Catherine Austin Fitts : “Les passeports vaccinaux
sont la fin de la liberté humaine en Occident.”

Selon Wikipédia (version anglo-américaine), “Catherine Austin Fitts (née le 24 décembre 1950) est une banquière d’affaires américaine et une ancienne fonctionnaire qui a été directrice générale de Dillon, Read & Co. et, pendant la présidence de George H. W. Bush, secrétaire adjointe au logement et au développement urbain des États-Unis.”

Elle y est aussi présentée comme défendant des “théories du complot”… vous n’espériez quand même pas que Wikipédia vous guide objectivement pour comprendre dans quel monde nous vivons, j’espère ? Il est vain d’y chercher autre chose que le plus petit dénominateur commun de la connaissance.

Vu sa carrière passée1, Catherine Austin Fitts n’est donc pas à proprement parler une farfelue ni quelqu’un qui méconnaît le milieu bancaire, et ce qu’elle a dit aux Suisses sur la “crise COVID” dans une conférence de presse le 12 novembre dernier pourrait bien être, même si cela ne dure qu’à peine 5 minutes, plus important que tous les discours scientifiques sur la maladie, l’efficacité des “vaccins” ou leur dangerosité. Car une fois que l’on a compris cela, on peut travailler sereinement pour comprendre le reste, en voyant “derrière” ou “à travers” l’écran de fumée qui nous est présenté sous forme de lois contraignantes.

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Mise en perspective

Beaucoup de gens se demandent ce qui se passe réellement aux États-Unis depuis cette élection présidentielle très particulière de novembre 2020. Laissons de côté l’interprétation canonique des mass media, selon lesquels il est tout à fait normal qu’un vieillard ne sachant plus où il habite et n’ayant même pas fait campagne établisse un nouveau record de voix en sa faveur. Ces media font partie du problème ; on ne demande pas à un ivrogne de donner des conseils en matière de sobriété.

C’est plutôt en allant glaner des messages sur les media sociaux “alternatifs”, comme Telegram, qui connaît une ascension fulgurante grâce à la censure brutale opérée par twitter envers tous les “mal-pensants”, qu’on rencontre parfois de petits résumés éclairants – même si l’on peut  aussi  souvent tomber sur n’importe quoi. L’esprit critique est aussi indispensable pour s’aventurer dans l’information “libre” qu’une bonne carte pour randonner en montagne et en territoire inconnu.

Un des avocats médiatiques de Donald Trump, Rudy Giuliani, a le 30 janvier transféré un message du compte “Drain The Swamp News” (lisible ici sur un navigateur), que je traduis ci-dessous. Il a l’avantage de donner une cohérence à un ensemble de phénomènes en apparence déconnectés ou illogiques, et en particulier les réactions simultanées et rivalisant d’inefficacité d’un grand nombre de pays, pourtant “riches” et “techniquement avancés”, face à la “pandémie” de COVID-19 – dont Didier Raoult a récemment rappelé qu’elle n’avait, en France, causé aucune surmortalité chez les moins de 65 ans. Même si je n’ai pas vérifié le détail des arguments relayés par Giuliani – et notamment les influences respectives des différentes familles citées dans la Réserve Fédérale américaine1 et la Banque des Règlements Internationaux – la vue d’ensemble proposée me semble qualitativement correcte et cohérente.

Bien entendu, cette mise en perspective d’événements mondiaux récents sera taxée de “complotiste” par ceux qui ne pensent plus par eux-mêmes (ou veulent que vous ne pensiez pas par vous-mêmes). Mais qui se soucie encore de ce genre d’argument aujourd’hui ?

——— Début de la traduction ———

Mettons un peu d’ordre et de noms dans le marais de Washington DC. La FED2 est une banque privée. Elle appartient à huit familles. Quatre de ces familles vivent aux États-Unis. Il s’agit de Goldman Sachs, Rockefeller, Lehman et Kuhn Loeb de New York. Les familles étrangères appartenant à la FED sont les Rothschild de Paris et de Londres, les Warburg de Hambourg, les Lazard de Paris et la famille Israel Moses Seif de Rome. 80% de la FED appartient à ces familles.

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Quand Dieudonné dérape

Dieudonné

Quand Dieudonné dérape, vous diront en choeur tous les journalistes d’une presse n’ayant rien retenu de l’affaire Dreyfus (qui dura de 1894 à 1906 et qui vit la quasi-totalité des journaux marteler les preuves de la culpabilité du capitaine), il devient forcément antisémite, puisqu’il a été estampillé comme tel par les milieux autorisés.

Ayant chez moi un coffret de 10 DVD de ses spectacles, ainsi que son film “l’Antisémite”, je n’ai encore pas réussi à trouver une tirade qu’on puisse qualifier d’antisémite, c’est-à-dire hostile aux personnes juives en raison de leur naissance (la critique des religions en général est par contre un passage obligé pour quiconque fait, comme lui, son miel de la bêtise humaine et de la crédulité des masses).

Il est d’ailleurs probable que si c’était le cas, son régisseur et ami Jacky Sigaux, qui participe également à ses spectacles en sa qualité de comédien, arrêterait de le suivre dans cette galère.

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