Prof. Norman Fenton : Les dernières données sur l’efficacité et la sécurité des vaccins au Royaume-Uni

[Note de l’administrateur de ce blog : on le sait depuis longtemps, les statistiques du COVID-19 sont l’objet de multiples manipulations. On a commencé – avant les vaccins – à gonfler énormément le nombre de “décès COVID” en incluant dans la catégorie beaucoup de simples “tests PCR positifs” morts de toute autre chose, et en “oubliant” les avertissements de l’inventeur de la méthode PCR sur les risques de sa mauvaise utilisation.

Maintenant que des vaccins sont disponibles, pour ne pas dire obligatoires, on cherche à en enjoliver les performances et à en minimiser les risques. Il faut donc être très vigilant sur des illusions statistiques qui peuvent être très subtiles, surtout lorsque les populations de vaccinés et non-vaccinés varient rapidement dans le temps, comme l’explique ici le professeur Norman Fenton de la Queen Mary University à Londres.

C’est en évitant au maximum les catégories discutables et manipulables (comme “décès COVID” et “décès hors COVID”, ou même “vacciné” et “non-vacciné”, sachant qu’un vacciné peut être classé “non-vacciné” juste après l’injection) que la vérité finira par éclater. Et elle n’est pas forcément belle à voir.

Les principales planches de la présentation du professeur Fenton sont disponibles ici (en français !). Un grand merci à l’auteur de cette traduction.]


Efficacité de la vaccination :
Il manque plus de la moitié des décès ! (Décoder l’éco)

[Note de l’administrateur de ce blog : clair, net et précis. “Garbage in, garbage out”, comme disent les Yankees.

Il y en a encore pour croire sur parole des menteurs compulsifs multi-récidivistes ? Faudrait peut-être se réveiller un peu, au lieu de se fracasser toujours sur le même obstacle telle la mouche sur la vitre.]


La vérité si je mens !

Je le faisais remarquer très récemment, ce n’est pas parce qu’on vous ment en permanence qu’il faut croire systématiquement le contraire de tout ce qu’on vous dit. C’est bien sûr humain et compréhensible ; il y a même un proverbe pour cela : “chat échaudé craint l’eau froide”. Mais même les menteurs les plus compulsifs arrivent à dire des vérités… et surtout, les plus malins arrivent à tromper sans mentir au sens strict, généralement par omission, car ils sont suffisamment intelligents pour se préserver par tous les moyens des poursuites pénales que certains pourraient leur intenter s’ils mentaient de façon trop directe (il existe quand même des lois pour cela).

Le cas de l’efficacité des “vaccins” anti-COVID – dont je rappelais la définition dans cet article – est assez instructif sur cette façon de mentir tout en disant la vérité. Certains contestent en bloc qu’ils aient une quelconque efficacité, ou prétendent que les chiffres avancés par leurs fabricants sont grossièrement enjolivés ; certes, il est naïf de croire sur parole un dépliant publicitaire quel qu’il soit, et il est parfaitement légitime de se méfier de publications scientifiques sur un produit pharmaceutique qui sont financées par le fabricant même de ce produit.

Mais il faut aussi garder à l’esprit que ces grandes entreprises pharmaceutiques, si elles ont les moyens de corruption gigantesques qu’on leur connaît, ont aussi les moyens d’avoir des services juridiques de haut niveau capables d’orienter finement la communication de l’entreprise afin que les inévitables pertes pour l’entreprise que représentent les procès perdus restent à un niveau minimum – même si ce niveau paraît astronomique pour le commun des mortels, alors qu’il est juste à la mesure des profits bien plus astronomiques encaissés.

Il est donc assez vain de contester toute valeur aux chiffres d’efficacité annoncés, comme s’il s’agissait d’une simple et brutale fraude scientifique intéressée (ça existe, mais ce n’est pas systématique) ; il est plus intelligent, soit de privilégier les chiffres “de la vraie vie” par rapport à ceux des études (on l’a fait, et on le refera, à partir des données anglaises), soit de se poser la question de la signification réelle de chiffres qui, en eux-mêmes, peuvent être justes, tout en induisant totalement en erreur le public visé.

