement incorporé plusieurs des écrits du célèbre « Père de la physique classique », Sir Isaac Newton, qui a lui-même dépensé une quantité prodigieuse d’énergie intellectuelle pour examiner et interpréter les prophéties bibliques afin de déterminer la date exacte de la « fin du monde ».

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Les racines du sionisme chrétien américain 1/2
(le saker francophone)

[Note de l’administrateur de ce blog : si certains juifs américains prétendent contrôler totalement les États-Unis, et si certains lobbies juifs comme l’AIPAC sont incontestablement puissants aux USA – comme le CRIF en France – il ne faut pas pour autant conclure à un “piratage” pur et simple d’un pays entier, qui est même la plus grande puissance militaire du monde, par une fraction ultra-minoritaire de l’humanité ayant récemment colonisé un petit territoire au Moyen-Orient. Adhérer à cette vision d’un “complot juif” revient à donner aux juifs – et même aux seuls juifs sionistes – un pouvoir qu’ils n’ont pas par eux-mêmes.

Thierry Meyssan a déjà rappelé que le sionisme n’est pas seulement une spécialité juive, mais qu’il trouve aussi de fervents défenseurs chez les chrétiens évangéliques, qu’on trouve en grand nombre aux États-Unis. Ici Christopher Pisarenko complète ce point de vue par une analyse plus approfondie des similitudes entre des idéologies qui partagent une vision littérale de la Bible et le sentiment d’être un “peuple élu” ayant une mission divine d’envergure planétaire.

Il est assez amusant de voir des mouvements prétendant défendre la laïcité et les valeurs républicaines, et s’inquiéter des progrès du “modèle anglo-saxon” et du “libéralisme”, tomber en pâmoison devant la ferveur sioniste ou oser parler de la “retenue” d’Israël vis-à-vis des Palestiniens le 17 mai 2018 – mais il est vrai que le site de Riposte Laïque (dont le directeur de publication, Guy Sebag, vit en Israël) est hébergé aux États-Unis et que celui de Résistance Républicaine, très islamo-centré, est dans la droite ligne du “choc des civilisations” cher à Samuel Huntington.

Ce qui confirme que pour manipuler efficacement des populations, il est essentiel d’organiser préalablement leur ignorance et de maintenir leur esprit critique à un niveau aussi proche que possible du zéro absolu. Alors seulement peut-on faire la guerre au nom des droits de l’homme et asservir les peuples au nom de la liberté. Ou défendre le pire des obscurantismes religieux au nom des Lumières et de la laïcité républicaine.]


Bien avant que John Locke ne commence à écrire ses œuvres à la fin du XVIIe siècle qui ont jeté les bases du libéralisme politique dans le monde anglo-saxon (et l’Occident), il existait déjà les opinions religieuses profondément enracinées de Martin Luther et Jean Calvin. Les œuvres de ces deux pères fondateurs du protestantisme ont beaucoup influencé la Weltanschauung spirituelle, culturelle, politique, sociale et économique des Américains, beaucoup plus que tout écrit de Locke ou de l’un des autres philosophes du contrat social des Lumières (par exemple Hobbes, Rousseau, Kant, etc). Cette vision américaine unique du monde, ou plus spécifiquement de sa culture-âme, apparue sur les côtes rocheuses de la Nouvelle Angleterre durant la première moitié du XVIIe siècle, peut en effet être qualifiée de « calviniste » car elle présente de nombreux traits calvinistes tels que l’Éthique protestante, l’individualisme acharné, une obsession pour le concept du peuple élu de Dieu, la croyance en l’exceptionnalisme, une mission mondiale universelle, etc.

