L’Orient « soi-disant » compliqué…
(Général Dominique Delawarde)

[Note de l’administrateur de ce blog : encore un antisémite ! Selon les critères “larges” du lobby pro-israélien, bien sûr… Il est rassurant de voir que, même si le milieu universitaire fait tout son possible pour paraître plus ignorant et stupide qu’il n’est, on trouve quand même de plus en plus de langues qui se délient à propos de l’influence néfaste – pour ne pas dire criminelle – des différents lobbies sionistes de par le monde, et de leur stakhanovisme guerrier.

D’où la nécessité de l’irrationnel pour tenter de contenir la raison qui progresse à grands pas.]


Ce sujet est à la fois très complexe à maîtriser pour l’homme de la rue, mais plus facile à comprendre et à exposer pour celui qui connaît quelques dessous des cartes.

Pour faire simple et aller droit au but, il existe deux grands types de politiques de défense et de diplomatie qui s’opposent clairement au Moyen Orient. Le premier est celui de la coalition occidentale conduite par le trio USA, Royaume-Uni et France qui comprend aussi l’état hébreu et l’Arabie saoudite comme partenaires majeurs. Le second est celui de l’ensemble des pays qui s’opposent à cette «coalition occidentale». Au Moyen-Orient, cet ensemble est conduit aujourd’hui par la Russie, l’Iran et, à un certain degré la Turquie, sous l’œil compréhensif de la Chine. Il comprend aussi, sur le terrain, la Syrie, le Hezbollah, l’Irak et le Yemen (Ansar Allah).

Ces politiques et ces diplomaties sont élaborées par des hommes, chefs d’état bien-sûr, mais aussi et peut-être surtout par leurs entourages, leurs ministres, leurs conseillers, ceux qui contrôlent vraiment les ministères des affaires étrangères et de la défense des pays concernés. Bien comprendre ces politiques, c’est d’abord et avant tout bien connaître les individus qui les ont élaboré. Comment ils ont été élus et/ou qui les a aidé à parvenir aux postes où ils sont. En clair, il faut savoir qui tire vraiment les ficelles et quels sont les objectifs que ces individus recherchent.

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Analyse des relations États-Unis / Russie / Israël (Comité Valmy)

[Note de l’administrateur de ce blog : une très intéressante mise en perspective des relations internationales contemporaines et de l’influence du “lobby qui n’existe pas” mais qui a une responsabilité écrasante dans beaucoup d’événements sanglants, et ceci depuis environ un siècle au moins, par exemple avec la révolution russe de 1917.

Et un signe réconfortant que l’armée française, malgré la pourriture avancée de la classe politique qui la commande, est encore un peu française donc non-alignée sur l’impérialisme américain ou israélien. Et qu’elle peut encore citer Jacob Cohen sans craindre l’accusation infamante (et délirante) d’antisémitisme.

On remarquera également que la meilleure façon de juguler l’opposition, c’est de la contrôler soi-même : voilà pourquoi la ligne de conduite de l’AIPAC aux USA (ou du CRIF et de ses filiales en France) a toujours été de “soutenir” (ou de menacer) indifféremment les deux côtés de l’échiquier politique. Afin de donner l’illusion de la démocratie.]


Général (2S) Dominique DELAWARDE
(Ancien chef du bureau Situation-Renseignement-Guerre Électronique » de l’État major Interarmées de Planification Opérationnelle).

L’étude des relations bilatérales de ces trois pays, pris deux à deux, est très intéressante car ces relations conditionnent et expliquent bon nombre d’événements géopolitiques majeurs qui agitent la planète aujourd’hui.

On connaît les excellentes relations USA-Israël sans en connaître tous les ressorts, les relations très froides teintées d’hostilité entre les USA et la Russie sans en connaître non plus toutes les raisons, mais ce dont on a moins conscience, c’est que ces relations USA-Russie découlent pour une large part des relations Israël-Russie dont le moins qu’on puisse dire est qu’elles sont, malgré les apparences, tout sauf cordiales.

Examinons donc ces relations très particulières Israël-Russie et voyons comment elles conditionnent largement les relations USA-Russie, et pourquoi, malgré la volonté affichée de Trump, ces relations USA-Russie auront beaucoup de difficultés à s’améliorer.

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Le CRIF et le Poisson qui pue

Jean-Frédéric Poisson

Jean-Frédéric Poisson

Voici un cas chimiquement pur de chantage à l’antisémitisme, tel que le CRIF le pratique avec constance et qui, bien entendu, a pour seul effet de faire monter le ressentiment envers la communauté juive, dont la grande majorité n’est pourtant pas du tout alignée sur cette véritable mafia au cœur de la république. Jean-Frédéric Poisson, candidat à la primaire de droite, ne vient en effet que de rappeler ce que tout le monde sait (ou devrait savoir) : que Hillary Clinton n’est qu’un pantin (parfois désarticulé) aux mains des lobbies américains les plus nocifs qui soient, les lobbies bancaire et militaro-industriel, lesquels se recoupent fortement avec le lobby sioniste, notamment l’AIPAC. Lobbies qui ont tous un intérêt à la guerre : peut-être serait-il judicieux de s’en rendre compte pour comprendre la montée des tensions internationales et les plaisanteries de très mauvais goût comme la génération spontanée de l’État “Islamique”.

Mais c’est trop pour le CRIF, qui s’adresse à notre cerveau reptilien en parlant de “propos nauséabonds” et demande une “sanction exemplaire” pour celui qui a osé dire une banalité.

Voir ici les détails de l’affaire sur francetvinfo.

Rafraîchissons donc la mémoire au CRIF et rappelons-lui les propos tenus par le journaliste juif américain Joël Stein en 2008 :

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Le fanatisme religieux est un élément essentiel du soutien étatsunien pour Israël (Arrêt sur Info)

AIPAC convention, Washington

AIPAC convention, Washington, 2013

Un nouveau sondage de Bloomberg Politics parvient à des résultats qui, quand on y pense, sont pour le moins étonnants :

Intérêts américains versus intérêts israéliens

En ce qui concerne les relations entre Israël et les Etats-Unis, à laquelle de ces propositions adhérez-vous ?

  • Israël est un allié mais nous devrions poursuivre nos intérêts quand ils divergent de ceux d’Israël : 47%
  • Israël est un important allié, la seule démocratie de la région, et nous devrions le soutenir même si nos intérêts divergent: 45%
  • Je ne sais pas : 8%

Près de la moitié de tous les Américains veulent soutenir Israël, même si les intérêts de ce pays divergent des intérêts de leur propre pays. Seule une minorité d’Américains (47 %) disent que leur pays doit poursuivre ses propres intérêts plutôt que de soutenir Israël quand il faut faire un choix entre les deux. C’est le reniement complet du Discours d’adieu de George Washington de 1796 dans lequel il soulignait qu’ “il était absolument capital de ne pas se laisser aller à la haine invétérée et irréductible contre certaines nations et à la passion amoureuse pour d’autres … La nation qui s’habitue à détester ou à aimer une autre nation en devient forcément plus ou moins  l’esclave ” .

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