C’est parti mon qui-QUI ?! Hors-série :
Le suprémacisme blanc (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : enregistré avant la présidentielle française, ce numéro spécial démontre avec brio les manipulations oligarchiques visant à semer la haine inter-raciale sous couvert de “lutte contre le racisme” et de “progressisme”, et permet de comprendre les apparentes contradictions d’un Occident où des élites soutiennent à la fois la “société ouverte” de Soros et des bataillons à l’idéologie ouvertement nazie en Ukraine.

Comme le dit fort bien Alain Soral à 59:58, “Les suprémacistes blancs sont bien aujourd’hui les pires ennemis de la civilisation blanche, qu’on doit plutôt appeler civilisation européenne, qui est à la fois technicienne et chrétienne, c’est-à-dire rationnelle et chrétienne, ce qui est le contraire de spontanéiste et païenne.”

Et c’est au passage l’occasion de tordre le cou à la propagande mensongère qui fait d’Égalité et Réconciliation une organisation “d’ultra-droite” – il faut quelque chose de plus effrayant que “extrême-droite” – promouvant le racisme et la violence : il ne faudrait surtout pas qu’un peuple à la recherche de solutions au chaos actuel puisse en trouver de pacifiques en comprenant comment il est manipulé !]


L’influence et la fonction du nazisme en Ukraine — Entretien avec Xavier Moreau (Antipresse)

[Note de l’administrateur de ce blog : une réflexion profonde sur la guerre, les media, la civilisation et la responsabilité écrasante des “élites” occidentales dans le soutien à des idéologies nihilistes (terroristes islamistes ailleurs, fanatiques nazis ici)… et dans le déclin de leurs propres pays.

“L’Empire du mensonge” dont parle Poutine est une réalité, mais heureusement, son Stalingrad est proche, et même probablement en cours. Le plus dur sera de reconstruire les psychismes qu’il a pervertis.]


Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens
(Réseau Voltaire)

[Note de l’administrateur de ce blog : cet article est le dixième de la série “Montée des tensions” publiée par Thierry Meyssan à partir du 4 janvier 2022. Même si tous méritent lecture, le numéro 8, “Vladimir Poutine déclare la guerre aux Straussiens”, est d’un intérêt particulier pour approfondir ce problème du nazisme ukrainien, et tordre le cou à l’idée qu’un président juif serait une garantie anti-nazisme.

Les liens d’une certaine “élite” juive avec le nazisme ou d’autres idéologies extrémistes ne sont pas nouveaux, et découlent à la fois d’une certaine proximité idéologique – le sentiment d’appartenir à une “race supérieure” – et de considérations pratiques sur la nécessité de provoquer le chaos au sein des nations pour mieux en prendre le contrôle. J’ai moi-même été traité de fou par le président du CRIF lui-même pour avoir rappelé ce fait – et d’autres faits gênants – sur ce blog, mais l’intervention russe en Ukraine aura au moins le mérite de faire éclater cette vérité-là.

En complément de cet article, la dernière vidéo de Donbass Insider permettra aussi de mesurer l’ampleur des persécutions subies par les civils russophones du Donbass de la part de l’armée ukrainienne, dont les éléments les plus radicaux sont justement utilisés dans cette partie du pays pour mater les séparatistes.]


La présence organisée par l’État de néo-nazis au sein de l’armée ukrainienne n’est pas anecdotique, même s’il n’est pas possible de la quantifier de manière certaine. Il est par contre aisé de dénombrer leurs victimes. Dans l’indifférence générale, ils ont tué 14 000 Ukrainiens en huit ans. Cette situation est l’une des causes de l’intervention militaire russe en Ukraine. Israël se trouve confronté pour la première fois à ce qu’il n’a jamais pu imaginer : le soutien de son protecteur US à son ennemi historique, le nazisme.

Israël est confronté à un problème inattendu face à la crise ukrainienne : est-il exact, comme le prétend Moscou, que le pays est aux mains d’une « bande de néo-nazis » financée par des juifs ukrainiens et états-uniens ? Si oui, c’est un devoir moral pour Tel-Aviv de clarifier sa position sur les juifs qui soutiennent des nazis, indépendamment de toute prise de position sur la crise ukrainienne.

La question est d’autant plus cruelle que les quelques juifs états-uniens qui soutiennent ou instrumentent les groupes nazis ukrainiens sont un groupuscule d’une petite centaine de personnes, les straussiens, aujourd’hui au pouvoir dans l’entourage immédiat du président Joe Biden.