Cependant, il existe un catalyseur idéologique spécifique au sein du calvinisme, qui a jeté les bases de la tradition du sionisme chrétien − une tradition qui a fleuri en Amérique du Nord pendant les 400 dernières années et qui prospère aujourd’hui comme jamais auparavant parmi les chrétiens évangéliques, les néoconservateurs et une variété d’autres groupes. Le catalyseur idéologique auquel il est fait allusion est l’interprétation de la prophétie judéo-centrique. Sans ce catalyseur idéologique fondamental fermement implanté (tel qu’il l’était dans la théologie protestante primitive), il est hautement douteux que la doctrine subséquente du sionisme chrétien soit jamais apparue − une doctrine qui a eu une énorme influence non seulement sur la religion et la politique mais aussi sur la culture et l’identité américaines.

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L’anti-CRIF

(à ne pas confondre avec l’Antéchrist)

Face à l’odieuse récupération politique du meurtre de Mireille Knoll par toutes les officines sionistes1 qui ne savent plus comment “prouver” que la France est antisémite, son fils Daniel opposait le 27 mars des mots simples et d’une grande humanité. Qu’il soit chaleureusement remercié pour ces paroles sages et que nos pensées aillent vers lui, comme à tous ceux qui perdent une mère, surtout dans des circonstances aussi atroces.

 

Reconnaître les armes de migration massive
ou légitimer Israël (Andrew Korybko)

Andrew Korybko

[Note de l’administrateur de ce blog : nous voilà au cœur du sujet, ou au pied du mur. Ce qui peut nous emmener très loin. On peut également faire un parallèle avec la création des États-Unis d’Amérique, cette nation artificielle née d’un génocide.]


Un important clivage a vu le jour du fait de la scission opérée au sein de la communauté des résistants, et il porte sur la controverse autour de la pertinence du concept d’« armes de migration de masse » de Kelly M. Greenhill. Cette chercheuse de Harvard a démontré, dans son ouvrage datant de 2010 et qui a le nom de ce concept pour titre, l’existence d’au moins 56 cas d’États générant, provoquant et exploitant sciemment des vagues massives de migrations humaines afin de favoriser leurs politiques respectives. Des observateurs assidus ont d’ailleurs relevé le fait que la crise des migrants actuelle présente de manière flagrante des aspects structurels analogues à cette stratégie.

D’un autre côté, certains « gauchistes anti-impérialistes » autoproclamés ont jeté l’opprobre sur tous ceux qui se risquaient à esquisser un tel « blasphème idéologique » en les qualifiant de « racistes » de « fascistes » de « suprématistes blancs » déclenchant ainsi une infecte zizanie qui a sévèrement clivé un mouvement autrefois soudé. Que ce soit intentionnel ou non, cela se combine parfaitement avec la stratégie américaine de fragilisation des mouvements d’opposition à la politique US par la tactique consistant à en dresser les membres les uns contre les autres. Ce phénomène est illustré par la « chasse aux sorcières » paranoïaque à laquelle s’adonnent ces militants radicaux en « purgeant » leurs rangs des « fascistes » et en condamnant publiquement leur anciens « camarades » sur la toile.

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Et pour désamorcer ces armes sans violence mais par un recours à la raison, voir également : L’immigration et les bonbons.

Le dîner du CRIF (Vincent Lapierre)

[Note de l’administrateur de ce blog : pour compléter ce reportage, comprendre vraiment ce qu’est le CRIF et quelles sont ses méthodes, il est utile de lire la lettre que l’ancien réparateur de chaussures et membre du Betar Francis Kalifat (et accessoirement président de cet organisme) a adressée le 6 février 2017 au président de mon université, pour lui expliquer combien la physique que j’exposais sur mon blog était délirante, et pour lui “conseiller” de se débarrasser de ce collègue, “militant d’extrême droite halluciné dont le cas ressort de la loi Gayssot” selon lui. Lettre à laquelle j’ai en parti répondu ici.

On pourra également visionner la vidéo de la discussion que j’avais l’été dernier avec mon ami François sur la soumission et la lâcheté des institutions universitaires à ce lobby qui n’est même pas représentatif des juifs français, mais seulement d’un pseudo-État étranger : Israël.]


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