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Lettre ouverte (et joyeux Noël)

dieudonix[Note de l’auteur de ce blog : lettre et DVD expédiés par la poste à l’intéressé le 24 décembre 2015.]

Cher Monsieur,

On m’a rapporté que vous aviez regretté, en septembre de cette année, que le film “L’antisémite” de Dieudonné soit accessible en deux clics sur internet. Je tiens à vous rassurer : il n’y a pas plus de raison de considérer ce film comme antisémite que de classer “Le dictateur” de Charlie Chaplin, que vous connaissez certainement, parmi les éloges cinématographiques de la dictature. C’est même tout le contraire et afin de vous le prouver, je tiens en cette période de fêtes à vous offrir ce modeste DVD, que j’ai pu acquérir sur dieudosphere.com à un tarif promotionnel “spécial Alain Juppé” en combinaison avec celui du film “Métastases”, qui traite du cancer.

Certes, il est tout à fait possible de ne pas apprécier ce film, qui comme toute œuvre artistique peut ne pas plaire à tout le monde : l’art est par définition subjectif. Les moyens très limités de sa réalisation, le caractère volontairement potache de bien des scènes différencient certainement cette œuvre du grand classique de Chaplin ; néanmoins, le message est très clair et de la même façon que Chaplin rendait son dictateur ridicule, Dieudonné rend son antisémite (joué par lui-même) tout à fait antipathique et repoussant ; le parallèle entre les deux œuvres est donc parfaitement justifié sur ce plan.

J’ai sur mon blog (aitia.fr/erd/lantisemite/) réalisé un descriptif aussi neutre que possible de ce film, que vous pourrez consulter si vous n’avez pas le temps de regarder le DVD. On m’a dit que vous étiez maire d’une grande ville de province, je comprends aisément que les diverses inaugurations que vous devez réaliser ne vous laissent guère de temps de loisir. En quelques minutes, vous comprendrez là l’étendue de votre méprise. Vous verrez par exemple que le véritable héros du film est un psychanalyste juif, non-violent, réussissant à guérir son patient par la seule parole… et qui, de plus, est joué par un acteur juif (Jacky Sigaux, fils du professeur d’art dramatique Gilbert Sigaux).

Non seulement Dieudonné ne présente aucun danger pour la jeunesse française, mais encore il contribue par son talent humoristique décapant et son intelligence acérée à éveiller les citoyens sur l’état déplorable d’une “démocratie” qui n’en a que le nom. Ce n’est certes pas limité à la France : tout ce qu’on a l’habitude d’appeler l’Occident, et qui n’est rien d’autre que la sphère d’influence des USA (incluant leur pseudopode israélien), est aujourd’hui dans un état de décomposition morale avancé, les media avançant de concert avec une classe politique ultra-corrompue pour justifier par des mensonges de plus en plus gros des crimes de plus en plus impardonnables, dont la mise à sac du Moyen-Orient via un terrorisme fabriqué est un des meilleurs exemples.

Il n’est plus possible aujourd’hui de faire gober n’importe quoi aux citoyens, et c’est une bonne chose. Ainsi, comment peut-on faire croire que la “lutte contre l’antisémitisme” passe par la promotion incessante d’imposteurs juifs notoires, tels que le pseudo-philosophe Bernard-Henri Lévy, qui ne se contente plus hélas d’être ridicule mais entraîne aujourd’hui la France dans son sillage de mort et de chaos ? Inversement, comment peut-on accuser une association qui joue un rôle majeur en France pour la découverte d’auteurs juifs de grand talent, je pense à Égalité et Réconciliation, d’être coupable de diffuser la haine et l’antisémitisme ?

Tout ceci n’a, bien sûr, aucun sens. Il est très clair pour chacun aujourd’hui que derrière cette “lutte contre l’antisémitisme”, se cachent en réalité des lobbies de défense de criminels juifs, sionistes essentiellement, qui souhaitent soustraire leurs protégés à la justice universelle des hommes, qui en principe ne connaît ni couleur de peau ni religion.

Mais aujourd’hui, c’est Noël ! Que le vôtre soit joyeux, et vous rappelle le message de paix du Christ. Je l’écris d’autant plus librement que je ne suis, moi-même, lié par aucune religion.