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Résumé de la situation en Ukraine

Si les media de grand chemin avaient pour rôle d’informer la population, ils pourraient, comme l’a fait François Asselineau dans cette vidéo de 46 minutes, exposer le contexte géographique et historique qui a conduit la Russie à attaquer l’Ukraine, après de longues années de provocations “occidentales”.

Mais pour ceux qui n’ont pas trois quarts d’heure à consacrer au problème – même si c’est peu par rapport à l’enjeu – de multiples sources “citoyennes” réalisent parfois d’excellents résumés sur les réseaux sociaux. Par exemple ici, en anglais, un certain Ricardo Alvarez Minera permet aux novices de comprendre en quelques lignes pourquoi nous en sommes là. Je traduis ci-dessous son commentaire.

1) Les forces ukrainiennes aux relents néo-nazis, d’origine putschiste, assassinent quotidiennement la population d’origine russe dans le Donbass depuis 2014 ; le monde occidental, l’ONU et les médias traditionnels n’en disent rien.

2) La Russie demande des garanties juridiques, zéro réponse.

3) L’OTAN, les USA et l’UE financent l’Ukraine en toute impunité, et l’ONU se tait.

4) La Russie demande à l’Ukraine de s’engager à respecter les protocoles de Minsk 1 et 2, et d’arrêter d’attaquer les Russes dans le Donbass ; l’Ukraine l’ignore et la France et l’Allemagne restent silencieuses.

5) La Russie demande que l’OTAN ne s’étende pas à ses frontières, et qu’elle ne s’étende ni à l’Ukraine ni à la Géorgie. L’Europe répond que ces pays ont tout à fait le droit de faire ce qu’ils veulent. Ils ne répondent pas aux garanties juridiques que la Russie a convenues avec les États-Unis au début des années 1990.

6) Les États-Unis, tout en envoyant plus de 300 tonnes d’armes à longue portée à l’Ukraine et des milliards de dollars aux forces armées ukrainiennes, menacent constamment la Russie de sanctions.

7) En 2020 et 2021, une résolution condamnant le nazisme, le néonazisme et le fascisme sous toutes ses formes a été adoptée à l’ONU. Les États-Unis et l’Ukraine ont voté contre. La quasi-totalité de l’Europe s’est abstenue. L’ONU est restée silencieuse.

En conclusion, ils ont fermé toutes les options diplomatiques à la Russie, ignoré toutes ses demandes légales et oublié les civils russophones du Donbass. Maintenant que Poutine prend les choses en main et les met devant le fait accompli, ils sont choqués. L’Occident a un biais russophobe.

 

C’était difficile à faire, de la part de journalistes dont c’est le métier de consulter des archives et de vérifier des informations ? Non. Si ce n’est pas fait, c’est que le but des media de grand chemin n’est pas d’informer, mais de relayer une propagande. Pour la crise “sanitaire” comme en temps de guerre. CQFD.

Censure, covidisme et nazisme (Michel Weber)

[Note de l’administrateur de ce blog : prenons un peu de hauteur avec Michel Weber, philosophe belge attaché à une conception pratique, très ancrée dans le réel, de la philosophie. C’est-à-dire à des années-lumière des discussions absconses des philosophes de salon et surtout des “philosophes” médiatiques.

Le texte que je reproduis ici peut être téléchargé sur Academia. Remarque : l’interlocuteur de Confucius appelé Tzeu Lou est selon toute vraisemblance celui que l’on connaît plus fréquemment en français sous le nom de Lao Tseu (et dont on ne sait pas vraiment s’il s’agit d’un personnage réel ou d’un mythe).]


Tzeu Lou dit : « Si le prince de Wei vous attendait pour régler avec vous les affaires publiques, à quoi donneriez-vous votre premier soin ? — À rendre à chaque chose son vrai nom », répondit le Maître. (Confucius, Entretiens, XIII.3)

La censure qu’il s’agit de contextualiser ici est définie par Le Robert (1979) comme « l’autorisation préalable donnée par un gouvernement aux publications, aux spectacles ». Cette acception politique est, bien sûr, loin d’être la seule, comme en témoigne sa longue histoire, qui est religieuse (le combat contre les hérésies…), politique (la subversion de l’anarchie…), morale (la lutte contre la pornographie…), et militaire (la gestion de la désinformation en temps de guerre…). Sade, par exemple, a pu bénéficier de la censure de la Monarchie et de la République car il transgressait à la fois les ordres religieux, politique et moral.

