Pourquoi les médecins ont tant de mal à voir (et à signaler) les accidents vaccinaux ? (Xavier Bazin)

[Note de l’administrateur de ce blog : un article important pour comprendre pourquoi des évidences flagrantes ne sont pas encore reconnues par tous. Et pour contribuer à épargner des vies, des maladies handicapantes et des souffrances.]


Cher(e) ami(e) de la Santé,

Lors de ma visite à l’IHU de Marseille, le Pr Raoult m’a confié ceci :

« Je connais beaucoup de gens qui travaillent dans des EHPAD, ils me disent, le nombre d’accidents vasculaires cérébraux (AVC) qu’on a vus chez les gens qui avaient été vaccinés…

…mais il y a des médecins qui les déclarent, d’autres qui ne les déclarent pas. »

Il y a donc des médecins qui voient et signalent un lien possible entre vaccin covid et AVC, et d’autres médecins qui ne voient rien ou ne signalent rien.

Mais si j’en crois certains de mes échanges à Marseille, les médecins qui « voient » les dégâts de ces vaccins sont de plus en plus nombreux.

Il faut dire que beaucoup de soignants ont observé de leurs yeux ce que les chiffres de la pharmacovigilance montrent depuis le premier jour : que les vaccins anti-covid sont les vaccins les plus dangereux qui ont jamais été mis sur le marché1.

Pour ceux qui ont les yeux à peu près ouverts, il est évident que ces vaccins causent des AVC, des arrêts cardiaques, des thromboses, des embolies pulmonaires et autres accidents cardiovasculaires.

Cela a d’ailleurs été prouvé, au-delà de tout soupçon possible, pour les vaccins AstraZeneca et Johnson & Johnson, dans une étude française officielle2.

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Philippines : soupçons autour d’un vaccin de Sanofi contre la dengue (France Info)

[Note de l’administrateur de ce blog : dormez braves gens, l’industrie du vaccin est parfaitement transparente, vierge de toute cupidité et la science vaccinale est une haute technologie parfaitement contrôlée.]


(source)

Sanofi va rembourser toutes les doses de vaccins contre la dengue inutilisées aux Philippines. Le géant pharmaceutique dit vouloir rétablir la confiance avec Manille. Le pays a suspendu la campagne de vaccin contre la dengue après la mort de 14 enfants.

Quand la campagne de vaccinations a démarré, Lisa était très heureuse. Sa fille de 10 ans Angelica allait être protégée contre la dengue. Cette maladie tue chaque année des milliers de personnes aux Philippines. Pourtant les choses ne se sont pas passées comme prévu. “Le jour même où elle a reçu le vaccin, elle a commencé à se sentir faible, ses cheveux ont commencé à tomber. Elle avait de la fièvre et elle vomissait“, explique sa mère. Angelica est morte trois mois après avoir été vaccinée.

Le produit peut en fait aggraver la maladie

La petite fille avait tous les symptômes de la dengue. Son décès est-il lié aux vaccins ? Une enquête a été ouverte, mais pour sa maman cela ne fait aucun doute. En avril 2016, la campagne avait été lancée en grande pompe. Une première mondiale. Le vaccin contre la dengue du groupe pharmaceutique français Sanofi est distribué massivement avant que la campagne ne soit brutalement interrompue par les Philippines en décembre dernier. Sanofi vient alors annoncer que dans certains cas, son produit peut en fait aggraver la maladie. C’est la panique aux Philippines. Entre dix et vingt enfants seraient morts après avoir été vaccinés. Sanofi a diffusé ce lundi 15 janvier un communiqué : ils vont rembourser aux Philippines les doses inutilisées, mais ne remettent pas en cause les bienfaits de leur produit.