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Le vendredi, c’est poisson

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Manuel Valls se fait signifier son licenciement à sec pour « haute trahison au profit d’un pays étranger »

Tôt ce matin, le président de la République, rendu joyeux par la chute brutale des chiffres du chômage (-27%), due à un regain d’activité industrielle (principalement causé par des ventes d’armes astronomiques), a invité les ministres, secrétaires d’État ainsi que les responsables de l’opposition, Marine Le Pen en tête, à un petit déjeuner dit « œcuménique ». En présence du cardinal Barbarin, qui est passé en coup de vent bénir les viennoiseries, et de people triés sur le volet (Julie Gayet en Dior, Brad Pitt en jean), François Hollande est parti dans un discours sans notes, truffé de pointes d’humour, sur la « fin de la fracture sociale ». Un clin d’œil à son père spirituel régional, Jacques Chirac.

En effet, tous les économistes, qu’ils soient de droite libérale ou de gauche antilibérale, de Jacques Marseille à Thomas Piketty, sont d’accord pour admettre que si la situation actuelle perdure – et il n’y a pas de raison que ce redécollage soit freiné, avec l’afflux de main-d’œuvre qualifiée qui fertilise notre vieux pays – les courbes vont se croiser. Autrement dit, avec la fin de la désindustrialisation et la demande brutale de main-d’œuvre, le plein-emploi est en vue, ainsi que le renflouage des caisses de l’État, mises à mal par des décennies de chômage chronique. On parle d’un bénéfice de 127 milliards pour 2017.

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