Nous allons voir que le covidisme active toutes ces dimensions à la fois. Qu’est-ce que le covidisme ? Une version très particulière du scientisme, c’est-à-dire de l’idéologie selon laquelle la science, et elle seule, vaincra les Ténèbres. Comme si la question de l’obscurantisme religieux n’était déjà pas très embarrassante, le scientiste, précisément sous le couvert de lutter contre toute forme de sectarisme, d’obscurantisme et de superstition, crée une religion dont le pouvoir de nuisance a maintenant clairement dépassé celui des trois monothéismes réunis…

Cette religion postmoderne gagne du reste à être examinée à la lumière des caractéristiques historiques du nazisme. C’est dire la puissance de la vague qui cherche à submerger la société civile, comme on commence à le voir en France avec l’instauration d’une nouvelle forme d’apartheid.

Suivons donc le juste conseil de Confucius et rectifions les termes qui doivent l’être.

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Les racines du mal – entretien avec Vera Sharav
(traduction Humain Souverain)

[Note de l’administrateur de ce blog : j’ai préféré reprendre le titre de la vidéo originale (Die Wurzeln des Übels) en le traduisant en français plutôt que celui de la version française doublée et sous-titrée.

En raison de lois qui ôtent à la science ses outils de base que sont la libre discussion et l’argumentation logique – c’est parce que chacun est libre de dire que la Terre est plate que la démonstration qu’elle est ronde a une valeur – les événements de la seconde guerre mondiale sont encore aujourd’hui en France mal connus, mais l’eugénisme et les expérimentations médicales des nazis dont parle Vera Sharav ne font aucun doute, et engendrèrent le Code de Nuremberg dont certains – dont des auto-proclamés “vérificateurs” qui devront tôt ou tard répondre de leur désinformation – aimeraient bien se débarrasser aujourd’hui.

On notera quelques erreurs mineures de traduction, comme “physician” traduit par “physicien” alors qu’il s’agit de médecin (physicien se traduisant par physicist en anglais) ou encore “phylanthrope” au lieu de philanthrope. C’est évidemment insignifiant par rapport à l’utilité de ce travail de traduction bénévole qui devrait faire rougir de honte les journalistes qui n’en parlent pas.]


L’horreur eugéniste nazie de retour dans les allées
du pouvoir macronien ? (UPR)

[Note de l’administrateur de ce blog : cet article date du 7 août 2019, mais reste d’une brûlante actualité.

Le transhumaniste auquel Laurent Alexandre fait souvent référence dans sa présentation – en faisant mine de le critiquer – est Yuval Noah Harari, un historien israélien. Quand on connaît les très fortes ressemblances entre le sionisme et le nazisme, deux idéologies suprémacistes justifiant la domination d’une “race supérieure” sur les autres, on se dit que c’est relativement logique.]


Chirurgien-urologue, transhumaniste convaincu, essayiste et entrepreneur français, cofondateur avec Claude Malhuret du site web Doctissimo (qu’il a revendu 139 millions d’euros, dont la moitié pour lui), Laurent Alexandre est un influent soutien de Macron et un proche de Jacques Attali et d’Alain Madelin.

Membre du Siècle, chroniqueur au Monde, à l’Express et au Huffington Post, il possède 28 % du journal la Tribune.

Lors d’une conférence en janvier 2019 devant les élèves de l’école Polytechnique, cet homme, influent dans les allées du pouvoir et dans les médias, a carrément affirmé que les Gilets jaunes sont des « INUTILES », des êtres intellectuellement inférieurs, incapables de comprendre les enjeux du monde actuel.

Avec un ton de prédicateur d’Apocalypse, il a affirmé en même temps que les élèves des grandes écoles – dont les jeunes polytechniciens venus l’écouter – sont des « DIEUX », qui ont vocation à diriger les masses et à les guider vers la rationalité du XXIe siècle.

Il a également annoncé que les Gilets jaunes verraient leur niveau de vie continuer à baisser année après année tandis que les “élites” de ce “nouveau monde” allaient gagner des rémunérations de plus en plus colossales.

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“Un livre qui contribue à porter un jugement favorable à l’idéologie nazie” : les motivations du tribunal de Bobigny pour interdire Combat pour Berlin (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : s’il est assez connu que la “justice française” n’est ni très juste ni très française, mais sous l’influence de lobbies étrangers, il est sans doute moins su qu’elle possède de vrais talents comiques. Ainsi, elle entend interdire la publication du Combat pour Berlin de Joseph Goebbels par les éditions Kontre Kulture (alors qu’il a déjà été maintes fois édité) au motif que l’ouvrage présenterait l’idéologie nazie sous un jour très favorable. Heureusement que le tribunal de Bobigny est là pour nous faire de telles révélations historiques.]