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Ce que le battage publicitaire autour des vaccins contre la Covid ne mentionne pas (Dr Gilbert Berdine via Le saker francophone)

[Note de l’administrateur de ce blog : au cas où ce ne serait pas encore bien clair, les annonces en grande pompe sur l’efficacité des premiers vaccins anti-COVID-19 sont pour l’essentiel basées sur… du vent, car personne n’a jamais affirmé qu’être vacciné comportait moins de risques pour la santé que d’attraper la COVID-19. Sans oublier qu’il restera possible de se faire vacciner et de déclarer néanmoins la maladie.

Or il est maintenant parfaitement clair que la COVID-19 présente très peu de risques de complications graves voire fatales pour les personnes qui ne sont ni très âgées ni porteuses de comorbidités importantes, les Centers for Disease Control américains rappelant que pour seulement 6% des décès comptabilisés “COVID-19” aux USA, aucune autre cause n’est mentionnée.

Il faudrait pourtant commencer par là : primum non nocere, d’abord ne pas nuire.]


Pfizer a récemment annoncé que son vaccin Covid était « efficace » à plus de 90 % pour prévenir la Covid-19. Peu après cette annonce, Moderna annonçait que son vaccin contre la Covid était « efficace » à 94,5 % pour prévenir la Covid-19. Contrairement au vaccin contre la grippe, qui est un vaccin unique, les deux vaccins anti-Covid nécessitent deux injections à trois ou quatre semaines d’intervalle. Hélas, les définitions du terme « efficace » sont cachées vers la fin des deux annonces.

Les deux essais comportent un groupe de traitement qui a reçu le vaccin et un groupe de contrôle qui ne l’a pas reçu. Tous les sujets de l’essai étaient Covid négatifs avant le début de l’essai. L’analyse pour les deux essais a été effectuée lorsqu’un nombre cible de « cas » a été atteint. Les « cas » ont été définis par un test positif de réaction en chaîne de la polymérase (PCR). Il n’y a aucune information sur le nombre de cycle utilisé pour les tests PCR. Il n’y a pas d’information pour préciser si les « cas » présentaient ou non des symptômes. Il n’y a pas d’information sur les hospitalisations ou les décès.

Quoi… vous n’êtes pas encore vacciné contre la grippe ? (Santé Corps Esprit)

[Note de l’administrateur de ce blog : attention, information “antisémite” selon les critères1 en vigueur dans certains cercles de pouvoir. En effet, non content de montrer, références scientifiques à l’appui, que le vaccin contre la grippe est pour l’essentiel une arnaque, Xavier Bazin rappelle que le groupe Sanofi, grand bénéficiaire de la campagne vaccinale (c’est Le Monde qui le dit) est dirigé par Serge Weinberg, un des amis proches d’Emmanuel Macron et “parrain” de celui-ci pour son entrée à la banque Rothschild, où il gagna 2,8 millions d’euros en salaires et bonus, en 3 ans. Soit 78 000 € par mois à la louche (de caviar).]


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Partout où je vais, je reçois le même message : « Vaccinez-vous contre la grippe ! ».

Hier, à la pharmacie, un petit panneau disait : « Faites-vous vacciner ici contre la grippe ! »

Il y a quelques jours, j’ai vu un médecin avec un pin’s fièrement épinglé sur son torse : « Vacciné contre la grippe, pour vous protéger ».

Et je ne parle pas des médias, qui multiplient les titres comme :

« Allô ? Avez-vous pensé à vous faire vacciner contre la grippe » 2

« Le vaccin contre la grippe est un bon investissement » 3

et même, dans le Figaro : « Faut-il rendre obligatoire le vaccin contre la grippe? »

Et pourtant…

Quand vous regardez les études scientifiques, le message est totalement différent !

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