Pour ceux qui ne comprennent pas encore à quoi
(et surtout à qui) sert la “pandémie”…

[Note de l’administrateur de ce blog : et pour ceux qui n’ont pas encore compris que le véritable gouvernement se trouve ailleurs. Français, il est temps de se réveiller !]


Le Figaro titre : “Entre le Mossad et les Français, des relations étroites et tendues” (E&R)

[Note de l’administrateur de ce blog : à force de prendre les gens pour des imbéciles, on les pousse à réfléchir par eux-mêmes. C’est plus ou moins rapide selon les individus, mais c’est inévitable. La logique est un bien commun à l’ensemble de l’humanité, elle n’est pas réservée à quelques-uns. Avis à ceux qui croient pouvoir anesthésier la révolte populaire avec des mesurettes dignes d’une semaine commerciale.

Puisqu’il est ici question de Nicolas Sarkozy, rappelons que celui qui fut président de la République Française du 16 mai 2007 au 15 mai 2012 fut aussi, en conséquence, le principal “bénéficiaire” de l’accident vasculaire cérébral de son prédécesseur Jacques Chirac, survenu le 2 septembre 2005 alors que Nicolas Sarkozy occupait les fonctions de Ministre d’État, ministre de l’Intérieur et de l’Aménagement du territoire.

L’article ne le précise pas mais il est également utile de rappeler, c’est à la fin du quinquennat d’un Jacques Chirac physiquement affaibli, et quelques mois avant le début de la présidence Sarkozy, que la loi constitutionnelle n°2007-238 du 23 Février 2007 modifia l’article 68 de la Constitution afin qu’y soit retirée l’incrimination de “haute trahison” pour le chef de l’État. Ce même article 68 avait déjà été “toiletté” le 27 juillet 1993, sous la présidence de François Mitterrand et quelques mois après la signature du traité de Maastricht, pour y enlever la notion de “complot contre la sûreté de l’État”. Voir par exemple ici pour plus de détails.

Ah bon ? On croyait encore aux complots jusqu’en 1993 ? Quelle drôle d’époque !]


« Depuis Nicolas Sarkozy, les services secrets israéliens ont opéré un rapprochement avec les autorités françaises, contribuant à déjouer plusieurs tentatives d’attentat. Mais la méfiance reste de mise. »


En pleine réactivation des attentats dirigés contre le peuple de France, dont l’ennemi n’est pas en lui mais bien au-dessus de lui, Le Figaro sort un article étrange à la gloire du Mossad, un des premiers producteurs de terrorisme au monde. On y apprend que le service de renseignement israélien a aidé nos services à déjouer plein d’attentats. Le journal ne dit pas s’il a aidé nos services à en fomenter d’autres ou si ce service étranger a doublé le nôtre en quelques sanglantes occasions.

Le journal qui a retourné très récemment sa veste contre les Gilets jaunes (avec une avalanche d’articles négatifs) revient sur l’historique des relations de la France avec Israël à travers les infiltrations du Mossad dans notre renseignement, et dans notre renseignement militaire mais ça, Le Figaro ne le dit pas : il se borne à évoquer les relations houleuses de De Gaulle avec ces infiltrés après la guerre d’Algérie.

Personne n’ignore que c’est Sarkozy qui a remis le Mossad en selle par le truchement de Squarcini, qui est allé « voir » le patron israélien Meïr Dagan. Cette collaboration a imbriqué les deux services mais a nui à l’image d’indépendance de la France qui a perdu tout crédit au Proche-Orient. Sarkozy a aussi réintégré la France dans l’OTAN sans nous demander notre avis : c’est le privilège des présidents qui font un peu ce qu’ils veulent, dans le dos de leur peuple.

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Entretien d’actualité n°36 du 23/11/2016 (UPR)

[Note de l’administrateur de ce blog : ne pas rater l’analyse faite par F. Asselineau des modifications de l’article 68 de notre Constitution, en 1993 et 2007. Et pour ceux qui n’ont pas encore compris pourquoi ils ne voient pas plus souvent (ou même pourquoi ils ne voient jamais) François Asselineau dans les “grands” media, cette très courte vidéo (38 secondes) apportera une réponse.]

Le sommaire de l’émission pourra être consulté sur cette page.

Attentat de Nice : la justice demande à la mairie de supprimer 24 heures de bandes de vidéosurveillance (UPR)

Une-camera-de-surveillance-sur-le-front-de-mer-a-Nice[Note de l’administrateur de ce blog : la Haute Trahison, en direct, en couleurs et en Cinémascope®.]

La justice demande l’effacement de tous les enregistrements des 6 caméras de surveillance de la promenade des Anglais le soir de la tuerie de Nice.

Une réquisition judiciaire urgente a été envoyée au centre de supervision urbain de Nice le mercredi 20 juillet et a été reçue ce 21 juillet 2016.

Par cette réquisition judiciaire, la sous-direction antiterroriste (SDAT) du ministère de l’intérieur demande aux agents qui gèrent la vidéosurveillance de la ville de « PROCÉDER À L’EFFACEMENT COMPLET » de 24 heures d’images provenant de six caméras nommées et numérotées, mais aussi de toutes les scènes depuis le début de l’attentat ayant eu lieu sur la promenade des Anglais, dans la nuit du 14 juillet.

Cette demande est tellement inhabituelle que la mairie de Nice a transmis le scan au Figaro qui révèle cette nouvelle affaire.

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Comme le rapporte le journal, « C’est la première fois que l’on nous demande de détruire des preuves, précise une source proche du dossier.»

Continuer la lecture sur le site de l’Union Populaire Républicaine ⟶

Voir également, sur le site de l’UPR :

La ville de Nice refuse d’effacer les images de vidéosurveillance du 14 juillet et demande leur mise sous séquestre