Le vendredi 3 juillet 2020, la LICRA a obtenu du juge des référés de Bobigny l’interdiction de l’ouvrage Combat pour Berlin de Joseph Goebbels édité par Kontre Kulture en 2018. Pour l’information du plus grand nombre, nous mettons à disposition du public l’ordonnance de référé prononcée par le tribunal judiciaire de Bobigny à propos de cette affaire. Une ordonnance qui suggère que tout texte historique émanant du Troisième Reich est désormais menacé d’interdiction en France…

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Quelques rappels

Médaille commémorative de la coopération entre sionistes et nazis, frappée en 1934 pour le journal de Goebbels der Angriff.

Médaille commémorative de la coopération entre sionistes et
nazis, frappée en 1934 pour le journal de Goebbels der Angriff.

Après l’assassinat ciblé du général iranien Qassem Soleimani en Irak par un raid du Pentagone, il m’a semblé utile de citer deux passages d’un livre dont je recommande la lecture (voir en fin d’article lequel). Tout ce qui suit est vérifiable, sourcé, et ne saurait être qualifié de rumeurs ou de fantaisies “complotistes”. Les bibliothèques c’est bien, mais à condition d’en profiter pour lire leurs livres… ce que peu de monde fait, d’où un écart grandissant entre un discours ambiant hors-sol entretenu par quelques-uns au profit d’une minorité et l’état réel du savoir, quel que soit le domaine. C’est particulièrement vrai en histoire, outil politique par excellence… et sans même aller chercher des ouvrages de bibliothèque universitaire.

Voici le premier passage :

Parce qu’il a fondé officiellement un “État juif” qui traite ses non-juifs comme des citoyens de second rang et interdit les mariages interethniques, le sionisme a été qualifié de “forme de racisme et de discrimination raciale” par la Résolution 3379 de l’Assemblée générale des Nations Unies en 1975 (révoquée en 1991). Israël est un État ségrégationniste, qui a d’ailleurs établi avec l’État d’apartheid d’Afrique du Sud, en violation du boycott par le reste de la communauté internationale, une coopération économique et militaire dénoncée également par les Nations Unies en 1973 (Résolution 3151) ; cette coopération incluait des recherches sur des armes bactériologiques “ethno-spécifiques” destinées à contaminer sélectivement les populations indésirables, menées conjointement par le Project Coast en Afrique du Sud (sous la direction du fameux Docteur Wouter Basson) et par l’Institut de Recherche Biologique fondé en 1952 en Israël sous le contrôle du ministère de la Défense1. La recherche d’armes bactériologiques capables de contaminer les Arabes en épargnant les Juifs a été poursuivie jusqu’à la fin des années 1990, et sans doute au-delà, comme l’a révélé le Sunday Times en 19982. Souvenons-nous qu’à l’époque, Israël alertait le monde entier sur le danger imaginaire des armes chimiques et bactériologiques de Saddam Hussein.

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Quel avenir pour l’ukronazisme ? (stratpol)

[Note de l’administrateur de ce blog : ceux qui pensent être informés par les media de grand chemin peuvent avoir du mal à comprendre ce qui suit. En effet, il est difficile d’admettre que l’Union Européenne, si prompte à donner des leçons de démocratie au monde entier, a favorisé, sous la tutelle des USA et de Victoria “fuck UE” Nuland, l’arrivée au pouvoir d’authentiques nostalgiques du nazisme en Ukraine, comme il est difficile d’admettre que le chasseur de faux nazis BHL a validé ce coup d’État en assurant n’avoir vu aucun néo-nazi en Ukraine – alors qu’ils défilaient devant ses yeux, drapeaux au vent (voir à 4:31).

Il est également difficile d’admettre, pour quiconque ne connaît pas les liens étroits entre sionisme et nazisme, que ces mêmes bataillons néo-nazis furent financés par un oligarque juif ukrainien (Igor Kolomoïski) et, plus généralement, furent soutenus par une partie de “l’élite” juive comme le grand rabbin d’Ukraine (voir à partir de 8:20). Il est également difficile à concevoir que Andriy Paroubiy, le fondateur et idéologue du parti néo-nazi devenu “Svoboda”, ait pu être président de la Rada (le parlement ukrainien) jusqu’en août 2019, et reçu avec les honneurs par François de Rugy (voir à 8:11).

Tous ces paradoxes sont sans doute le signe qu’il est nécessaire, pour arriver à comprendre le monde tel qu’il est, de se méfier comme de la peste des “grands” media.]


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